• Van Gogh 2Rechercher en tout la simplicité, voilà un défi qui mérite qu'on s'y attarde! Pour cela, comme pour beaucoup d'autres choses dans la vie, il est nécessaire de s'arrêter et de prendre le temps de réfléchir. Questions possibles: Pourquoi est-ce que je fais ceci ou cela? En ai-je vraiment besoin? Quelle est ma motivation? Est-ce une habitude, quelque chose que j'ai acheté de mes parents ou est-ce vraiment ce que je veux? Et pourquoi je le veux, pour être quoi? Ou serait-ce simplement pour paraitre aux yeux des autres? Il faudra aller chercher le sens réel des choses, chercher votre essence... C'est Léonard de Vinci qui a dit : "La simplicité est la sophistication suprême!"

    Christiane Kolly - Août 2010


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  • Avez-vous déjà réfléchi à la signification du signe de croix, toute appartenance religieuse confondue! Et si vous le faisiez ce signe de croix : la main droite au front pour vous relier au ciel, puis au ventre, pour vous brancher à la terre, la main droite qui touche votre épaule gauche puis votre épaule droite, pour vous brancher aux autres et pour équilibrer votre masculin et votre féminin, et pour terminer, vous joignez vos mains au centre de votre corps.
    Quelques impressions personnelles  supplémentaires!

    Christiane Kolly - Juillet 2010


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  • embrassegrenouille.jpgOn ne peut avoir peur d’une chose que l’on est occupé à aimer... - Marie-Pier Charron

    Comme c'est simple! Comme c'est bien dit! La difficulté, c'est de rester vigilant, de se poser la question régulièrement, 10 fois par jour, aussi souvent qu'il le faut au début : A quoi est occupé mon esprit en ce moment ? Et aussitôt que la réponse est : peur de ne pas être à la hauteur, regret d'avoir fait ceci ou cela, remord, culpabilité, désir de vengeance, honte, enfin la liste pourrait prendre plusieurs infolettres, nous sommes si imaginatifs dans le domaine, sitôt disais-je que nous nous prenons en flagrant délit, comme si nous étions un gendarme bienveillant, en flagrant délit de culture de sentiments ou d'émotions qui ne nous font pas du bien, inverser le mouvement, prendre contact avec cette merveilleuse capacité que nous avons tous au fond du coeur d'aimer, cette capacité de donner.

    C'est un travail de rénovation de l'esprit en quelque sorte, prendre l'habitude d'avoir de bonnes pensées, de rester en contact avec le beau, le bon...

    Tiens, ça me fait penser à une histoire d'oiseaux, et aussi à une histoire de cuve  tirée du livre de Bernard Montaud, "César l'éclaireur", une merveille que je vous recommande d'ailleurs.

    Christiane Kolly - Juin 2010


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  • Léonard de vinci a dit : "Savoir écouter, c'est posséder, outre le sien, le cerveau des autres." 

    Zénon a dit : "La nature nous a donné une langue et deux oreilles, afin que nous écoutions le double de ce que nous disons."

    Eckhart Tolle a dit : «Prêtez particulièrement attention aux schémas de pensée répétitifs, à ces vieux disques qui jouent et rejouent les mêmes chansons peut-être depuis des années. C’est ce que j’entends quand je vous suggère "d’observer le penseur". C’est une autre façon de vous dire d’écouter cette voix dans votre tête, d’être la présence qui joue le rôle de témoin. Lorsque vous écoutez cette voix, faites-le objectivement, c’est-à-dire sans juger. Ne condamnez pas ce que vous entendez, car si vous le faites, cela signifie que cette même voix est revenue par la porte de service. Vous prendrez bientôt conscience qu’il y a la voix et qu’il y a quelqu'un qui l’écoute et qui l’observe. Cette prise de conscience que quelqu'un surveille, ce sens de votre propre présence, n’est pas une pensée. Cette réalisation trouve son origine au-delà du "mental". Ainsi, quand vous observez une pensée, vous êtes non seulement conscient de celle-ci, mais aussi de vous-même en tant que témoin de la pensée. À ce moment-là, une nouvelle dimension entre en jeu. Pendant que vous observez cette pensée, vous sentez pour ainsi dire une présence, votre moi profond, derrière elle ou sous elle. Elle perd alors son pouvoir sur vous et bat rapidement en retraite du fait que, en ne vous identifiant plus à elle, vous n’alimentez plus le mental. Ceci est le début de la fin de la pensée involontaire et compulsive.» – Eckhart Tolle, extrait de Mettre en pratique le pouvoir du moment présent

    Christiane Kolly - Mai 2010


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  • Le secret du bonheur n'est pas de faire les choses que l'on aime, mais d'aimer ce que l'on fait - Alain.

