• La découverte du cerveau vibratoire quantique

    Une thérapie d’avant-garde au ser­vice des enfants différents

    www.enfants-autistes.com

    «C’est une sotte présomption d’aller dédaignant et condamnant pour faux ce qui ne vous semble pas vrai­semblable»  Montaigne

    Le cas des enfants à troubles autis­tiques

    On constate une explosion de cas de troubles autistiques depuis une ving­taine d’années. La France compte­rait, selon les dernières estimations, quelque 400'000 autistes, soit une personne sur 150. L’autisme est un trouble de la petite enfance qui va du simple TED au syndrome d'Asper­ger, persistant à l’âge adulte, qui se mani­feste par :

    • l’incapacité à avoir des interactions sociales normales,
    • l’altération de la communication,
    • le caractère limité, répétitif et sté­réotypé des comportements.

    L’autiste vit replié sur lui-même, dans une sorte de monde intérieur.

    Il faut cependant faire une diffé­rence entre troubles autistiques, au­tisme vrai et autisme régressif. Pour ce qui nous concerne nous parlerons ici de troubles autistiques et d’au­tisme ré­gressif, qui peuvent être transitoires et donc réversibles.

    Il existe aujourd’hui une polémique de grande ampleur sur les ori­gines de l’autisme, génétiques, vac­cinales, in­toxinales (métaux lourds, pesticides, thiomersal), alimentaires (gluten), anomalies cérébrales, dé­fauts du pla­centa, gestation stres­sée, X fragile, dépression de la mère, perturbation de l’aire de perception de la voix, manque de magnésium… mais il n’y a aucune réponse définitive à cette question. Pour la médecine officielle, il semble que certaines personnes naissent avec une prédisposition à l'autisme. Ensuite, il y a un événe­ment déclencheur et ils deviennent autistes...

    En avril 2011, deux députés français ont même déposé une proposition de loi pour faire de ce trouble du com­portement la grande cause na­tionale de l'année 2011. De mul­tiples tech­niques ont vu le jour pour aider ces enfants au mal-être handi­capant.

    Même si beaucoup de progrès ont été faits sur les traitements de l’au­tisme, aucune solution d’adaptation de leur comportement à notre socié­té ne s’est révélée durablement effi­cace pour le moment. Certaines mé­thodes de soins alternatives se mul­tiplient donc mais avec des résultats aléatoires, sans que l’on ait encore et toujours ce sentiment que la cause réelle n’ait été trouvée. De ce fait, les associations d’autistes fran­çaises, lar­gement subventionnés par des capi­taux publics, au risque de se faire couper leurs subventions, n’écoutent, n’acceptent et ne to­lèrent qu’un dis­cours dit scienti­fique, «reconnu par la faculté».

    Y aurait-il un intérêt «supérieur» à vouloir ignorer ce que la science ne peut maîtriser ?...

    Alors, pourquoi ne pas se demander ce que ces enfants tentent de nous dire ? Ne seraient-ils pas le témoi­gnage d’un changement de civilisa­tion ? Un dernier rempart, une ul­time résistance à un comportement social totalement binarisé, formaté à des­sein par le matérialisme mondia­liste ? Alors pourquoi laisser certains se l’approprier ? Imposer la vue du «tout scientifique» sur le comporte­ment humain? La solution est-elle vraiment à trouver dans le domaine de la science universitaire dite «clas­sique»?

    L’origine de l’autisme n’aurait-elle tout simplement pas été cherchée
    dans le « bon endroit du cerveau » ? 

    Et si cet endroit n’était pas phy­sique mais quantique ? 

    Existerait-il une dimension encore in­connue de la psyché et donc (en­core) inexplorée par les sciences mé­dicales et comportementales ?

    La Théorie Vibratoire Quantique nous offre la possibilité de rentrer dans une mécanique subtile et inhé­rente au fonctionnement de l’indivi­du. Elle permet d’expliquer pour les physi­ciens ce que la matière nous cache et pour les Bioticiens qui pra­tiquent ma­nuellement un art subtil, c’est un sys­tème vibratoire d’énergie palpable qui apporte des explications et donne des résultats positifs, notamment sur les troubles autistiques de l’enfant.

