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  • pinocchio

    Savez-vous déceler quand vous êtes réellement vrai ? La plupart des gens ont beaucoup de difficulté à être vrais et en sont pourtant inconscients. Ils se croient vrais alors que c’est souvent l’ego qui dicte leurs comportements ou leurs paroles. 

    Faites-vous partie de ceux qui disent ou pensent ce genre de phrases :

    • Je suis toujours vrai, car je dis ce que j’ai à dire, même si ça dérange les autres.
    • Je me considère vrai quand j’évite de dire la vérité en sachant que ça va blesser l’autre parce que je suis vrai envers mes sentiments et je respecte ceux de l’autre.
    • Je crois qu’un petit mensonge ne peut faire de tort à personne. 

    La définition spirituelle d’ÊTRE VRAI, c’est penser, dire, faire et ressentir la même chose.

    En effet, ce qu’une personne dit et fait doit être en conformité avec ce qu’elle pense et ressent. Cela ne signifie pas que vous devez dire tout ce que vous pensez et ressentez. Par contre, lorsque vous parlez ou vous répondez à quelqu’un qui vous demande votre avis, être vrai, c’est exprimer ce que vous pensez et ressentez au fond de vous-même. 

    Prenons l’exemple d’une dame qui est de plus en plus éprise d’un compagnon de travail. Elle se sent coupable envers son mari, car elle est partagée entre les deux hommes. Très attirée physiquement par son collègue, elle sent qu’il est fort possible qu’elle développe une liaison importante avec lui. Doit-elle dire ce qu’elle ressent à son mari ? Elle n’est pas obligée, excepté si son mari lui demande ce qui se passe parce qu’il sent qu’elle n’est plus la même et refuse par exemple de plus en plus souvent de faire l’amour. Dans ce cas, elle doit être vraie et prendre son courage à deux mains. Il est certain que son ego trouvera des excuses pour cacher la vérité à son mari. Par exemple Ne dis rien, ça va le blesser. Ce qu’il ne sait pas ne lui fait pas mal. Attends avant d’en parler, tu ne l’as même pas trompé. 

    J’ai mentionné que si son conjoint lui demande une explication, cette dame doit être vraie. Cependant, il se peut que lui ait tellement peur d’entende la vérité qu’il ne lui en parle jamais. Doit-elle alors tout cacher indéfiniment? Ce ne serait pas une bonne idée. Le malaise dans le couple deviendrait intolérable. Si cette dame veut être paisible, elle aurait intérêt à parler de cette situation aussitôt qu’elle le peut. Elle ne le ferait pas seulement pour elle, mais tout autant pour son mari, même si celui-ci en est inconscient. 

    Il n’y a pas de moment propice pour dire la vérité. C’est à tout moment que nous devons être vrais. Souvenez-vous que lorsqu’une personne vous soupçonne de quelque chose, c’est qu’elle sait ce qui se passe sans en être totalement consciente. Elle espère au plus profond que son intuition la trompe et il est certain que la vérité lui fait peur. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que le fait de nier la vérité lui fait encore beaucoup plus mal. 

    Je suis certaine que vous avez vécu plusieurs situations où vous doutiez, où vous vous posiez des questions et lorsque vous avez enfin su la vérité, cela vous a choqué, blessé ou inquiété. Dès ce moment, votre énergie a complètement changé. Vous avez pu commencer à agir en fonction de cette vérité. Chacun de nous préfère entendre une vérité déplaisante au lieu de vivre dans le doute et l’incertitude qui nous poussent à imaginer des scénarios qui nous font de plus en plus peur. 

    Si vous faites partie de ceux qui croient qu’être vrai c’est de toujours donner votre opinion aux autres, sans que ceux-ci ne vous aient rien demandé, détrompez-vous. Cela n’a rien à voir avec dire la vérité, c’est plutôt être arrogant ou manquer de respect. 

    De bons moyens pour déceler si vous êtes vrai :

    • il n’y a ni accusations, ni critiques ou émotions dans vos paroles et vos actions ;
    • il n’y a pas d’expression de mécontentement ou de contrôle. 

