• pour laisser eclater notre creativite

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    • arbre-de-coeurJe voudrais installer les programmes "Amour", "Amour inconditionnel", "Amour Universel", "Amour Pur", "Amour Force". Pourriez-vous m'indiquer la procédure, s'il vous plaît ?
    • Bien sûr, prêt-e pour l'installation ?
    • Oui, mais je n'y connais pas grand-chose en programmation. Par quoi commence-t-on ?
    • Ouvrir votre cœur et ses quatre canaux est la première étape pour l'installation. Avez-vous localisé votre cœur, Madame, Monsieur ?
    • Oui, je l'ai trouvé. Mais c'est quoi ces quatre canaux ?
    • C'est simple, ils sont là il suffit de les utiliser en cliquant dessus : le premier c'est le "Pur désir" (c'est le moteur énergétique de tout créateur), le deuxième c'est l'innocence-humilité, (il vous fait vivre dans le moment présent), le troisième c'est "le lâcher prise, détachement", (dès qu'il est ouvert, le programme ego-mental commence à se déconnecter), le quatrième la "conscience du coeur" (ce que vous êtes réellement, en attendant de rejoindre la Pure conscience qui est votre Mère Amour énergie créatrice). Cliquez sur le programme "je mets tout mon Pur désir à ouvrir mon cœur",puis sur le programme "remplir mon cœur d'Amour", puis sur le programme"démultiplier cet Amour, le donner et le partager avec les autres".
    • Il y a d'autres programmes qui fonctionnent en même temps. Puis-je continuer l'installation tout de même ?
    • Voyons voir. Quels autres programmes fonctionnent présentement dans votre coeur ? Et bien, je vois "Blessures-du-passé.exe", "Mauvaise-estime-de-soi.exe", "Rancune.doc" et "Colère.com.". Pas de problème, Madame, Monsieur. L'installation de vos programmes "Amour" effacera graduellement les "Blessures du passé" de votre système. De plus, durant l'installation, le programme "Amour" remplacera votre "Mauvaise estime de soi" par son propre programme intégré, "Meilleure estime de soi".Par contre, vous devez absolument fermer vos fichiers "rancune", "colère", "peurs" et "doutes", car ceux-ci pourraient empêcher votre programme "Amour" de fonctionner correctement.
    • D'accord, mais pourriez-vous m'indiquer comment les fermer correctement ?
    • Allez dans votre menu principal et trouvez le programme "Pardonner". Démarrez-le et faites-lui faire le ménage de votre système au complet. Vous pouvez aussi utiliser ho'ponopono, la connexion est automatique entre votre moi intérieur et la matrice Amour qui interpénètre Tout. Vérifiez qu'il enlève complètement la "Rancune" et la "Colère", le "doute", les "peurs". Cela est très important. Cliquez sur "Confiance". Quand "Pardonner" a quelques difficultés à passer sur certains fichiers, vérifier si des traces du programme "peurs" subsisteraient et effacez-les.
    • D'accord, c'est fait.Hey ! L'installation des programmes "Amour" a démarré !
    • Oui, il est programmé pour s'installer aussitôt que la "Rancune" et "Colère", "doute" et "peurs" ont été supprimées de votre système (tout le programme du mental est maintenant déconnecté). Vous devriez recevoir un message vous demandant si vous voulez installer… "Amour pour la vie" et "Amour inconditionnel", "Amour Pur", "Amour Force" dans votre système. Est-ce que vous l'avez reçu ?
    • Oui, je l'ai reçu. Et j'ai répondu [oui].
    • Est-il bien installé, maintenant ?
    • Oui !
    • Mais souvenez-vous que votre programme "Amour" est une version partagée. Vous devriez vous connecter à d'autres cœurs pour des mises à jour essentielles à son bon fonctionnement. L'avantage, c'est que cela démultiplie l'énergie d'Amour autour de la terre.
    • Oups, je viens de recevoir un message d'erreur, déjà !
    • Que dit ce message, Madame, Monsieur ?
    • Le message dit "ERROR 142-2013 - PROGRAM NOT RUNNING ON INTERNAL COMPONENTS". Qu'est-ce que ça veut dire ?
    • C'est un problème commun qu'on voit souvent lors de la première installation.
    • D'accord. Que dois-je faire, alors ?
    • Regardez dans votre menu principal. Vous devriez voir les cases "S'accepter soi-même", "S'aimer soi-même", "avoir de l'estime pour soi". C'est très important pour votre connexion à la Matrice Universelle, c'est la première porte à ouvrir. Je vous conseille, si cela n'est pas déjà fait, de cocher aussi les cases "Se pardonner soi-même", "S'auto féliciter" et "Connaître ses propres limites". D'ailleurs, vous devriez supprimer aussi les options "S'auto critiquer" et "Se renfermer sur soi même", "douter", "tristesse", "peurs", "culpabilité".
    • C'est fait ! Tiens, il y a de nouveaux fichiers qui viennent d'apparaître dans mon cœur… Il y a le fichier "Sourire.JPG" qui vient de s'ouvrir, puis le fichier "Bonheur.mpg" qui se met à jouer et les programmes "Paix_intérieure.exe", "Quiétude", "Plénitude", "Joie", "Silence intérieur.exe" qui viennent de démarrer. Ho là, est-ce normal ces nouvelles couleurs et ces nouveaux sons, ces énergies, ces vibrations fraiches pleines d'Amour?
    • Oui, Madame, Monsieur, tout à fait normal, et il y en a beaucoup plus. Vous les découvrirez tout au long de vos futures mises à jour, avec les programmes "Bakti", "Êtreté", "Unicité", "Icité".
    • Une dernière chose avant de terminer…
    • Oui ?
    • N'oubliez pas que ce programme est gratuit. Et en tant que logiciel partagé, il vous serait profitable de le partager avec ceux qui pourraient en avoir besoin.  N'oubliez pas que, plus vous partagerez avec d'autres cœurs, plus votre programme se développera à l'infini, car vous êtes tous reliés.

