• Dis-moi quelque chose de beauElle a dit : Dis-moi quelque chose de beau
    Il lui a dit : (∂ + m) N° = 0
     
    C'est l'équation de Paul Dirac, et c'est la plus belle de toute la Physique.
     
    Elle décrit le phénomène de l'entrelacement quantique, qui affirme que “Si deux systèmes interagissent entre eux pendant une certaine période de temps puis se séparent, nous pouvons les décrire comme deux systèmes différents, mais d'une manière subtile, ils deviennent un système unique. Ce qui arrive à l'un continue à affecter l'autre, même à distance de kilomètres ou d'années lumière ”.
     
    C'est l'entrelacement quantique ou la connexion quantique. Deux particules qui, à un moment ou à un autre, ont été unies, sont toujours en quelque sorte liées. Peu importe la distance entre les deux, même s'ils se trouvent à des extrêmes opposés de l'univers. La connexion entre elles est instantanée.
     
    C'est la même chose qui se passe entre deux personnes, un lien que seuls les êtres vivants peuvent expérimenter. C'est la façon dont fonctionne cette relation que nous appelons l'Amour.

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  • Gros plan sur notre tissu fascial, qui entoure à la manière d'un bandage à la fois dense et irrégulier les éléments composant notre corps : nos organes, nos muscles, nos os. Cet organe méconnu et vital suscite parmi les chercheurs en médecine un intérêt et un espoir croissants. Visibles à l'échographie, sensibles à l'acupuncture et à la pression manuelle, facilement endommagés par le stress et l'inaction physique, les fascias pourraient en effet se révéler l'origine méconnue de nombreuses pathologies, dont les douleurs dorsales, qu'elles soient chroniques ou non. L'approfondissement des connaissances en la matière est donc susceptible d'ouvrir de nouvelles pistes thérapeutiques, y compris dans la lutte contre le cancer.


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  • 25 caractéristiques des hommes et des femmes ‘alpha’Etre un « alpha » n’est pas une question de genre, et il y a des hommes alphas, mais aussi des femmes alphas. La caractéristique principale de ces personnes, c’est qu’elles s’imposent comme des personnes de pouvoir au travail et dans le monde des affaires. Pour faire simple, les alphas donnent les ordres, et les betas les exécutent. Dans Elite Daily, Preston Waters liste 25 caractéristiques que toute personne se doit de présenter si elle veut être reconnue comme un alpha:

