• ne te prends pas la tete parce que tu vieillis

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  • vivre tueHeureusement, à force d'en rajouter, cela devient ridicule, risible, et j'espère bien que l'être humain finira par se dire : ça suffit, STOP, ce n'est pas pour mon BIEN, c'est pour mon POGNON !

    Tous ces conseils que vous n'avez pas demandés:

    • attention à votre cholestérol
    • faites une mammographie
    • vous devez absolument faire un dépistage par année
    • vous avez besoin d'une coloscopie
    • vérifier votre taux de glucose
    • faites le test HI machinchose
    et la liste pourrait s'allonger, ils doivent en avoir encore dans le tiroir !
    N'en avez vous pas marre qu'on fouille dans vos affaires ? À qui profite tout cela ? On ne vous dit plus de manger de bons aliments, on vous dit que tel produit, mis au point en pensant à votre santé, vous devez ABSOLUMENT le consommer parce que ça vous protège, que ça vous permet de garder la forme, de rester toujours jeune ! Sic ! Le vieillesse n'est pas à la mode, et pourtant, il y a de plus en plus de vieux ! Mais sont-ils heureux ? Oui, la bonne question est : est-ce que ça vous rend heureux tous ces interdits ? toutes ces peurs engendrées par ces épées de Damoclès au-dessus de vos têtes ? À force d'avoir peur de la mort, on en oublie de vivre ! Et vous savez quoi ? Depuis que la mort existe, on n'est pas à l'abri. Mais là, ici et maintenant, je suis en vie,

    VOUS ÊTES EN VIE alors, BON SANG, profitons-en !

    Il y a aussi ceux qui vous veulent du bien, qui se croient du bon côté puisqu'ils savent ce qui est bon pour vous, mais surtout, ils savent ce qu'il ne faut pas faire :
    • ne fumez pas
    • ne buvez pas
    • ne mangez pas de graisses animales
    • évitez le sucre
    • ne roulez pas trop vite
    • attachez-vous, sinon ...
    Attention, je vais vous provoquer : Et si vous aviez envie de prendre une bonne cuite parce que cet état vous plaît parfois, tout en assumant le mal de tête éventuel du lendemain, ou faire une orgie de gâteaux, juste pour le plaisir de toute cette douceur, ou encore une petite pointe à 150 à l'heure, pour vous griser de vitesse ... de plus sans vous sentir coupable, simplement en être humain responsable, responsable de ses actes, y compris de ses excès, de ses moments de folie, et d'en payer le prix ?

    D'ailleurs, pourquoi avons-nous oublié d'être fous ? disait Pablo.

    Oh la la ! Coup de gueule dominical, pascal même ! Allez carpe diem !

    Christiane Kolly - Avril 2013


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  • neosante.eu

       « Si le dépistage était un médicament, il aurait été retiré ».  Quel est donc le dangereux gourou qui tient de tels propos ? Quel est l’abominable chef de secte qui se permet de critiquer un axe majeur de  médecine classique ?  Quel « dérapeute » illuminé  risque ainsi de priver des patients d’un traitement médical approprié grâce au diagnostic précoce ?  Désolé pour les services policiers qui analysent  les articles de Néosanté à la loupe, mais cette phrase n’est pas de nous : elle a été prononcée par Peter GØtzsche ,  biochimiste et docteur en médecine,  professeur de méthodologie de la recherche clinique à l’Université de Copenhague,  cofondateur de la collaboration Cochrane,  directeur du Centre nordique Cochrane et  auteur de plus de 50 publications dans les plus grandes revues médicales.  Son  nom de vous dit rien ?  Normal : cela fait 12 ans que ce chercheur danois remet en cause  le dépistage du cancer du sein  et cela fait 12 ans que la presse francophone ignore superbement ses travaux.

    Stop au dépistage !

    Une exception notable cependant : le magazine suisse Femina l’a interviewé le 26 février dernier à l’occasion de la sortie de son ouvrage « Mammography screening : truth, lies and controversy » ( Radclife Publishing, 2012).  Puisqu’on pourrait m’accuser de déformer ses déclarations, je me permets d’en reprendre un paragraphe entier : « Il ressort des deux grands essais inclus dans notre évaluation Cochrane que l’auto-examen régulier des seins n’a pas démontré d’efficacité sur la mortalité par cancer du sein, voire qu’il est dommageable, car il entraîne une augmentation du nombre de biopsies. Même l’American Cancer Society, pourtant très favorable au dépistage, ne le recommande plus. En ce qui concerne le dépistage par mammographie, des études rigoureuses et récentes montrent qu’il ne réduit pas l’incidence des cancers avancés et n’a pas d’effet sur la mortalité par cancer du sein. En revanche, le dépistage transforme des femmes en bonne santé en patientes cancéreuses, et entraîne une augmentation du nombre de masectomies, parce qu’il détecte des tumeurs qui n’auraient pas mis la santé de ces femmes en danger, voire n’auraient jamais été détectées si ces femmes n’avaient pas participé au dépistage. Dans les pays dotés de programmes, le taux de surdiagnostic est d’environ 50%. En évitant le dépistage, les femmes de la tranche d’âge concernée peuvent réduire d’un tiers leur risque de se faire diagnostiquer un cancer du sein.  Le meilleur moyen de réduire l’incidence du cancer du sein, c’est donc de stopper le dépistage ».  Vous en voulez encore ?  Voici un deuxième passage ébouriffant : « Les femmes ne devraient plus accepter la désinformation à laquelle on les expose. Le mépris du principe du consentement éclairé, le déni collectif, la manipulation des données concernant le surdiagnostic et le faible bénéfice du dépistage, tout cela représente peut-être le plus grand scandale éthique qu’ait jamais connu la santé. Des centaines de millions de femmes ont été séduites par l’idée du dépistage sans savoir qu’il pouvait leur porter préjudice. Il est temps que cela cesse. » Tu parles, Charles.  Entre deux campagnes pour le dépistage du cancer du côlon,  celui de la prostate ou celui du col de l’utérus,   les autorités de santé continuent invariablement à inciter le public féminin à « aller montrer ses seins à son médecin » et à se plier au mammotest. 

    Un piège à c…..

    Contre cette propagande criminelle, un seule solution : prendre la peine d’aller chercher la bonne information.  Peu accessible au commun des lecteurs, le livre de Peter GØtzsche n’a pas (encore) été traduit en français. En revanche, la « journaliste citoyenne » Rachel Campergue (1)  avait déjà  vulgarisé ses  travaux dans son  livre-enquête «  No Mammo ? » (Voir  « Les ravages du dépistage »,  revue Néosanté N° 10).  Interviewé trois mois plus tard (Néosanté N° 13), le chercheur français Bernard Junod s’en inspire aussi pour contester le dépistage organisé  Sur leurs blogue et site respectifs, le Dr Jean Claude  Grange (2)  et le Dr Marc Girard (3)  mettent également les recherches du scientifique danois à la portée des internautes.  Dans son dernier livre (4), celui-ci consacre tout un chapitre  à la mammographie, dont il démonte les arguments favorables  et démontre qu’ils sont faux.  Paraphrasant Peter GØtzsche, Marc Girard écrit carrément que le dépistage des tumeurs mammaires est en réalité « un piège à c….  ».  Si vous ne l’êtes pas, gardez votre poitrine à l’abri de la médecine !

    Yves Rasir

    (1) www.expertisecitoyenne.com
    (2) http://docteurdu16.blogspot.fr/
    (3)  www.rolandsimion.org
    (4)  « La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne ».


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