    Le Cerveau Vibratoire et son implication chez l'enfant à troubles autistiques

    Pour décrire l'enfant à troubles au­tistiques vu par un thérapeute nom­mé ici Bioticien®, il est nécessaire d'intro­duire la notion entièrement nouvelle de Cerveau Vibratoire (CVQ). En effet, il existe, en miroir de notre encéphale «clas­sique» repré­senté par le Cerveau Neuronal (CN), un mécanisme subtil de gestion de notre organisme que le Bioticien® a appelé CVQ.

    Situé dans une autre dimension de l’espace-temps, mais tout de même «collée étroitement à la nôtre», ce Cerveau Vibratoire fonc­tionne à l’insu de la conscience de la personne, bien que, paradoxale­ment, il en soit l’outil de son exis­tence et de son expression.

    Par ailleurs, en l’état actuel des connaissances de la physique clas­sique, ce CVQ est invisible pour les yeux et pour toutes les technologies, IRM, ... Aucune machine ne peut y ac­céder; seules les «mains ma­giques» du Bioticien ont eu ce privi­lège d’ac­cès dans ce lieu hautement pro­tégé et secret. Car cet espace quan­tique contient toute la gestion du vi­vant et de l’évolution.

    « L’essentiel n’est il pas invisible pour les yeux ? » dit le renard au Pe­tit Prince de Saint-Exupéry.

    autisme01C’est dans une de ses multiples couches que se loge la structure de l’inconscient « Bio-psychanaly­tique » 4 mis en évidence par Emma­nuel Guizzo dans les années 1980 (5).

    Cer­veau Vibratoire Quantique

    autisme02Emma­nuel GUIZZO

    Cette découverte du CVQ n'a cessé de confirmer la réalité de ce méca­nisme invisible, par les résultats ob­tenus depuis, notamment sur les en­fants ultra-sensibles, appelés parfois enfants « différents », parfois en­fants « dys », « Asperger », voire «en­fants lumière » ou « indigo », c'est-à-dire tous à troubles autis­tiques.

    Une loi supérieure qui gouverne la matière et l'esprit

    Ce concept de CVQ qui relève de la vision initiale de l’Homme Vibratoire Biotique peut être comparé à l’homme supra-mental décrit par Sri Aurobindo qui parlait déjà « d'une même loi supérieure qui gouverne la matière et l'esprit », sans toutefois détenir les moyens d’en analyser les composantes à l’époque. Cette phi­losophie est celle de l’Asram de Pon­dichéry, exprimée notamment par Jea­nine La Jeunesse, dans sa créa­tion du Yoga-Danse® , de la Danse Biotique®, et de l’Ostéophonie®, et qui avait été elle-même formée par Ajit Sarkar, professeur de Hatha-Yo­ga et maître de recherche à l’INSEP en France et  élevé à l’Ashram au­près de Sri Auro­bindo.

    Jeanine La Jeunesse :

    www.youtube.com/watch?v=Te9I5rFzwfQ

    Ajit Sarkar et sa compagne Selvi Sar­kar :

    http://www.vellai-thamarai.com/

    P.S. de Nézariel (12/05/2013) : Ce que J’ai émis à une certaine époque était surtout pour faire comprendre que les Êtres étaient en vérité inter­connectés, mais que cette intercon­nexion pouvait avoir un différentiel dû à une affection neurale au point qu’un Enfant, même au niveau fœ­tal, peut être affecté en recevant un élec­tro-stimuli ne Lui permettant plus d’être en pleine phase avec la réalité subliminale intello-neurale de l’Hu­main telle qu’Il a été conçu dans sa perception à sa condition hu­maine, et surtout à sa condition col­lective telle que perçue par ses sens selon ce qui Lui est dicté pour cor­respondre à ce que ce monde attend de Lui, parce qu’en réalité ce que Vous appelez « Autiste » est un Être qui a subi un écart dans sa faculté à percevoir se­lon les sens humains, mais Il garde une connexion à une réalité inter-di­mensionnelle sans ne plus avoir la possibilité d’être pleinement en condition pour cette réalité terrestre telle qu’Il doit la percevoir pour cor­respondre à l’étique humaine, mais cela peut être rétabli comme indiqué  dans ce « développé », à la différence que cela sera toujours une réadapta­tion, mais jamais une reconfiguration totale et complète, parce que ce que cet Être a subi restera comme une in­cidence qu’Il pourra lors de sa réin­carnation rééquilibrer par le simple fait d’être conscient de ce qui L’a amené à vivre cet trans-digression. Ce que Je veux dire, c’est que l’Autiste pourra retrouver une condition réadaptée à ce monde, mais Il Lui sera plus difficile d’en ressentir la source parce qu’Il n’aura pas la même perception que Vous à un certain niveau de conscience. Et il en est ainsi.