    1. L’alpha est tenace. Il n’abandonne jamais. Il est la tortue, et non le lièvre, le dernier à être encore là. Il n’y a aucune limite à sa détermination.
    2. L’alpha a beaucoup de confiance en lui. Il peut marcher dans une pièce où il ne connaît personne, tout en devenant le centre d’attraction de l’assistance.
    3. L’alpha est en excellente condition physique. Il a l’air en bonne santé et il est attirant.
    4. L’alpha est courageux. Ce n’est pas qu’il n’a pas peur, mais plutôt qu’il l’accepte et qu’il accepte de faire face à chaque opportunité. Il comprend qu’il faut être courageux pour avancer.
    5. L’alpha est intéressant. Il a un bon sens de l’humour et c’est un orateur captivant.
    6. L’alpha a des histoires à raconter. Sa vie est exceptionnelle et il a vécu des aventures que tout le monde voudrait connaitre.
    7. L’alpha sait se moquer de lui-même. On ne peut jamais réellement railler un alpha, car il se joint à la moquerie, et personne ne peut mieux se moquer de lui que lui-même.
    8. L’alpha est modeste. Il n’oublie jamais d’où il vient et  garde les deux pieds sur Terre.
    9. L’alpha a soif de connaissances. Il veut toujours apprendre et savoir le plus de choses possibles. Sa maitrise d’une grande variété de sujets lui permet d’entrer en contact avec n’importe qui.
    10. L’alpha est extrêmement sympathique. Avec lui, on passe toujours du bon temps, quelques soient les circonstances.
    11. L’alpha choisit ses mots. Il ne parle pas pour le plaisir de parler, il respecte le pouvoir des mots et sait comment en obtenir exactement ce qu’il veut.
    12. L’alpha a un but. Alors que beaucoup errent dans leur propre vie en essayant de se trouver, l’alpha se concentre sur son propre développement, et chaque jour, il se rapproche de son objectif.
    13. L’alpha travaille dur. Il sait qu’on ne peut rien accomplir de formidable sans un objectif défini, et sans travailler dur.
    14. L’alpha n’est pas un angoissé. Il comprend qu’il ne peut pas tout contrôler. Il fait ce qu’il peut pour contrôler ce qui lui est possible de contrôler, mais il ne s’inquiète pas de ce qui lui échappe. Il ne s’inquiète pas du lendemain : il préfère se concentrer sur le présent.
    15. L’alpha est un combattant. Ce n’est ni un violent ni une personne fragile sur le plan émotionnel, qui recherche systématiquement le conflit. Il ne se bat que lorsque c’est la seule chose logique à faire, que ce soit physiquement ou moralement. Et lorsque cela se produit, il se bat pour gagner.
    16. L’alpha a du style. Il est soucieux de son apparence et il en obtient du respect. Il sait s’habiller de façon élégante. On ne peut confondre les hommes alphas avec les métrosexuels.
    17. L’alpha sait qui il est et il a des valeurs et des principes. Il ne s’en écarte pas et il est prêt à les défendre, même s’il se retrouve isolé dans son combat.
    18. L’alpha aime la compétition. Il ne supporte pas de perdre. Son esprit de compétition est ce qui le propulse dans la vie.
    19. L’alpha est son propre maître. Il n’est pas dirigé par d’autres, il n’est pas jaloux avec les femmes et ne cherche pas à contrôler les autres.
    20. L’alpha est une personne de valeur. Einstein savait que le succès est une question de valeur. « N’essayez pas d’être quelqu’un qui réussit, mais essayez plutôt d’être une personne de valeur », disait-il. L’alpha est un homme de valeur qui améliore la vie des autres lorsqu’il les connait.
    21. L’alpha aide les autres. Il est généreux et aime rendre les autres heureux.
    22. L’alpha est un leader qui mène par l’exemple. Il ne dit pas aux autres comment il faut vivre, mais il vit de la manière qu’il considère être la meilleure, et les gens le suivent.
    23. L’alpha voit des opportunités là où les autres voient des échecs. Achille, William Wallace et Napoléon ne voyaient pas l’échec comme la fin de l’expérience, mais comme une part nécessaire, une étape décisive. Un alpha sait qu’il va échouer, et cela lui permet d’essayer des choses que les autres n’osent pas faire.
    24. L’alpha est têtu. Son entêtement est ce qui lui permet de réussir. Rien ne peut l’arrêter quand il commence quelque chose qui le passionne.
    25. L’alpha n’essaye pas d’être un alpha. Il est authentique et il aime la vie, il veut vivre sa vie de la meilleure façon possible, en s’intéressant réellement aux autres.

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  • Quand je demande à ceux que je rencontre de me parler d''eux-mêmes - Christiane SingerQuand je demande à ceux que je rencontre de me parler d''eux-mêmes, je suis souvent attristée par la pauvreté de ma moisson. On me répond : Je suis médecin. Je suis comptable.

    J'ajoute doucement : Vous me comprenez mal, je ne veux pas savoir quel rôle vous est confié cette saison au théâtre, mais qui vous êtes, ce qui vous habite, vous réjouit, vous saisit.

    Beaucoup persistent à ne pas me comprendre, habitués qu'ils sont à ne pas attribuer d'importance à la vie qui bouge doucement en eux. On me dit : Je suis médecin... ou comptable. Mais rarement : Ce matin quand j'allais pour écarter le rideau, je n'ai plus reconnu ma main. Ou encore : Je suis redescendu tout-à-l'heure pour reprendre dans la poubelle les vieilles pantoufles que j'y avais jetées la veille. Je crois que je les aime encore. Ou je ne sais quoi de saugrenu, d'insensé, de vrai, de chaud comme un pain chaud que les enfants rapportent en courant du boulanger.

    Qui sait encore que la vie est une petite musique presque imperceptible qui va casser, se lasser, cesser si on ne se penche pas vers elle. Les choses que nos contemporains semblent juger importantes déterminent l'exact périmètre de l'insignifiance : les actualités, les prix, les cours de la bourse, les modes, le bruit de la fureur, les vanités individuelles... Je ne veux savoir des êtres que je rencontre ni l'âge, ni le métier, ni la situation familiale. J'ose prétendre que tout cela m'est clair, à la seule manière dont ils ont ôté leur manteau.

    Ce que je veux savoir, c'est de quelle façon ils ont survécu au désespoir d'être séparé de l'un par leur naissance, de quelle façon ils comblent le vide entre les grands rendez-vous de l'enfance, de la vieillesse et de la mort, et comment ils supportent de n'être pas tout sur cette terre. Je ne veux pas les entendre parler de cette part convenue de la réalité, toujours la même, le petit monde interlope et mafieux, ce qu'une époque fait miroiter du ciel dans la flaque graisseuse de ses conventions.

