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Par ChristianeKolly le 2 Janvier 2019 à 08:00
Mon site : www.christianekolly.ch
Bonjour,
Être zen - en harmonie - équilibré ...
Traverser les méandres de la vie avec sérénité, selon moi ça passe par l'introspection, la prise de conscience du pourquoi des événements, les leçons à en tirer ...
Par des entretiens des ateliers ou lors de conférences j'ai le bonheur de vous transmettre ce que j'ai appris, d'abord pour moi-même. Mais oui, même si j'avais décidé de le faire pour les autres, j'ai été la première bénéficiaire. On ne peut transmettre que ce que l'on a expérimenté soi-même.
Comme ils disent à Écoute ton corps, être bien, ça s'apprend. Lors de ce cheminement vers le bien-être, je me propose de vous accompagner.
J'aime aussi le rire la poésie la musique la nature tout ce que la terre comporte de merveilles ...
Théa d'Albertville, c'est mon pseudo de poétesse! J'ai écrit un recueil de poésie: Moissons.
Christiane Kolly est mon nom, celui que j'ai reçu à la naissance et celui de thérapeute, conférencière et animatrice d'ateliers de développement personnel.
Écrivain, j'ai publié Conversations avec mon corps et un roman Harpie la honte Et me voilà devenue éditrice par la force des choses ...
Née le 30 septembre 19.., sous le signe de la balance, pour les chinois, je suis du cheval de bois et cette image me fait plaisir. Je vis en Suisse romande, là où le français est de rigueur (1 suisse sur 3)!
Je me réjouis de me faire de nombreux amis ici !
Ma devise : "Carpe diem" Vis chaque jour comme si c'était le dernier parce qu'un jour ce sera vrai !
2 commentaires -
Par ChristianeKolly le 1 Janvier 2019 à 20:35
Au fil des ans, des textes pour mieux prendre conscience de soi :
- Avoir du pot
- Belle femme, miroir de fou
- Bonheur et malheur résident dans la manière dont nous percevons les choses
- C'est
- C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière
- Chaque patient porte en lui-même son propre médecin
- Chaque tyran, votre mari, votre femme …
- Choisis d'agir plutôt que de procrastiner
- Comme il est difficile d'être simple
- Dans la boue
- De quoi avons-nous vraiment besoin ?
- Distribuer le sourire
- Donner, pas donner
- Et bien non, là c'est plutôt pour arrêter de penser...
- Et si l'éducation était une question de niveau de conscience ?
- Faites toujours de votre mieux
- Gratitude à nos ennemis
- Il boit 3 ou 4 bouteilles de vin par jour
- Il est plus difficile de casser une croyance que de briser un atome
- Il faut tenir à une résolution parce qu'elle est bonne et non parce qu'on l'a prise
- Il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain
- Il faut s'entraider, c'est la loi de la nature
- Instant présent, instant sacré
- J'ai 5 secondes pour susciter votre intérêt !
- J'ai choisi mon père et ma mère !
- J'ai dans ma tête une armée de saboteurs
- J'ai fait un jeûne de 7 jours
- Je juge, tu juges, nous jugeons...
- Je me fais plus d'injure en mentant...
- Je n'ai pas le temps ou je choisis de ne pas prendre le temps pour …
- Je préfère toujours penser le meilleur de tout le monde... cela épargne tellement d'ennuis
- L'ego ne sait pas vivre le moment présent, il ne connaît que le passé
- L'expérience de l'amour physique dépasse infiniment le corps
- L'incapacité de s'arrêter de penser est une épouvantable affliction
- La séduction
- Le bonheur des autres
- Le jour où je me suis aimé pour de vrai
- Le monde change de peau
- Le secret du bonheur
- Le secret du bonheur n'est pas de faire les choses que l'on aime, mais d'aimer ce que l'on fa
- Le signe de croix
- Le temps des veux !
- Les habitudes et le corps
- Les paysages nous attirent dans la mesure où ils sont le miroir …
- Les relations sont sûrement le miroir...
- Mais mon coeur !
- N'attends pas que les événements arrivent
- N'attends pas que les événements arrivent comme tu le souhaites
- Namasté, le divin en moi salue le divin en vous!
- Ne fais pas de suppositions
- Ne me parle pas, je rêve, reviens quand j'aurai terminé
- Ne prends pas les choses personnellement
- Ne sous-estime jamais le pouvoir guérisseur d'écouter à fond ta chanson préférée
- On ne peut pas avoir peur d'une chose qu'on est occupé à aimer
- On ne peut pas promettre des sentiments
- Par ces jours d'été, citations
- Pardonne, tu mérites la paix
- Parle-moi de toi
- Pas de quoi ?
- Plus loin, les limites...
- Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire
- Prendre conscience, c'est transformer le voile qui recouvre la lumière en miroir
- Prends soin
- Quand on juge, on n'aime pas ! Quand on aime, on ne juge pas
- Quand on ne sait pas où on va, la vitesse de déplacement ne compte plus
- Quand survient un malheur...