    Auteur Inconnu


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  • fais ce que tu crois juste

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  • homme bleuCarpe diem, disait déjà Horace. Vis le moment présent. Je pourrais dire aussi : Vis chaque jour comme si c'était le dernier, parce qu'un jour ce sera vrai !
    Dans ce témoignage d'un homme bleu, d'un touareg, il exprime si bien le moment présent : "Tous les jours, un peu avant le coucher du soleil, la température baisse. Ce n’est pas encore le froid. Les hommes et les animaux, lentement, rejoignent le campement. Leurs silhouettes se découpent dans un ciel rose, bleu, jaune, rouge, orangé... Fascinant. C’est un moment magique. On rejoint tous la tente et on fait bouillir l’eau pour le thé. On s’assoie en silence et on écoute l’eau bouillir. La paix nous envahit et nos coeurs battent au rythme de l’eau en ébullition. Quel calme !"
    Pour rester dans le moment présent, ce qui pour nous qui vivons dans l'effervescence de la vie dite active, nous avons été dotés d'outils absolument extraordinaires : les 5 sens. Au lieu de laisser partir son esprit à penser à mille et une chose à faire, à se culpabiliser pour ceci, à regretter cela, pour vous ramener au présent, regardez autour de vous, regardez le ciel, admirez les couleurs, respirez les odeurs, recherchez celles que vous aimez, écoutez les sons, ça prend du temps d'écouter les sons, il y en a tant, quel goût a votre thé, vraiment, l'aimez-vous, est-il fort, parfumé, et enfin qu'est-ce qui vous touche, la texture des vêtements que vous portez, la caresse que vous vous faites, que quelqu'un vous fait ? Regardez les enfants, surtout les plus jeunes, avant le conditionnement de l'éducation, ils vous enseignent par l'exemple comment rester dans le moment présent.
    Un moine zen a deux choses à faire : s'assoir en zazen pour pratiquer la méditation et balayer, oui le nettoyage est un rituel quotidien, alors quand vous nettoyez votre maison, concentrez vous sur la poussière, les mouvements, la sensation, la joie du travail utile. Quel que soit votre travail, aimez-le!
    Vivre le moment présent, "Instant présent, instant sacré" voulez-vous vous joindre à nous (voir (événements) pour le pratiquer ensemble, dans le désert marocain, avec des hommes bleus ? Alors à bientôt, en avril !