    Certaines phrases ne peuvent être affirmées que lorsqu’on vous a demandé votre avis. Vous résistez probablement en vous disant qu’il est important parfois de donner notre avis sans qu’on nous le demande. 

    Je te trouve très impoli quand tu agis ainsi.

    Ce que tu portes ne te convient pas du tout.

    Ne trouves-tu pas que tu dépenses trop ?

    Je suis très insatisfaite de la qualité de votre travail.

    Avant de lancer de telles phrases, il est important d’avoir l’accord de l’autre pour que celui-ci s’ouvre à recevoir votre opinion. Vous pouvez demander par exemple : Puis-je vous dire ce que je pense sur la qualité de votre travail ? Votre commentaire sera alors une observation et non une critique. 

    Vous devez aussi être vrai de la même façon avec vous-même. Prenons l’exemple que quelqu’un vous demande de l’aide, veut venir vous visiter ou vous invite à aller chez lui. Soyez alerte à la toute première réponse qui monte en vous et prenez le temps de sentir si vous dites rapidement oui intérieurement. Si votre premier sentiment est Ah non, ça ne me tente pas aujourd’hui, pour être vrai envers vous-même, vous devez répondre en fonction de ce sentiment. 

    Vous faites peut-être partie de ceux qui ont peur de blesser, de se faire juger, de paraître faibles, froids ou insensibles… Vous ignorez alors ce que vous sentez et vous dites oui à l’autre alors qu’être vrai serait de direnon. 

    Ou bien, pour suivre votre besoin de dire non vous mentez, vous trouvez des excuses qui ne sont pas vraies.

    Sachez qu’un mensonge est TOUJOURS perçu par l’autre. Tout le monde sait intuitivement quand une personne est fausse, on le capte dans l’invisible. Toutefois, comme nous ne sommes conscients qu’à environ 10% de ce qui se passe à l’intérieur de nous, nous ne savons pas à quel moment précis nous avons capté le mensonge. Chaque fois que l’on communique sans être vrai, cela crée de l’inconfort, des malaises entre les personnes. Plus vous développerez votre capacité de sentir, plus vite vous sentirez ces malaises et vous deviendrez conscient du mensonge de l’autre ou de votre propre mensonge. 

    Être vrai représente le besoin le plus important du corps mental, tout comme l’air est le premier besoin du corps physique. 

    En étant vrai plus souvent, vous aurez l’agréable surprise de constater une grande amélioration dans vos relations. Votre entourage vous respectera davantage en sachant qu’ils peuvent toujours s’attendre à la vérité de votre part. Sachez cependant que développer cette capacité s’avère être un processus graduel qui exige beaucoup d’observation comme tout nouvel apprentissage. Au début, nous nous apercevons que nous n’avons pas été vrais après le fait accompli. Ensuite, nous nous en apercevons pendant que nous parlons ou agissons et finalement nous arrivons à l’observer avant de passer à l’action. 

    Si toutefois, il vous arrive à un moment d’avoir trop peur d’être vrai, reconnaissez ce fait. Permettez-vous de ne pas l’être dans cette situation. Je vous rappelle que s’aimer véritablement, c’est se donner le droit de parfois être ce que nous ne voulons pas.

    Avec amour, 

    Lise Bourbeau 


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  • Lise Bourbeau pionnière en son domaine à crée en 1982 un outil extraordinaire pour apprendre à se connaître autant aux plans émotionnel et mental que spirituel. Depuis lors elle a aidé des milliers de personnes à améliorer leur qualité de vie en devenant conscientes de ce qui se passe à l’intérieur d’elles-mêmes. Auteure de 24 best-sellers, Lise Bourbeau compte parmi les auteurs les plus lus dans tous les pays francophones.

    • Quel âge pensez-vous le meilleur pour arriver au bonheur ?