    Une technique singulière et très dé­concertante pour l’esprit scienti­fique...

    Aller dans la matrice multidimen­sionnelle quantique, dans le coeur même de la machine cérébrale, de la psy­ché, dans le coeur du mystère du vi­vant, de l’inconscient, pénétrer dans le coeur de la machine hu­maine, pas­ser de l’autre côté du mi­roir comme le montre cette illustra­tion, c’est la puissance des mains  étalonnées du Bioticien qui agissent comme des dé­tecteurs des clés du fonctionnement de la « Divine ma­trice » pour déjouer les pièges de la densité mentale, du conscient, des neurones sans cesse en action dans la matière cérébrale.

    autisme03Voyage au centre de l’inconscient quantique

    «Si l’on sait plonger, grâces aux «mains magiques», (des mains exer­cées par des milliers d’heures de tra­vail comme probablement les des­sins du néolithique nous le sug­gèrent) au fond de la matière céré­brale, si l’on sait par cet outil, traver­ser la barrière osseuse du cortex, des neurones, du mental, du conscient, de l’inconscient même, si l’on sait dé­jouer les pièges de la densité men­tale, des barrières de toutes sortes, on atteint un niveau d’organisation extraordinaire qui laisse apparaître la structure bio-quantique du cerveau. C’est à dire les clés de fonctionne­ment. Le coeur de la machine hu­maine.

    On est passé de l’autre côté du mi­roir dans cet espace quantique, où le temps n’est plus le même...

    On est dans le coeur même de la ma­chine cérébrale, dans le coeur du mystère du vivant, de l’inconscient. On est dans la matrice multidimen­tionnelle quantique. On capte à la fois les mouvements des pensées, les mémoires de stress, la structure bio­logique du temps, l’agitation des mo­lécules d’eau, leur structure chan­geante, plastique, la pulsation des neurones, leur gonflement, leur contraction (suivie souvent de déshy­dratation)... les Mouvements des dif­férents lobes.. on voyage dans le pas­sé, le présent, le futur... tout un en­semble de phéno­mènes ultra-sen­sibles qui régissent le fonctionne­ment quantique du cer­veau.

    « La nature nous offre tant de mys­tères, tant de phénomènes inexpli­qués, que le rejet en bloc des faits in­explicables pour notre science ac­tuelle, paraît maintenant la marque d'un très petit esprit. Nous avons mieux à faire : il nous faut sans cesse accumuler les données, contrôler les faits, et l'explication viendra peut-être dans la suite. »

    Abbé Théophile Moreux

    Petit rappel du Système Biotique :

    Le système Biotique est l’interface entre le fonctionnement quantique du cerveau et le cerveau neuronal. Ce système nous montre que nous avons deux consciences : une conscience quantique et une conscience neuro-musculaire. Les deux sont imbriquées et inter­agissent normalement en per­manence.

    autisme04Comme en physique quantique, l’onde accompagne l’électron -ana­logiquement- toute l’activité quan­tique du cerveau est gérée par un principe global de grands Mouve­ments unifi­cateurs, le principal étant celui de la méduse, puis de l‘aile d’oiseau....

