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Bonjour, vous qui lisez ce message, je vous salue.
D'abord, je vous fais un beau sourire, jovial, généreux, simple, léger. Allez, rendez-le moi, quelle que soit votre situation, quel que soit votre état d'âme, vous verrez, ça fait du bien.
Et puis, je vais vous raconter une histoire, une fois n'est pas coutume. Durant mon parcours, comment l'appeler, mon parcours d'évolution sur le chemin de la vie, il m'est arrivé une petite histoire assez surprenante. Il s'agit de sourire justement. J'avais lu quelque chose qui en disait du bien. J'ai toujours été fascinée par le pouvoir que chacun porte en soi et j'aime tester, faire des expériences. J'avais des comptes à rendre à ce fameux sourire, certainement parce que souvent je me suis cachée derrière, ce qui a pu me donner parfois un air "gentil".
Ce matin-là, j'ai décidé de sourire aux personnes que je rencontrais. Je sors de chez moi, forte de cette belle décision. Et bien, la première personne que j'ai croisée m'a fait un beau large sourire avant que je lui donne le mien.
Quel beau clin d'oeil de la vie !
Christiane Kolly, 3 février 2016
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Une surprenante nouvelle enquête nous révèle, que la majorité des femmes se sentent libérées sexuellement et sont plus actives après avoir traversé la ménopause, et leurs maris feraient mieux de faire attention, car elles pensent également à prendre un amant.
L’enquête menée par Victoria Milan – un site de rencontres extra-conjugales pour personnes en couple – a permis d’interroger 3 589 femmes membres du site, concernant leur vie sexuelle après la ménopause, pour savoir si leur vie sexuelle s’était améliorée ou alors si comme 80% des femmes le craignent, elles deviennent moins actives sexuellement.
Les résultats sont étonnants, 7 femmes sur 10 avouent avoir une libido égale voir même plus intense qu’auparavant. Lorsque l’on enlève le risque de grossesse non désirée, 72% nous disent qu’elles se sentent libérées et peuvent ainsi apprécier le sexe plus ouvertement.
Les maris et partenaires devraient intensifier leur jeu, car plus de femmes ont tendance à avoir une aventure après ce changement. Près de la moitié des femmes interrogées affirment que la sexualité avec leur partenaire n’est pas au top, et que leur liberté sexuelle retrouvée fait naitre l’idée de prendre un amant pour 63% d’entre elles.
Le préjugé disant que la libido d’une femme se tarit après la ménopause est expliqué par plus de 80% des femmes interrogées, nous avouant qu’elles ont tendance à cacher l’augmentation de leur appétit sexuel par peur d’être mal jugées.
Selon Sigurd Vedal, PDG et Fondateur de Victoria Milan, l’enquête démontre que les femmes ne devraient pas voir la ménopause comme un signe qu’elles ont atteint leur date limite de consommation.
« Cette enquête montre que la ménopause ne doit être vue que de façon positive : plus de crampes, plus de risque de grossesse et selon les membres : une libido accrue. A partir des données que nous avons collectées, il semblerait que la ménopause soit la meilleure chose qui puisse arriver dans la vie sexuelle d’une femme », nous dit M. Vedal.
Résultats de l’enquête
Sur 3 589 femmes ménopausées membres de Victoria Milan parmi 22 paysAvez-vous toujours de l’appétit sexuel depuis la ménopause ?
Oui autant, voir plus 69%
Non, ça a diminué 31%Vous sentez-vous plus libre sexuellement, maintenant que vous n’avez plus le risque de tomber enceinte ?
Oui, je ressens cette liberté d’apprécier le sexe différemment 72%
Non, c’est pareil 28%Avez-vous plus de relations sexuelles avec votre partenaire depuis la ménopause ?
Oui, je suis plus active 53%
Non, nos relations sexuelles ne sont pas très bonnes 47%Avez-vous pensé à avoir un amant depuis la ménopause ?
Oui, j’ai envie de vivre ma vie pleinement 63%
Non, j’ai déjà eu des amants auparavant 37%Copié/collé de santecool.net
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Durant de nombreuses années, je me suis battue contre la dépression, puis contre l'anxiété chronique. J'ai vécu pendant toute ma vie avec une boule au ventre perpétuelle, rendant plus compliqué encore le moindre choix, la moindre épreuve de vie. Bien sûr, j'ai rencontré un thérapeute formidable, qui m'a aidée à surmonter et à travailler tout cela. Mais malgré plusieurs années de travail rigoureux et efficace, un sujet continuait de me terroriser particulièrement : l'idée d'avoir un cancer. J'étais également terrorisée par tout ce qui touchait les soins médicaux, de la prise de médicaments aux piqûres, en passant par les examens exploratoires en tous genres. Le monde médical, en général, me terrifiait.
Bien entendu, l'année dernière, la Vie s'est chargée de me confronter à ma peur viscérale lorsqu'on m'a diagnostiqué un cancer du sein. Je me suis, comme cela était prévisible, enfoncée dans une angoisse sans fond les premiers jours.