    Christiane Kolly - Mars 2013

     


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  • lhomme merite quil se soucie de lui meme

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  • un homme qui n est plus capable de s emerveiller

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    • homme bleuJe ne sais pas mon âge. Je suis né dans le désert du Sahara, sans papiers. Je suis né dans un campement de Nomades Touaregs, entre Tombouctou et Gao, au nord du Mali. J’ai été le gardien des dromadaires, chèvres, moutons et vaches de mon père. Aujourd’hui j’étudie la gestion à l’université de Montpellier. Je suis célibataire. Je défends les bergers touaregs. Je suis musulman. Sans fanatisme.

    • Quel beau turban !

    • C’est fait en fine toile de coton. Cela permet de couvrir le visage, dans le désert, et de continuer à voir et respirer...

    • C’est d’un bleu très particulier.

    • Nous, les Touaregs, sommes appelées “les hommes bleus” pour cela. Le tissu déteint un peu et notre peau prend cette couleur bleutée.

    • Comment obtenez-vous cette couleur ?

    • Avec une plante appelée indigo mélangée à d’autres pigments naturels. Pour les Touaregs, le bleu est la couleur du monde.

    • Pourquoi ?

    • C’est la couleur dominante : celle du ciel, de nos tentes...

    • Qui sont les Touaregs ?

    • Touareg signifie “abandonnés”, parce que nous sommes un peuple de nomades du désert très ancien. Nous sommes solitaires et orgueilleux. On nous appelle aussi “les seigneurs du désert”. Notre ethnie est Amasigh (Berbère), et notre alphabet est Tifinagh.

    • Vous êtes nombreux ?

    • Trois millions environ. Et la majorité reste nomade. Mais la population diminue. Est-il besoin qu’un peuple disparaisse pour qu’on sache qu’il a existé ? Disait un sage... Je lutte pour préserver mon peuple.

    • Comment vivez-vous ?

    • Nous nous occupons des troupeaux (dromadaires, chèvres...) dans un royaume immense et silencieux. Le désert est très silencieux. Quand on est seul dans ce silence, on entend battre son coeur. Il n’y a pas de meilleur endroit pour être seul.

    • Quel souvenir d’enfance avez-vous ?

    • Le réveil avec le soleil et au loin les chèvres de mon père... Elles nous donnent du lait et de la viande. Nous les emmenons là où il y a de l’herbe et de l’eau. C’est ainsi que faisaient les anciens. C’est ainsi que nous continuons de faire. Pour moi il n’y avait rien d’autre et j’étais heureux comme ça.

    • Mais ce n’est pas très stimulant...

    • Mais c’est beaucoup ! A sept ans on te laisse déjà t’éloigner du campement pour que tu apprennes des choses importantes : flairer l’air, écouter, développer ton acuité visuelle, t’orienter avec les étoiles... Et te laisser guider par le dromadaire si tu te perds car il t’emmènera toujours où il y a de l’eau. Savoir tout cela a beaucoup de valeur. Là, tout est simple et profond. Il existe peu de choses et chacune d’elles a une immense valeur ! Nos deux mondes sont très différents. Là, un petit rien peut te donner beaucoup de bonheur. Toute chose est valorisée. Nous ressentons beaucoup de joie à être ensemble. Personne ne rêve d’être parce que nous le sommes déjà.

    • Qu’est-ce qui vous a le plus frappé lors de votre voyage vers l’Europe ?

    • Voir les personnes courir dans l’aéroport. Dans le désert, quand on court c’est parce qu’arrive une tempête de sable. J’ai eu peur...