    Ce Mouvement Méduse façonne et guide le fonctionnement de commu­nication QUANTIQUE puis neuronal de l’individu. Ce Mouvement porte à la conscience toute l’alchimie in­terne quantique, toute l’information qu’il reçoit notamment des stimuli senso­riels. Le Cerveau Neuronal prend en­suite la relève par la ges­tion chimique du cerveau pour in­duire le comporte­ment visible dit «social». Donc notre comportement dit «social», émotion­nel…est géré fondamentalement par le CVQ. C’est cette structure quan­tique qui est blessée, souvent dé­truite chez l’en­fant autiste. A ce mo­ment, le sys­tème neuronal qui a per­du son guide, son modèle, se spasme, se fixe, se bloque créant ce fameux mur invisible dans lequel l’autiste est enfermé.

    Continuons l’exploration bio-quan­tique du cerveau pour expliquer l’au­tisme:

    autisme05Le moment où la structure quan­tique apparaît en surface, passe de l’invi­sible brownien en visible struc­turé (en géométrie dite euclidienne), est nommé cohérence de phase. Si un obstacle, un grain de sable se met dans cette remontée quantique il y a décohérence de phase.

    Par exemple, un stress majeur, un abandon, une vaccination crée cet obstacle. C’est comme une barrière souvent infranchissable. En général tous les autistes sont en décohé­rence de phase. C’est à dire qu’ils ont perdu la capacité de ges­tion et du passage du CVQ au CN à cause de ce grain de sable qui a blo­qué la délicate machi­nerie corticale. Peut être simplement le CN est blo­qué par un stress, un vaccin, sensa­tion d’un abandon in utero... étouf­fant ainsi le fonctionne­ment du CVQ.

    autisme06Les enfants ultra-sensibles, comme les « Asperger », développent des troubles de comportement à cause de ce déphasage, cette décohérence de phase,  entre le CN et le CVQ et de l’altération du CVQ. Faute de bonne gestion quantique du cerveau vibra­toire, la chimie est perturbée. Le neu­rotransmetteur n’est pas conduit par le bon chemin, vers la bonne cible par exemple, l’acide aminé est mal géré et le système do­paminergique sera perturbé avec des réactions de vio­lence...les lobes cérébraux seront perturbés, anor­malement excités, ou déprimés si ils ne reçoivent plus ou mal cette éner­gie quantique. Si ils sont bloqués en onde stationnaire, en boucle, ce sera le mouvement répéti­tif caractéris­tique des autistes par exemple.

    autisme07Par exemple le «flapping», ce réflexe si particulier qu’ont les autistes à imi­ter le battement des ailes d’oi­seau en agitant les mains, vient d’une décom­pensation par les mains du blocage du mouvement en ailes d’oiseau du CVQ.

    Il faut insister sur le fait que le Cer­veau Vibratoire communique avant tout par un sixième outil qui est ce­lui de l’onde quantique (celle analo­giquement couplée aux électrons com­parables aux neurones corti­caux).

    Des stimuli trop forts

    L’autisme provient souvent d’un blo­cage cortical provoqué en réponse aux stimuli de l’environnement qui sont trop forts par rapport à la capa­cité d’absorption de la « machine cor­ticale quantique» ultra-sensible, et surtout mal gérée. Pour ces en­fants ce peut être un simple stress vaccinal, (surtout pour les O+) un stress de gestation, la péridurale, trop d’écho­graphies... LA VOIX DÉPLACÉE DE LA MÈRE OU DU PÈRE...qui bloque pro­fondément l’expression de l’onde corticale du CVQ qui «s’exprime», je l’ai dit, par une dynamique particu­lière de Mouvements Bio­tiques. (On assiste alors à un spasme de ce cerveau sur fond de déshydra­tation).

    Car il est évident que si ces stimuli sont trop puissants, s’ils ne ren­contrent pas de possibilité de connexion quantique, de mise en phase automatique avec ce cerveau multidimensionnel, ils sidèrent le cer­veau neuronal. C’est ce genre d’écoute, de communication que la technique permet de rétablir. Cela apaise l’enfant, son carcan se fis­sure, et il peut souvent s’ouvrir à l’autre ra­pidement. Le cerveau lui-même se sent compris en quelque sorte. Il peut alors  appréhender la vie «nor­male».

    Parfois seul le contact avec des ani­maux comme les chevaux qui ont cette faculté psychique à dialoguer entre deux mondes leur permet de quitter momentanément leur isole­ment, fait démarrer momentané­ment le CVQ.