    Ce philosophe, journaliste et professeur de français du 20ème siècle disait déjà ce que nous disons aujourd'hui : le bonheur c'est ici et maintenant. Le meilleur vin c'est celui qu'on boit. Le meilleur homme c'est celui qu'on a.

    Cette tendance à croire que dans le pré du voisin l'herbe est toujours plus verte nous rend-elle heureux-se ? C'est hypothétique! Sachons remercier pour ce que nous avons! Bien sûr, passons aussi un peu de temps à réfléchir à des projets futurs et à sentir déjà la joie, la satisfaction que nous vivrons lorsque nous y serons, ça c'est de la projection!

    Vous connaissez le lapsus linguae, "ma langue a fourché", peut-être le lapsus calami (calame, roseau taillé pour l'écriture). Pour la faute de frappe, il est question de lapsus clavis ou de lapsus claviaturae. Ce qui est surprenant, c'est qu'en cas d'erreur, on pense à la langue, la plume ou le clavier, mais jamais à soi-même! Pourtant Monsieur Freud parlait de manifestation de l'inconscient ramené à la conscience. Et bien, soyez attentifs à tous vos lapsus!

    Et rendons à César ce qui est à César, mon latin s'arrête là!

    Christiane Kolly - Avril 2010


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  • Rien n'est impossible, seules les limites de nos esprits définissent certaines choses comme inconcevables - Marc Lévy.
    Et si nous ouvrions une porte en nous disant : ce que je connais se trouve dans ma mémoire, mais l'univers est si grand, laissons un espace où peut s'exprimer ce que je ne connais pas encore. Nous baignons dans notre zone de confort lorsque nous pouvons nous appuyer sur nos limites, que nous appelons certitudes! Elargissons, élargissons... Evidemment, cela peut donner une impression de vide, une impression de vertige. Mais finalement, pourquoi ne pas donner une chance au grand explorateur qui se trouve au fond de chacun de nous!
    Savourer la nourriture...
    "La nourriture est le premier moyen d'acquérir de l'énergie. Mais, pour absorber totalement l'énergie qu'elle contient, la nourriture doit être appréciée et savourée. Le goût est la porte de l'énergie. Il faut donner de l'importance au goût. C'est pour cela que l'on prie avant de manger, pas seulement pour faire une action de grâces, mais pour que l'acte de manger soit sanctifié, pour que l'énergie de la nourriture puisse pénétrer nos corps". Extrait du livre "La prophétie des Andes" de James Redfield.
    J'ai entendu dire que certains êtres peuvent vivre sans manger, en se nourrissant de prana. Mais comme manger est un plaisir pour moi, je fais le voeu de désormais goûter vraiment à tout ce que je mange pour en récolter l'énergie de la terre mère, et de la remercier.
    Christiane Kolly - Mars 2010

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  • "N'attends pas que les événements arrivent comme tu le souhaites. Décide de vouloir ce qui arrive... et tu seras heureux"  - Epictète.

    Ce philosophe grec du premier siècle après JC parlait déjà du pouvoir de la pensée... Vous pouvez décider de vouloir ce qui va vous arriver en y mettant l'énergie de votre pensée.

    Et n'oubliez pas d'y mettre du coeur. Parce que c'est là la grande différence. De ce qui sort de votre coeur au moment où vous désirez quelque chose émane un pouvoir qui va ensuite attirer vers vous les éléments pour que votre voeu se réalise.

    Souvenez-vous quand vous étiez enfant et que vous avez désiré très fort telle poupée ou telle bicyclette, retrouvez cette volonté innée de désirer vraiment... et vous serez heureux... comme dit Epictète.

    Et quand les événements sont là, soyez certains que c'est le résultat de vos décisions! Et décidez de vouloir ce qui arrive...

    Christiane Kolly - Février 2010


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  • Se démasquerTout ce que l’on a à réaliser, c’est de se démasquer, si pénible que cela soit, dit Chogyam Trungpa, une des maîtres importants du bouddhisme tibétain.

    Se démasquer, c'est de cela dont on parle aussi à Ecoute ton corps, enlever les masques que nous avons fabriqués pour ne plus sentir les blessures. Oser se montrer tel que l'on est, chercher à être authentique, vis-à-vis des autres mais surtout vis-à-vis de soi-même. Regarder ses peurs en face, les apprivoiser, parce que le cadeau c'est que derrière les masques, derrière les peurs, il y a des clefs, il y a des réponses à nos questions profondes.

    Et au fond de lui-même, l'être humain le sait, le pressent, que derrière la peur il y a quelque chose à aller chercher, des désirs, des besoins à combler. Et il sait aussi que quand il a trouvé des clefs, c'est pour ouvrir de nouvelles portes!

    Christiane Kolly - Janvier 2010


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