• Chaque patient porte en lui-même son propre médecin.Chaque patient porte en lui-même son propre médecin. Nous donnons le meilleur de nous-mêmes lorsque nous permettons au médecin qui réside dans chaque malade de se mettre au travail.

    Albert Schweizer

    Albert est un prénom que j'affectionne tout particulièrement puisque c'était celui de mon paternel. Il y a aussi Albert Einstein et ses citations empreintes de simplicité, de bon sens et d'humilité. Le grand Albert c'est autre chose :  Livre des secrets d'Albert le Grand sur les vertus des herbes, des pierres et de certains animaux. On le disait sorcier.

    Mais revenons à vous, vous portez en vous-même votre propre médecin !

    Qui d'autre que vous ressent à l'intérieur de ce corps qui est le temple de votre âme ce qui s'y passe ? Qui d'autre que vous peut être à l'écoute de ses signaux, de ses forces et de ses faiblesses ? Qui d'autre que vous saura observer ce qui se passe quand vous prenez telle nourriture ou telle boisson ? Qui d'autre que vous ressentira du dégoût en face de telle pilule ou telle mixture ?

    Et si la maladie avait quelque chose à vous dire !

    Quand vous supprimez les effets, le corps ne va-t-il pas continuer à en produire jusqu'à ce que vous compreniez les causes de vos malaises et maladies ?

    Hippocrate disait déjà "Si quelqu'un désire la santé, il faut d’abord lui demander s’il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. Alors seulement, il est possible de l’avoir, la santé"

    Christiane Kolly - Juillet 2017


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  • Chaque tyran, votre mari, votre femme ...Chaque tyran, votre mari, votre femme, votre père, votre mère, votre enfant, mais oui cette génération voit des forts caractères, mais aussi votre patron, votre collègue, la caissière du supermarché ou le directeur de la chorale, votre voisin ou la concierge, chaque tyran donc n'a que le pouvoir sur vous que vous lui laissez. [Christiane Kolly]


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  • ProcrastinationVous avez déjà entendu parler de procrastination ?
    Il paraît que ce malaise sévit de plus en plus. Une définition pourrait être cette tendance à faire trente-six mille autres choses, mais surtout pas celles qu'on devrait. Je ne parle pas ici de choses contraignantes, mais de celles que l'on fait comme des automates, parce que c'est du domaine du connu, comme jouer à des jeux vidéo ou sur les réseaux sociaux ou regarder la télévision. Il est intéressant de constater à quel point on aime les habitudes. Mais qui procrastine ? Là, je parle de celui qui a acheté un piano avec l'intention de passer du temps à apprendre de nouvelles pièces, parce qu'il sait que ça le rend heureux de faire de la musique, mais qui n'y joue pas. Je parle de celle qui a acheté un vélo d'appartement, avec l'intention de faire au moins vingt kilomètres par jour, parce qu'elle sait que c'est bon pour sa santé, mais qui l'utilise comme valet de pied pour y déposer ses habits.
    "Pourquoi faire aujourd'hui ce que nous pouvons faire le lendemain ?" dit le proverbe ! Mais non ! "Il ne faut pas remettre au lendemain ce que l'on peut faire aujourd'hui !"
    La vraie question se pose ainsi : Mais qu'est-ce qui nous empêche d'aller vers du mieux ? Y aurait-il des peurs ? Sommes-nous toujours en train de résister ? Mais à qui ? Cela ressemble plus à du sabotage qu'à une forme de paresse, quoique ?
    Vous le savez bien, je suis là pour les questions, les réponses, c'est vous !
    ... et voici le mémorandum de Dieu video ou texte, d'Og Mandino

    Christiane Kolly - 8 octobre 2013


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  • Van Gogh 2Rechercher en tout la simplicité, voilà un défi qui mérite qu'on s'y attarde! Pour cela, comme pour beaucoup d'autres choses dans la vie, il est nécessaire de s'arrêter et de prendre le temps de réfléchir. Questions possibles: Pourquoi est-ce que je fais ceci ou cela? En ai-je vraiment besoin? Quelle est ma motivation? Est-ce une habitude, quelque chose que j'ai acheté de mes parents ou est-ce vraiment ce que je veux? Et pourquoi je le veux, pour être quoi? Ou serait-ce simplement pour paraitre aux yeux des autres? Il faudra aller chercher le sens réel des choses, chercher votre essence... C'est Léonard de Vinci qui a dit : "La simplicité est la sophistication suprême!"