    Expression du quantum de vie

    Le CVQ «s’exprime » par une dyna­mique particulière de Mouvements Biotiques issus de la dynamique vi­bratoire quantique de la nature. Le Mouvement Méduse-Oiseau du cer­veau quantique est le secret fonda­mental qu’a prévu la nature quan­tique pour communiquer (émettre et recevoir) l’Information. Cette voie de communication privilégiée à la­quelle aspire l’enfant ultra-sensible s’altère puis se spasme à force d’être étouffée. Le CVQ perd sa force, s’étiole, Il ne peut plus repartir seul. C’est simple, si ce principe fondamental de communication est bloqué, l’enfant ne communiquera plus.

    Ignoré, maltraité, méprisé par notre mode de vie moderne, le CVQ ne se développe pas ou plus, régresse même, tout simplement parce qu’il a perdu sa place. Il a perdu la capaci­té de se nourrir harmonieusement des forces quantiques qui le connectent à ces dimensions mul­tiples, cosmiques, universelles. Ces espaces de vide dans lesquels sont logées -entre autres-, les informa­tions de gestion du vivant. Il se sent seul, panique et se ferme.

    L’enfant à troubles autistiques a un souvent un « gros » CVQ ultra-sen­sible mais qui reste «bloqué».

    Le gros cerveau est comme un gros disque dur mais sans le logiciel adé­quat. Ce logiciel étant celui de la ges­tion du CVQ de l’Homme du fu­tur, son bon état est encore plus in­dispensable pour ces ultra-sensibles. (si­non, c’est comme tenter de faire fonctionner un Mac OS avec un logi­ciel des années 60).

    C’est un peu comme si l’écran d’un ordinateur (CN) était connecté au disque dur surpuissant (gros cer­veau) avec un logiciel non mis à jour (CVQ dysfonctionnel) de ce fait in­adapté et obsolète et ne pouvant ra­mener en surface que des informa­tions brouillées donc illisibles et par consé­quent perturbatrices.

    Remarque: 

    Le gros cerveau quantique peut avoir deux sortes de structures : fu­turiste (normale) ou sphérique (anormale). La sphérique est plus préoccupante car elle va nécessiter une «resculptu­ration» totale en forme futuriste pour se stabiliser et stabiliser le com­portement avant l’amélioration signi­ficative espérée.

    autisme08Forme de cerveau sphérique

    A propos du «gros cerveau»

    Un article sur www.terrafemina.com relatant les dernière re­cherches américaines contribue à nous donner raison :

    Autisme : les enfants atteints pro­duisent trop de neurones

    Les enfants atteints d'autisme ont plus de neurones et un cerveau plus gros que ceux qui ne présentent pas ce syndrome. C'est ce que révèle une étude, publiée aujourd'hui dans le Journal of the American Medical As­sociation (JAMA).autisme09

    Selon une étude publiée aujourd’hui dans le Journal of the American Me­dical Association (JAMA), réalisée en grande partie par le Dr Eric Cour­chesne, professeur de neurologie à l’université de San Diego en Califor­nie, les enfants autistes auraient plus de neurones et un cerveau plus gros.

    En effet, d’après l’analyse post mor­tem de treize jeunes garçons, âgés de 2 à 16 ans, sept d’entre eux, tous au­tistes ont en moyenne 67% plus de neurones dans le cortex préfron­tal que les autres. Cette zone du cer­veau traite différentes fonctions cognitives supérieures tels que le langage, la communication et le raisonnement, qui sont justement des compétences intellectuelles fortement affectées par l’autisme.