- Que ta parole soit impeccable
- Regarde ce que tu récoltes, plutôt que ce que les autres sèment !
- S'aimer vraiment, c'est aimer chaque parcelle de soi-même
- S'entourer de gens positifs
- Savoir écouter
- Se démasquer
- Sérénité
- Si vous pensez que vous êtes trop petit...
- Solitude
- Tabula rasa
- Tous les changements, même les plus souhaités, ont leur mélancolie
- Tout homme est insensible quand il agit
- Tu aimeras ton prochain COMME TOI-MEME
- Un homme qui ne boit que de l'eau...
- Un nouveau médicament : Une overdose d'amour
- Vivre tue
- Votre présent, votre cadeau
- Vous êtes unique !
- Vous n'aurez pas ma haine
- Vous ne pouvez pas
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Par ChristianeKolly le 19 Juin 2017 à 19:40
Pourquoi je suis devenue coach de bonheur ?Le début de ma vie
Mon chemin spirituel, je l'ai commencé, certainement à la naissance puisque je suis née chez les cathos, famille très pratiquante, messes tous les dimanches, et même vêpres l'après-midi, rosaire le soir à 5 heures en hiver, cathéchisme à l'école. Au-delà de l'hypocrisie et des rituels grandioses et colorés, j'ai quand même approché dieu, dans mon enfance, jusqu'à ce que je me fâche sérieusement avec lui.
Adolescence, mariage à vingt ans, naissance de 2 filles, France et Véronique. Je sentais bien en moi que la vie, ce n'était pas cette espèce de bataille pour garder le front haut, pour continuer, sans savoir exactement vers quoi ? Il devait y avoir autre chose, mais j'étais trop occupée pour m'en occuper. Je pensais avoir subi un certain nombre d'événements, ne pas les avoir choisis. C'était mon chemin, apprendre à exister...
J'avais commencé des lectures de recherche spirituelle, le premier livre qui m'a vraiment plongée dans un univers que j'ai aimé visiter c'est "Le troisième oeil" de T. Lobsang Rampa, livre que j'avais choisi simplement parce que j'ai au milieu du front quelque chose qui pourrait y faire penser. Même si c'est peut-être un canular, il m'a fait rêver.
J'ai craqué
Et puis, dans les années nonante, j'ai craqué. Je vivais tellement à côté de ma vie, à côté de moi-même que je me demande si j'y étais entrée ? Pour ne pas sentir mon mal-être, j'avais mis en place toutes sortes de masques, entre autre la guerrière, la contrôlante, la madame parfaite. J'avais adopté d'un côté l'attitude d'un père tribun, courageux, fier, voire orgueilleux et de l'autre celle d'une mère qu'inconsciemment j'avais toujours voulu satisfaire dans son besoin incommensurable de perfection. Je marchais très bien à la carotte, comme dit mon ami l'âne. J'étais très sensible aux compliments, aux flatteries, j'étais la femme des superlatifs. Mais c'était un piège.
Ma vie professionnelle était un joli succès, j'avais les qualités requises. J'ai reçu à la naissance une corbeille de dons, facilité d'apprendre, curiosité permanente, éclectisme, esprit de synthèse, don pour communiquer et pour apprendre. Ma marraine la fée a été généreuse. Elle a oublié la modestie ! Mais pas l'humour !
Par contre du côté personnel, divorcée après 7 ans de mariage, je galérais sans en être consciente, bien sûr. J'étais de celles qui disaient : Un homme, pour le plaisir oui, mais repasser les chemises et ramasser les chaussettes, non, très peu pour moi. J'ai mis 20 ans à réaliser que l'unique raison pour laquelle ma relation à l'autre sexe se résumait à des aventures ou des liaisons avec des hommes pas libres, venait de ma peur de partager l'espace avec un homme.
Dans les profondeurs de mon être, vivait une mésestime, comme un monstre au fond du lac, une certitude de ne pas mériter le bonheur. Il y avait une forme de honte aussi, résultat d'une éducation où tout ce qui touche au plaisir était incompatible avec l'honneur et le paradis. Cela explique pourquoi aujourd'hui, un de mes objectifs consiste à réconcilier dieu avec le sexe, autrement dit la spiritualité avec la sexualité.
Bien sûr, mes parents ont fait de leur mieux, avec ce qu'ils avaient reçu, comme moi j'ai fait de mon mieux avec mes enfants, avec ce que j'ai reçu.
Comment j'ai fait ?
Deux événements m'ont fait changer complètement de direction : mon père est mort et puis j'ai laissé un autre prendre le poste que j'occupais dans la formation. J'ai vécu cette dernière expérience comme une trahison de la part de mon supérieur. Après quelques mois, j'ai démissionné pour prendre une nouvelle direction. Mon goût pour l'enseignement, l'accompagnement, m'a fait choisir 2 formations en développement personnel auprès de l'école Écoute ton corps, j'allais devenir "Intervenante en relation d'aide" et "Animatrice et conférencière". Je le suis. Ce que j'ignorais, c'est que la personne qui avait le plus besoin de cet apprentissage, de ce chemin personnel, c'était moi.