    Il n’y a pas d’âge précis. Cela dépend surtout du moment où l’on décide de se prendre en mains pour améliorer sa vie. Des personnes de 18 ans assistent à nos ateliers et je sais que cela contribuera à ce qu’ils soient heureux à un plus jeune âge que la moyenne des gens. On doit aussi se souvenir que nous « n’arrivons pas au bonheur ». Celui-ci est  accessible en tout temps. Pour moi, le vrai bonheur se saisit à tout moment. Il est fait de petits bonheurs, comme un lever de soleil, le rire d’un enfant, un beau papillon, un compliment, un regard, la satisfaction d’un travail terminé, l’apprentissage de quelque chose de nouveau, la lecture d’un livre…

    • Je suis tellement surprise d’apprendre que vous avez 74 ans ! Quel est votre secret pour rester si jeune?

    En fait, ce n’est pas un secret, car je le partage autant que possible. Le bonheur au quotidien est le moyen par excellence pour rester jeune. Mon plus grand atout est que j’applique notre enseignement au quotidien. À l’école Écoute Ton Corps, nous enseignons aux participants des outils efficaces pour être bien dans toutes les sphères de leur  vie. Notre attitude, notre façon de gérer nos peurs et nos croyances, la guérison de nos blessures de l’âme, devenir responsable plutôt que d’entretenir de la culpabilité, voilà tout ce qui est primordial à notre bonheur. Nos ateliers sont conçus de façon  à guider les gens vers ce qu’ils veulent, tout en travaillant sur ces notions clés. Cela est plus  simple qu’on pense et pourtant simple ne veut pas dire facile. En effet, à cause de notre ego, nous nous compliquons beaucoup trop la vie. Avec l’intelligence, tout devient plus  simple.

    • Qu’est-ce qui fait vieillir les gens, selon vous ?

    Au plan physique c’est la mauvaise alimentation, le manque de repos, le manque d’exercices au quotidien. Mais je suis convaincue que ce qui fait encore plus vieillir c’est surtout ce qui se passe aux plans émotionnel et mental. Les émotions, les inquiétudes, les peurs nous rongent de l’intérieur. Il y a de nombreuses années, j’ai pris la bonne  habitude de régler chaque situation conflictuelle le plus rapidement possible. Ainsi j’utilise très peu d’énergie à me faire du souci ou même à devenir obsédée par un problème. C’est ce qui arrive quand on le laisse prendre trop d’importance. En faisant face à chaque situation, j’ai une bonne réserve d’énergie et cela contribue à me sentir jeune. Je n’oublie jamais qu’il y a une solution à chaque problème. Il ne me reste alors qu’à me concentrer sur la solution. Cette attitude est très énergisante, car quand je suis centrée, je  suis en contact avec mon pouvoir de création. Ce qui m’aide aussi énormément à conserver mon énergie, c’est de vivre de façon responsable, c’est-à-dire sans me croire  obligée de m’occuper du bonheur et du malheur de mes proches. Être responsable, c’est écouter ses propres besoins et savoir que chacun crée sa vie et doit assumer les conséquences de ses choix.

    • Nous vous connaissons comme l’auteure de nombreux bestsellers, mais l’école « Ecoute Ton Corps » est moins connue. Pouvez-vous nous en parler un peu plus ?

    J’ai fondé mon école en 1982, alors que j’ai édité mon premier livre “Écoute Ton Corps, ton plus grand ami sur la Terre” en 1987. Je suis heureuse et très fière de vous dire que mes livres se sont vendus à plus de 4 millions d’exemplaires. Cette diffusion mondiale apporte effectivement une grande visibilité à mes écrits. Par ailleurs, notre école, qui est maintenant gérée par ma fille Monica et son conjoint Jean- Pierre, se spécialise depuis plus de 30 ans dans l’enseignement de moyens concrets à appliquer au quotidien pour améliorer la qualité de vie. Mes livres ne sont qu’une extension de l’enseignement des ateliers. Suivre un atelier est beaucoup plus concret, car les participants font des  exercices et échangent entre eux ce qui les aide dans leurs situations réelles. De plus, la formatrice peut répondre aux questions et apporter de l’aide. Nous nous démarquons également par nos deux formations professionnelles. La première a pour but d’aider les participants à créer et animer des ateliers et des conférences. La deuxième enseigne  comment pratiquer la relation d’aide en utilisant les outils d’Écoute Ton Corps. Nous avons au total plus de 30 ateliers qui sont accessibles à tous, quels que soient l’âge, le sexe, la culture et la religion. C’est une approche concrète pour améliorer la qualité de sa propre vie.