    De plus, le développement excessif de ces neurones, résultant d’un dys­fonctionnement prénatal, provoque­rait une surdimension du cerveau et de la tête. En effet, l’étude révèle que le poids du cerveau des autistes est 17,6% plus important que celui des enfants normaux au même âge. L’ex­cès de neurones, et donc le gros­sissement du cerveau, pourrait être la cause sous-jacente du syn­drome.

    autisme10Albert Einstein (1879-1955)

    La fascination pour l'esprit perfor­mant d'Albert Einstein ne cessa pas après sa mort en 1955. Quand le phy­sicien mourut à l'âge de 76 ans, Tho­mas Harvey, un médecin légiste de l'université de Princeton fit une au­topsie et, sans permission, enleva le cerveau d'Einstein pour l'étudier plus tard, espérant résoudre le mystère de son génie. L'organe fut disséqué en plus de 200 morceaux, dont plusieurs furent examinés par de nombreux neurologues au fil des années, abou­tissant à des études sur l'abondance de cellules gliales du grand penseur et à des lobes pariétaux plus larges que la normale. En 2011, 46 lames du cerveau d'Einstein furent exposées au Mütter Muséum de Philadelphie.

    Remarque: Selon la protéïonique, (www.protéionique.com) l’abon­dance de cellules gliales augmente la possibilité de décodage des protéines du sang. Ce système de décodage est «buggé» chez les autistes qui sont donc souvent, comme les « Asper­ger », submergé par les infor­mations qui arrivent en conscience.

    Une courte vidéo pour expliquer ce phénomène par le Dr. VIAL :

    http://www.youtube.com/watch?v=G99iLJOapoE

    autisme11Le gros cerveau futuriste dans le mode d’expression

    Sans le logiciel futuriste de fonction­nement adapté à ce genre de cer­veaux très particuliers, parler, s’ex­primer demande alors une énergie trop importante pour qu’elle permette l’expression. C’est soit l’autisme muet, soit des perturbations dans la communication qui vont de la simple dyslexie à l’incohérence de langage ou une sorte de proto-langage non articulé.

    Les réactions au niveau du langage suite à un blocage du CVQ sont sou­vent surprenantes, incohérentes. C’est comme si ces enfants pas­saient de la profondeur  de l’expres­sion à la surface sans pouvoir accé­der à cette articulation du langage qui fait la spé­cificité de l’homme normal. Ils re­çoivent par à-coups, des informations quantiques qu’ils ne peuvent faire passer par le lan­gage articulé.

    La télépathie serait-elle le langage privilégié à leur situation vibratoire ?

    D’autres enfants posent inlassable­ment, en boucle, des questions ré­pétitives aux parents. Si la réponse de l’adulte n’a pas donné l’informa­tion quantique spécifique en accord avec la vibration quantique du cer­veau de l’enfant, il continuera à po­ser la même question parce que son CVQ n’a pas eu la satisfaction de l’onde quantique associée à la ré­ponse neu­ronale.

    Lorsque le Bioticien rétablit cette ren­contre entre CVQ et CN chez l’enfant au niveau de la question, celle-ci est résolue.

    Quelque soit la manifestation du pro­blème de communication, le pro­blème vient de cette relation entre le CVQ et le CN.

    autisme12

    Conséquence du blocage du CVQ chez les enfants à Haut Potentiel : l’estime de soi

    Mon papa est informaticien et moi je suis autiste

    Le CVQ des ultra-sensibles est très ré­fractaire à la «binarisation» des cer­veaux et de la société. Le forma­tage social et scolaire tel que nous le vi­vons ne l’intéresse pas. Pour lui, nous représentons le monde des neuroty­piques qu’il regarde avec ef­froi.

    J’ai remarqué qu’il y avait souvent des enfants autistes dans une fa­mille où le père était informaticien, ingé­nieur... Pourquoi. Par la pra­tique quo­tidienne de l’informatique, le cerveau quantique du parent se structure en bits d’informations. En 0 et 1. Ce qui est le mode de fonctionnement du neuronal. Il n’y a plus de différence entre le CVQ et le CN. Le CVQ s’habi­tue à fonctionner en binaire et perd sa capacité quantique (la capacité à gérer deux états de particules «à la fois» et non «alternativement» comme en informatique) à faire le lien entre les deux cerveaux ; il perd son intuition, il perd l’amour. Il se coupe de sa structure quantique qui est volumétrique et donc de celle du CVQ avec lequel son CN ne peut plus communiquer.