J'ai appris d'abord à vivre le moment présent. On entend cela partout, c'est la mode, mais habiter son corps, être présente aux autres, aux événements, aux situations, cela m'a demandé beaucoup d'efforts, désapprendre les réactions, le système de défense. Ne plus mettre le masque, c'est accepter d'être vulnérable, c'est accepter d'avoir des blessures, c'est accepter que l'autre a le pouvoir de réveiller nos blessures. Être vraiment à l'écoute de soi, c'est laisser sortir les émotions, ne plus les refouler, en prendre la responsabilité. L'autre n'est pas responsable, il est le déclencheur, il est une aide précieuse qui permet de se connaître, de prendre conscience des blessures qui nous empoisonnent la vie.
Je suis retournée de nombreuses fois dans mon enfance, pour vivre la tristesse, l'impuissance, la colère, seigneur combien j'avais refoulé de colère, contre mes parents, contre les autres et après... finalement contre moi-même, d'avoir laissé faire. J'ai accepté ma vie telle qu'elle était. J'ai commencé à m'aimer. J'ai soigné cette enfant intérieure, je l'ai écoutée, consolée, rééduquée même. Je peux vous dire que j'en ai passé du temps avec des petites Christiane de 3 ans, 4 ans, 5 ans, 10 ans... adolescente, femme mariée, divorcée, et cetera. Je les ai toutes consolées et petit à petit, ramenées dans le présent, réconciliées, fusionnées avec moi.
Il en reste, certainement, je continue de procéder de cette manière. Le chemin, c'est comme quand on mange un artichaut, chaque feuille que l'on détache permet de se rapprocher davantage du cœur, le seul endroit où il fait bon vivre !
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Par ChristianeKolly le 6 Mars 2014 à 11:44Vos malaises et maladies ont quelque chose à vous dire :Cliquer sur un des liens pour voir la conversation suggérée
tiré du livre "Conversations avec mon corps", de Christiane Kolly
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Par ChristianeKolly le 5 Juillet 2013 à 08:27
Il y avait une fois dans un village un fermier sans le sou qui devait rembourser une importante somme d’argent à un vieil homme très laid. Comme le fermier avait une fort jolie fille qui plaisait beaucoup au vieux prêteur, ce dernier proposa un marché. Il dit qu'il effacerait la dette du fermier s'’il pouvait marier sa fille.
Le fermier et sa fille furent tous deux horrifiés par cette proposition. Alors le vieux prêteur malin suggéra que le hasard détermine l’issue de la proposition. Il leur dit qu’il mettrait un caillou blanc et un caillou noir dans un sac d'argent vide, et que la fille aurait à puiser, à l'aveuglette, un des deux cailloux du sac.- si elle puise le caillou noir, elle devient son épouse et la dette de son père est effacée
- si elle pige le caillou blanc, elle n'a pas à l'épouser et la dette du père est également annulée
- si elle refuse de piger un caillou, son père est jeté en prison.
Cette discussion avait lieu sur le chemin devant la maison du fermier, et le sol était jonché de cailloux. Tout en continuant de parler, le vieux monsieur laid se pencha pour ramasser les deux cailloux. Comme il les ramassait, la jeune fille, qui avait l'œil vif, remarqua qu'il avait ramassé deux cailloux noirs et qu'il les avait mis dans le sac. Mais elle ne dit rien. Puis le vieux prêteur demanda à la jeune fille de piger dans le sac.
Elle puisa dans le sac et en sortit un caillou qu'elle laissa échapper aussitôt par terre, gauchement, sans qu’on ait pu le voir, et il se confondit spontanément avec la multitude des autres cailloux sur le sol.- Ah ! ce que je peux être maladroite, s'exclama la jeune fille. Mais qu'importe, si je sors du sac le caillou qui reste, on verra bien lequel j’avais pigé en premier !
Puisque le caillou restant était noir, le premier caillou pigé ne pouvait qu'être blanc. Et comme le vieux prêteur n'osa pas avouer sa malhonnêteté, la jeune fille transforma une situation qui semblait impossible en un dénouement fort avantageux.
La morale de cette histoire : Il existe une solution pour la plupart des problèmes complexes. C'est juste qu’on ne sait pas toujours regarder les choses sous le bon angle. Imaginez un instant ce que vous auriez fait si vous aviez été là. Cette histoire a pour but de vous faire apprécier la différence entre la pensée logique et la pensée dite “latérale”. Le dilemme de la jeune fille ne peut pas être résolu de façon équitable par la pensée logique traditionnelle. Pensez aux conséquences de chacune des trois options possibles.
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