    • A votre avis, quel est le plus gros obstacle à réaliser nos rêves ou nos plus grandes aspirations ?

    C’est de croire que la réalisation peut venir de l’extérieur de nous. Toute manifestation commence d’abord par notre intention. On me dit souvent que je suis chanceuse, que  j’ai dû venir au monde avec un certain talent pour avoir manifesté tout ce que j’ai voulu dans ma vie. Je sais maintenant que la raison principale de ma réussite a été ma  capacité à croire qu’un jour j’y arriverais et je n’ai jamais cessé de le visualiser.
    Il y a donc 3 étapes :
    1) Savoir ce qu’on veut en vérifiant si l’idée de manifester un besoin ou un  désir fait WOW à l’intérieur de soi.
    2) Agir en fonction de ce qu’on veut, même si c’est juste une petite action de deux minutes chaque jour.
    3) Ne pas se laisser décourager par l’opinion des autres ou par les obstacles.
    Savoir au plus profond qu’on peut créer ce qu’on veut et faire confiance à notre Dieu intérieur. Notre grande puissance sait ce dont nous avons besoin et c’est pourquoi on doit lâcher prise. Les choses ne se manifestent pas toujours au moment et de la façon dont on  l’avait prévu. Il peut même arriver que notre désir ne se manifeste pas parce qu’il y a quelque chose de mieux qui nous attend…

    Propos recueillis par Marjolaine Watelle.


    Pour une consultation selon sa méthode en Suisse, je suis à votre disposition, Christiane Kolly