    autisme13

    Le fonctionnement vibratoire quan­tique du cerveau est la résultante de vibration simultanée entre 0 et 1. Par exemple, la solution d’un pro­blème est donnée par cette intrica­tion entre deux neurones. Normalement, l’influx nerveux du neuro-typique doit parcourir les che­mins synaptiques complexes, explo­rer les pistes pré-établies par l’ensei­gnement (réfléchir), comme dans un labyrinthe, pour aboutir à la solution espérée. Dans le fonctionnement quantique le neurone sort de son es­pace temps, rejoint l’espace vibra­toire quantique du cortex -un peu comme une sortie de corps phy­sique- et peut ainsi se mettre en co­hérence de phase avec la solution déjà inscrite dans ce champ. C’est ce qui caractérise le comportement des autistes, style «Rain Man».

    autisme14Le CVQ en bon état permet de ren­trer dans cette étonnante dimension futuriste. Le CVQ de l’ultra-sensible sait parfaitement jongler avec ces nombreuses interconnexions multi­dimentionnelles de l’espace temps que cela engendre. Si la communica­tion quantique se coupe par un fonction­nement binaire imposé par l’éduca­tion, la famille…l’enfant ne se sentant pas «compris», isolé, se coupe de ses parents, du monde en­vironnant.

    Comment rétablir la communication entre les deux cerveaux

    Après avoir testé brièvement le CVQ de l’enfant, le Bioticien procède à sa réparation. Ses mains transfèrent une énergie quantique structurée qui cor­respond exactement au be­soin du CVQ de l’enfant. Ce transfert est de la plus haute précision. Imagi­nez un cer­veau ultra sensible, qui a besoin d’une qualité d’énergie parti­culière qui lui a manqué, auquel on branche­rait une tension supérieure à celle né­cessaire à son fonctionne­ment. Le moteur serait immédiate­ment «grillé»...

    Tout est une question de dosage

    Pour le Bioticien, toute la difficulté pour réparer un Cerveau Vibratoire Quantique qui a «buggé» vient de la puissance et du dosage de l’énergie quantique -du quanta d’énergie- dif­fusée par ses mains (et jamais par une machine !) qu’il devra communi­quer au CVQ de l’enfant pour le faire redémarrer. Trop d’énergie peut griller le cerveau, (c’est par exemple une des raisons de l’échec du magné­tiseur); pas assez d’énergie et on ne réussit pas à obtenir la réaction quan­tique espérée. Pire, l’effondrement de couches quantiques que cela risque d’engendrer peut s‘avérer catastrophique. Je déconseille vivement à tout apprenti sorcier de s’aventurer dans cette voie ardue sans une formation initiatique sérieuse.

    P.S. de Yosuel (12/05/2013) : Lors­qu’un Être est en conscience d’être et qu’Il communique avec Nous, le do­sage de Lumière sera approprié, mais cela ne concerne QUE les Êtres étant en communication avec Nous, et non Ceux avec des « Entités » qui se disent être ce que Nous Sommes, là est de danger !

    autisme15L'étape des 3 ans 

    On remarque que la manifestation du dérèglement comportemental conduisant à l’autisme se manifeste souvent autour de l’âge de 3 ans. Cet âge correspondant au départ de la myélinisation du lobe frontal et au début de la maturation psychique. Le cortex pré-frontal plus précisé­ment est le lobe de l’attention, de l’ac­tion, du choix de l’action et des pro­jets. C'est-à-dire tout ce qui fait sortir l’individu du « tout sensoriel » induit par les autres lobes, selon les der­nières découvertes en neurobiolo­gie. A partir de 3 ans, le mouvement du CVQ va en fait demander une nou­velle source d’énergie Biotique pour pouvoir accompagner la maturation du cerveau neuro-frontal, le CVQ étant un véritable guide pour le CN. Pour comprendre, on peut comparer le CVQ à un œuf qui a l’énergie pour devenir un poussin mais pas pour « briser sa coquille »…

    autisme16Quant au langage, s’il n’est pas ac­quis avant 3 ans, le cerveau de l’en­fant aura d’énormes difficultés à re-sollici­ter cet effort pour briser la co­quille qui s’est refermée. C’est alors le mu­tisme. L’autisme muet. Si l’en­fant a perdu ce potentiel quantique de ges­tion du langage, les difficultés sont beaucoup plus grandes. En tout cas, ce spasme du CVQ est trop puis­sant pour être libéré par l’individu seul ou une thérapie neurotypique.