Puis, j'ai cherché des solutions. Mon thérapeute m'ayant initiée à la méditation de pleine conscience, je me suis dit que ça serait peut-être, enfin, l'occasion de la tester pour de bon, en «situation réelle». Je m'y suis donc remise, un peu chaque jour, puis un peu plus, puis encore un peu plus. Au début, cela ne marchait pas bien. Je n'arrivais qu'à sentir encore plus le flux de mes angoisses, j'en sortais tout à fait paniquée, souvent en larmes. Puis, petit à petit, cela a commencé à s'apaiser...
Mais c'est la veille de l'opération que mon miracle s'est produit. Je devais subir un examen très douloureux qui consistait à injecter un produit très brûlant dans les canaux galactophores (je crois que c'est comme ça que cela s'appelle), afin de rendre visibles les ganglions lors de l'opération.
Le médecin m'a immédiatement prévenue : «madame, préparez-vous, ça va être très douloureux». Habituellement, j'en aurais fait un malaise de stress, et j'aurais souffert le martyre, probablement. Mais cette fois, forte de mes outils, j'ai décidé de le vivre différemment. J'ai juste répondu au médecin : «OK, alors, ne me dérangez pas svp, je vais entrer en méditation, donc j'ai juste besoin de me concentrer».
Et c'est ce que j'ai fait : je me suis laissée couler lentement dans l'Océan de l'Univers, prenant conscience de tout ce qui est en l’acceptant inconditionnellement : tout d'abord, la sensation de mon corps sur ce lit d'examen, le flot lent de ma respiration, les battements de mon cœur, la chaleur de la pièce, les odeurs, la lumière tamisée qui filtrait à travers mes paupières, les voix des infirmières et du médecin qui me prévenaient qu'on allait commencer, les sensations de la pièce autour de moi.
Puis, la douleur a commencé, et je l'ai acceptée inconditionnellement, comme une information parmi les autres, comme les battements de mon cœur, comme la chaleur dans la pièce, comme la voix du médecin, etc. Elle m'a traversée, je l'ai identifiée, reconnue, acceptée, puis elle est partie, puis encore, et encore, et encore... J'étais là, à ne poser aucun jugement ni aucune hiérarchisation sur les sensations qui s'offraient à moi. J'étais juste ce qui observait ces sensations, les identifiait, parmi d'autres informations. C'était juste là. C'était juste ce qui se passait maintenant, au présent.
Puis, l'examen s'est arrêté. Le médecin et l'infirmière m'ont dit qu'ils n'avaient jamais vu ça. Que d'ordinaire, certaines femmes crient, pleurent, se tordent de douleur, et que mon visage n'avait pas bougé d'un seul millimètre, qu'aucun rictus, aucun mouvement ne l'avaient traversé durant l'examen. Il est resté paisible. Absolument paisible.
C'est là que j'ai compris que ce qui me rendait malheureuse et souffrante; c'était la souffrance que je remettais moi-même sur la douleur en la refusant, en ayant peur, en la craignant. C'est la peur et le refus de la douleur qui nous font tant souffrir, et qui multiplient par cent la douleur par la souffrance...
Depuis, je suis, bien entendu, toujours surveillée, mais en très bonne voie de guérison. Mais surtout, je ne suis plus la même. J'arrive à vivre les choses, les ressentis, les émotions, les douleurs au présent, sans porter de jugement, en acceptant leur présence, quoi qu'elles soient. J'arrive à vivre TOUT ce que la Vie m'apporte, tout ce qui me traverse, juste le vivre... même et y compris quand ce sont des choses tristes ou douloureuses.
Je me suis également rendu compte il y a quelques semaines que mon petit vélo intérieur à cogitations, pourtant tellement actif, parfois à m'en rendre presque maboule, avait disparu depuis probablement plusieurs mois. Il est parti, comme ça, sans que je m'en rende compte.
J'espère que mon partage pourra inspirer d'autres matins-magiciens et matin-magiciennes. J'ai également une petite pensée pour toutes les personnes qui sont actuellement confrontées à la maladie, à la douleur, au deuil.
Ingrid
Mons, Belgique
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Ingrédients de base (à choisir en fonction de la saison)
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Chou vert frisé, coupé en menus morceaux
- ou potiron (5,5 g de glucides aux 100 grammes)
- ou courgette
- ou aubergine
- ou céleri-rave -
Tomates
- ou carottes (pour les caroténoïdes-provitamines A) - Poireaux (pour les fibres)
- Navet (idem)
- Ail et Oignon (pour les isothiocyanates)
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Cresson alénois ou cresson de fontaine
(pour les glucosinolates) - Brocolis (idem)
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Céleri branche (pour les phthalides détoxifiants)
et/ou - Fenouil (qui supprimera d’éventuels ballonnements dus au chou)
Et pour améliorer la digestion, stimuler les éliminations, ajouter en fin de cuisson :
- Basilic ou estragon
- Persil ou cerfeuil
- Noix muscade
- Autres aromates, condiments ou ingrédients à votre goût
ATTENTION : Pas de féculent (pomme de terre, pois, grains, etc) ni pain.
Cette recette est extraite du livre du Dr Jean-Michel Morel, Traité pratique de phytothérapie
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Chou vert frisé, coupé en menus morceaux