    Christiane Kolly - Août 2010


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  • Tartinée de boue sur tout le corps, la chaleur ambiante doit avoisiner les 40°, enveloppée dans un immense drap gris, je suis allongée sur ce lit, dans ce centre de fango (thérapie qui vient de l'antiquité), à Abano Terme en Italie. Une radio locale passe tantôt de la publicité, tantôt des tubes en italien ou en anglais. Et Yago (c'est mon mental) y va de sa critique : "Tu te rends compte, un centre thermal, l'idéal serait bien sûr une musique calme, style musique de méditation, avec de bonnes vibrations pour laisser un maximum mon corps profiter de ce moment de soins dont je l'honore ! Mais non, ce fond très sonore dénature l'ensemble, impossible de vraiment se relaxer avec ce bruit de fond agaçant ! Je leur avais pourtant dit, la dernière fois, de changer de musique et de mieux adapter celle-ci au type de soins."

    Yago sait, lui, ce qui se fait et ce qui ne se fait pas et entend bien le faire savoir.

    Et soudain, je réalise : l'observateur s'est mis en route, je ne l'avais pourtant pas sonné, mais c'est son habitude, il déboule à tous moments, sans crier gare. Et l'observée, celle qui chauffe dans le drap gris, est tout aussi soudainement agacée par les injonctions de celui qui sait.

    Je me souviens alors de trois questions : Suis-je l'observateur ? Suis-je l'observée ? Ou ni l'un ni l'autre ? Mais oui, je ne suis ni l'un, ni l'autre !

    Mon fango s'est bien déroulé, dans l'acceptation de ce qui est, me délectant de ce moment présent, le seul qui mérite d'être vraiment vécu !

    Christiane Kolly - Mai 2017


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  • CongoColtan37

    Nous avons besoin du dernier téléphone portable, il faut montrer que nous sommes dans le coup. Nous avons besoin d'être informés en permanence des mauvaises nouvelles de la planète, ainsi que des records de bénéfices d'une poignée d'entreprises de la même planète. Nous avons besoin de manger le yaourt machinchose pour le transit. Nous avons besoin de faire des tests de dépistage de toutes sortes de maladies et besoin de manger des quantités de superpoduits pour éviter une kyrielle d'autres maladies. Nous avons besoin du détergent (déterre gens... brr) super rose et super nettoyant pour que tout soit propre en ordre, et dieu que nous aurions l'air idiot, si nous ne le connaissions pas...

    Bon, j'arrête là ! Pour satisfaire ces soi-disant besoins, nous travaillons fort pour être le meilleur, ah oui, nous avons aussi besoin d'être le meilleur, toujours en pleine forme, au top... Nous utilisons les meilleurs produits de beauté, nous le valons bien ! Bon, j'arrête vraiment... je pourrais en faire un livre...

    Savez-vous que depuis des décennies, pour faire tourner l'économie, il se crée des besoins. Mais quels sont nos vrais besoins ? Vous êtes-vous déjà posé la question ? Notre corps physique aurait-il besoin d'exploration ? Notre corps émotionnel aurait-il besoin d'appartenance ? Notre corps mental aurait-il besoin d'authenticité ?

    C'est pour cela que vous entendez parfois "Il a pourtant tout pour être heureux, et voilà qu'il déprime". En effet, si nos besoins réels ne sont pas comblés, notre être profond souffre. Il suffit alors de prendre le temps de l'introspection de s'interroger, d'un dialogue intérieur, et puis de changer certaines habitudes, de "faire" autrement...

    Pour découvrir vos besoins, avez-vous déjà pensé à un entretien d'aide par internet, sans déplacement, depuis chez vous, infos ? Serais-je en train de créer un besoin ?

    Christiane Kolly - Décembre 2011


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