    Il est donc très important de tester et (Ré)activer le CVQ d’un enfant avant trois ans, période sensible comme celle des 7 ans. Car après 7 ans, la ré­activation du CVQ de­mande une énergie considérable et un travail de suivi beaucoup plus im­portant.

    Les trois étapes essentielles de ma­turation sont 3 ans 7 ans et 12 ans âge de la puberté

    autisme17La dynamique du massif facial

    Comme on l’observe bien sur la pho­to le désordre dentaire apparent est révélateur du désordre de la dyna­mique faciale, une force de construc­tion du crâne et du cerveau qui influe sur la structure quantique du Cer­veau.  C’est un reste d’anima­lité, d’in­volution. Ce peut être un signe d’alerte chez le jeune enfant qui n’a pas encore été diagnostiqué autiste.

    Les résultats

    En général, après la (ré)activation précoce du CVQ, (avant 3 et 7 ans) les résultats sur l’enfant à troubles autis­tiques sont manifestes -quelque soit le suivi de stimulation « classique » (Orthophonie) ou «al­ternatif» (ABA, Teacch, 3i...) de l’en­fant qui doit continuer. Mais il faut toujours avoir à l’esprit que ces mé­thodes de stimu­lation sensorielles,  aussi efficaces soient-elles, ne sont que des mé­thodes de «dressage» du Cerveau Neuronal, en quelque sorte de l’étho­logie pour humains. Car dans la majorité des cas, des cer­veaux vibra­toires que j’ai pu tester après, aucun des CVQ n’avait été ré­activé, laissant l’enfant en décohé­rence de phase avec son Soi cos­mique.

    Après 7 ans, le travail de reconstruc­tion de ce cerveau particulier est pos­sible mais beaucoup plus difficile et beaucoup plus long, surtout si il y a absence de langage.

    Conclusion : 

    «une origine du dysfonctionnement comportemental encore inexplorée et porteuse d’espoir»

    La mise en évidence du Cerveau Vi­bratoire Quantique offre aux pa­rents une autre possibilité de com­prendre la différence de leur enfant.

    Agir sur le CVQ c’est remettre l’en­fant sur les rails de la communica­tion familiale et sociétale.

    Le diagnostic précoce du CVQ peut s’effectuer dès la naissance ou même pendant la gestation.

    autisme18Une fois le CVQ mis en route, la com­munication se rétablit, mais sur des bases de fonctionnement nou­velles que les parents sont invités à com­prendre et expérimenter pour «se mettre sur la même longueur d’onde» que leur enfant différent, mais non moins génial et fascinant.

    Ces enfants à troubles autistiques ne sont-ils pas les annonciateurs balbu­tiants d’une mise en place de l’homme du futur dans le dernier cycle de l’évolution de l’Homme pré­vu par certains paléontologues comme Anne Dambricourt ?

    Dotés d’un cerveau plus subtil, au fonctionnement branché essentielle­ment sur d’autres dimensions, ces enfants sont encore des êtres mys­térieux pour la société matérialiste ac­tuelle qui ne peut encore agir qu’avec ses anciens paradigmes.

    À souhaiter que nos résultats sur ces enfants donnent vie à la Théorie Vi­bratoire Quantique et ouvrent de nouvelles perspectives pour ceux ci.

    autisme19

    Image typique d’un autiste dont le Cerveau Vibratoire n’a pas encore été activé.

    autisme20

    Image typique d’un autiste en crise par blocage pré-frontal d ‘un Cer­veau Vibratoire sphérique.

    A lire: Essai sur la mécanique cos­mique de l’inconscient : «une décou­verte fondamentale en sciences hu­maines» Ed Celena

    Le témoignage de Caroline M, ma­man d'un enfant "différent" qui ex­plique comment la réparation du Cer­veau Vibratoire Quantique de son fils lui a permis  de se sortir d'af­faire...

    http://www.youtube.com/watch?v=8LF0SUghEPc


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