    • Ils allaient chercher leurs bagages...

    • Oui, c’est ça. J’ai aussi vu des affiches de femmes nues. Je me suis demandé : pourquoi ce manque de respect envers les femmes ? Ensuite, à l’hôtel, j’ai vu le premier robinet d’eau. Elle coulait si facilement. J’ai eu envie de pleurer. Quelle abondance et quel gâchis, non ? Tous les jours de ma vie ma préoccupation principale était de trouver de l’eau. Quand je vois le nombre de fontaines qui décorent la ville, je ressens une douleur intense...

    • Tant que ça ?

    • Oui ! Au début des années 90, j’avais 12 ans, il y a eu une grande sécheresse. Les animaux mourraient. Nous sommes tombés malades. Ma mère est morte. Elle était tout pour moi. Elle me racontait des histoires, m’enseignait comment raconter... Elle m’a enseigné à être moi-même.

    • Qu’est-il arrivé à votre famille ?

    • J’ai convaincu mon père de me laisser aller à l’école. Tous les jours. Je marchais 15km. Jusqu’au jour où un professeur m’a trouvé un endroit pour dormir et une femme qui me donnait à manger, quand je passais devant chez elle. J’ai appris plus tard que c’était l’oeuvre de ma mère.

    • Pourquoi cette envie d’étudier ?

    • Deux ans auparavant le rallye Paris-Dakar est passé par notre campement. Une journaliste avait laissé tomber un livre.Je l’ai ramassé et lui ai rendu. Elle me l’a offert. C’était un exemplaire du “Petit Prince”. Je me suis promis de parvenir à le lire, un jour.

    • Et vous avez réussi ?

    • Oui. C’est ainsi que j’ai obtenu une bourse d’études et je suis venu en France. Un Touareg à l’université !
      Ce qui me manque le plus, ici, c’est le lait de chamelle, la chaleur du feu, marcher pieds nus sur le sable encore chaud... Là-bas on regarde les étoiles toutes les nuits et chacune est différente de l’autre. Les chèvres non plus ne se ressemblent pas.
      Ici, vous regardez la télévision.

    • Que trouvez-vous de pire, ici ?

    • Vous avez tout mais ce n’est pas assez. Vous vous plaignez. En France, les gens réclament tout le temps. Vous vous emprisonnez votre vie à une dette bancaire, un désir de posséder tout, de suite, et ce n’est toujours pas suffisant. Dans le désert, il n’y a pas d’embouteillages. Vous savez pourquoi? Parce que personne ne veut dépasser personne.

    • Racontez-moi un moment très heureux dans votre lointain désert.

    • Tous les jours, un peu avant le coucher du soleil, la température baisse. Ce n’est pas encore le froid. Les hommes et les animaux, lentement, rejoignent le campement. Leurs silhouettes se découpent dans un ciel rose, bleu, jaune, rouge, orangé... Fascinant. C’est un moment magique. On rejoint tous la tente et on fait bouillir l’eau pour le thé. On s’assoie en silence et on écoute l’eau bouillir. La paix nous envahit et nos coeurs battent au rythme de l’eau en ébullition. Quel calme !

    • Ici vous avez des montres. Là-bas nous avons le temps. Vous avez la montre et j’ai le temps. Dans nos vies, le temps ne doit pas être à peine celui qu’indique votre montre. Combien de fois vous dites : je n’ai pas le temps ? Le temps est comme une rivière. Vous ne pouvez pas toucher deux fois la même eau parce que l’eau est passée et ne repassera plus. Profitez de chaque moment de cette vie. Trouvez le temps de vivre. Si vous vivez en racontant que vous êtes occupés, alors vous ne serez jamais libres. Si vous dites tout le temps que vous n’avez pas le temps, vous ne l’aurez jamais. Si vous laissez des choses pour demain, sachez que demain peut faire faux bond... Carpe diem et soyez heureux.

    Une interview réalisée avec un homme bleu par :

    VÍCTOR-M. AMELA a: MOUSSA AG ASSARID)


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