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  • franc suisse

    Le travail dans le domaine de l'être est-il compatible avec le fait de gagner de l'argent?
    Il existe beaucoup de croyances rattachées au domaine de l'argent. Celle voulant que les personnes travaillant dans le domaine de la spiritualité n'aient pas le droit de gagner de l'argent est particulièrement forte. D'où vient cette croyance?
    De plusieurs sources. En voici quelques-unes :
    Auparavant, dans l'énergie de l'ère des Poissons, il était normal qu'une personne spirituelle vive dans le dénuement et dans le détachement des biens matériels. On croyait fortement que les riches n'allaient pas au ciel. Il est vrai que jusqu'à récemment, les gens qui accumulaient beaucoup de richesses matérielles s'y attachaient tellement qu'elles perdaient le contact avec leur Dieu intérieur. Il était donc mieux pour l'évolution de leur âme qu'ils demeurent pauvres en renonçant à leur désir de posséder des biens matériels.
    Aujourd'hui, l'ère du Verseau étant une époque où l'intelligence dirige, il n'est plus intelligent d'être pauvre. La nouvelle forme d'intelligence fait appel à la créativité et à l'intuition de l'être et non plus seulement à sa capacité d'emmagasiner de vastes quantités de connaissances. Cette nouvelle époque, qui se fait sentir depuis les années 60, est appelée « l'Âge d'or » (Golden age).
    Par contre, même si c'est une époque d'abondance globale, nous devons apprendre à vivre dans le détachement. Nous avons en effet de plus en plus de biens matériels. Savons-nous demeurer détachés du désir de se valoriser par les biens accumulés? Nos biens et notre argent doivent être au service de l'être et non causer des problèmes. Notre préférence « d'avoir » des biens matériels pour maximiser notre confort est légitime. Cependant, il s'agit de ne jamais perdre de vue l'objectif d'être heureux même si vous possédez moins de biens matériels que certains ou même si vous perdez vos acquis. Savoir être heureux ne doit pas être conditionnel à la possession de biens matériels. Ainsi, même en cas de pertes matérielles, vous saurez demeurer motivé et capable de passer à autre chose. Vous saurez que cette expérience peut vous aider à développer votre capacité à être bien et surtout à demeurer connecté à votre Dieu intérieur, votre grand pouvoir créateur.
    L'idée du mérite est un autre facteur qui alimente la croyance que les domaines spirituel et matériel ne vont pas ensemble. Plusieurs croient que pour mériter de gagner de l'argent ou pour mériter l'abondance, ils doivent travailler dur. Pour eux, travailler signifie faire quelque chose qu'on n'aime pas trop, quelque chose qui demande des efforts ou un dur labeur. Le fait d'aider d'autres personnes à améliorer leur qualité de vie n'étant pas considéré comme un travail laborieux, ils ne mériteraient donc pas d'être bien rémunérés.
    Pourtant, on admet bien que les diplômés universitaires travaillant en relation d'aide ont le droit de gagner de l'argent et de vivre dans l'abondance. On s'aperçoit, lorsqu'on creuse ces croyances, qu'il existe beaucoup de contradictions dans nos façons de penser. Pourquoi une personne ayant fait du travail sur soi pendant des années, en plus d'avoir suivi des formations en privé et d'avoir lu une quantité de livres, n'aurait-elle pas les mêmes droits qu'une autre?
    Il y a aussi la question à savoir combien une personne peut charger pour ses services? Il n'est pas évident de savoir quelle valeur financière accorder à un service qui concerne l'amélioration de la qualité de vie. Et ce qui est important à savoir c'est que l'estimation du prix n'a rien à voir avec la valeur de votre être, contrairement à ce que certaines personnes croient.
    Pour ma part, j'ai décidé d'utiliser les critères de bases que tous les autres services plus tangibles utilisent. Vous avez vu dans la première édition du Courrier des diplômés une façon concrète pour calculer un tarif. Je vous invite de calculer de cette façon, car tous les organismes et travailleurs autonomes œuvrant dans le domaine de la spiritualité doivent assumer ces coûts. Il n'est pas intelligent pour une personne qui fait ce genre d'enseignement, que ce soit à travers des cours, des soins ou des consultations privées, de crever de faim. Elle a le droit de bien vivre comme toute autre personne offrant un service.
    Si vous décidez d'offrir vos services gratuitement, ce choix devrait être fait par amour et non parce que vous vous sentez coupable de charger des frais, que quelqu'un croit que vos services devraient être gratuits ou parce Jésus faisait cela. Si votre décision est basée sur de telles croyances, cela veut dire qu'une peur vous habite. Plus vous alimentez une peur, plus elle devient réelle dans votre vie. Donc si vous avez peur de l'opinion des autres, même si vous ne demandez presque rien pour vos services, vous serez tout de même jugé par les autres.
    On doit tous se souvenir que, quel que soit le domaine dans lequel on travaille et quel que soit l'argent qu'on y gagne, l'argent ou les biens ne doivent pas nous causer des ennuis et des peurs. Ils doivent nous aider à être mieux, plus en harmonie et surtout nous aider à nous rappeler le pouvoir créateur de notre Dieu intérieur.
    Ne trouvez-vous pas que c'est une merveilleuse façon de gagner sa vie que de choisir un métier où l'on aide les gens à améliorer leur qualité de vie, leur capacité à être eux-mêmes?
    Lise Bourbeau

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  • cercle_etreLa matière enseignée

    • Les grandes lois de la vie
    • Le but primordial de l'être humain
    • Conscient / Subconscient / Superconscient
    • L'engagement et la responsabilité
    • L'amour et la possession
    • La grande loi de cause à effet
    • Couper les cordons / le pardon
    • La foi / La prière
    • L'énergie

    Enseignements de l'école Écoute ton corps   A l'écoute de  ton corps physique   Maladies / Accidents Tu nourris ton corps physique comme tu mènes ta vie Les problèmes de poids La sexualité Les besoins du corps physique : Respiration - Ingestion -  Digestion - Elimination - Exploration   A l'écoute de ton corps mental   Le bien Le mal L'orgueil Les faux maîtres Les besoins du corps mental : Vérité - Individualité - Respect - Sécurité - Intégrité - Guidage - Raison d'être   A l'écoute de ton corps émotionnel   Savoir exprimer tes émotions Les peurs / Les culpabilités Les besoins du corps émotionnel : Beauté - Créativité - Confiance - Appartenance - Espoir - Affection - But


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    Voici les 5 pistes audio de la conférence

    "Et si nous abordions le cancer d'une façon différente".
    Piste 1 Piste 2 Piste 3 Piste 4 Piste 5

        


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