    Je veux savoir ce qu'ils perçoivent de l'immensité qui bruit autour d'eux. Et j'ai souvent peur du refus féroce qui règne aujourd'hui à sortir du périmètre assigné, à honorer l'immensité du monde créé, mais ce dont j'ai plus peur encore, c'est de ne pas assez aimer, de ne pas assez contaminer de ma passion de vivre ceux que je rencontre.

    Christiane Singer


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  • S'il vit entouré de critiques,
    il apprend à blâmer.

    S'il vit entouré d'hostilité,
    il apprend à être agressif.

    S'il vit entouré de moquerie,
    il apprend à être timide.

    S'il vit entouré de honte,
    il apprend à se sentir coupable.

    S'il vit entouré de tolérance,
    il apprend à être patient.

    S'il vit entouré d'encouragement,
    il apprend à agir.

    S'il vit entouré d'éloges,
    il apprend à complimenter.

    S'il vit entouré de probité,
    il apprend à être juste.

    S'il vit entouré de sécurité,
    il apprend à faire confiance.

    S'il vit entouré d'approbation,
    il apprend à s'accepter.

    S'il vit entouré d'amitié,
    il apprend à aimer la vie.


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  • Message reçu d'Yves La plupart des femmes ont sur ce sujet des idées reçues (hélas fausses), mais surtout très conditionnée par notre société. En effet la pression sociale est l'ennemie de notre santé ! C'est très souvent que les femmes sont dans ce cercle addictif dont elles ne se rendent même plus compte:

    1. On met un soutien gorge parce que les autres le font (dés le plus jeune âge alors que c'est absolument inutile).
    2. Les muscles et ligaments s'atrophient car les seins sont constamment soutenus.
    3. Le confort social s'installe donc on continue à mettre le soutien gorge.
    4. Lorsqu'on enlève le soutien gorge un effet de tiraillement donne un inconfort avec la "sensation" que la poitrine tombe car plus soutenue artificiellement à une place qui n'est pas la sienne.
    5. On remet le soutien gorge à cause de cette sensation d'inconfort que le soutien gorge a généré lui-même...
    6. Conséquences sur la santé: Au fil du temps naissent kystes, fibrokystes et parfois tumeurs car manque d'oxygénation et circulation des fluides corporels

    Faire l'essai de s'en passer pendant quelques temps, (mettre un débardeur simplement si les vêtements sont transparents). Personne ne fait de réflexions (toutes celles qui ont essayé le disent) pour ne plus vouloir en remettre dans quelques semaines car on se rend alors compte de l'inconfort et de l'oppression que cela procure !Je pourrai vous joindre si vous le désirez des témoignages copiés sur de nombreux forums qui en parlent. 

    Le danger du soutien gorge 5.2 from Yves971 

    Un autre
    regard sur
    notre façon
    de vivre

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    photo02
    Voir taille réelle

    Pour mieux comprendre l’aberration d’un comportement social il faut en être extérieur…

    Ainsi l’aspect monstrueux du pied de lotus ne l'empêchait pas d'être considéré comme la partie la plus érotique du corps féminin, et les délicats chaussons ou bottillons qui les couvraient étaient, par association, source de délices.

    Seins et soutien-gorge un comportement social

    • Chez nous une des parties les plus érotiques du corps féminin sont les seins et par association le soutien-gorge.

    • Pourtant les seins ne servent qu’à nourrir les enfants et sont synonymes de maternité dans la plupart des régions du monde.

    • Le soutien-gorge est devenu ainsi un pilier de la mode.

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    Les alertes du milieu médical

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    Pourtant c'est aux environs de 1930 qu'a été publiée une première étude qui faisait déjà une relation entre les soutien-gorge et l'augmentation du nombre de femmes ayant un cancer du sein.

     

    Depuis les études de chercheurs et médecins pourtant publiées se succèdent mais ne trouvent pas leur écho dans la population féminine souvent conditionnée par les médias et la publicité.

    Le soutien-gorge et le drainage lymphatique

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    Une très récente étude menée par deux médecins anthropologues met en évidence le lien entre le port du soutien-gorge et le cancer du sein.

    Compression des ganglions lymphatiques

    Le soutien-gorge compressant les divers ganglions et canaux lymphatiques, les toxines ne sont plus éliminées naturellement par le drainage lymphatique et s’accumulent dans le sein faisant apparaître au fil du temps, kystes fibrokystes et tumeurs cancéreuses.

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    Les capillaires lymphatiques

    Les capillaires lympha-tiques sont sous-cutanés (juste à fleur de peau) et microscopiques. Leur compression se fait par simple pression et empêche la lymphe chargée de déchets d'aller se déverser dans les vaisseaux ou même dans les ganglions. Cette lymphe devient alors stagnante et les toxiques qu'elle n'a pas pu évacuer feront des dégâts sur place.

    Les soutien-gorge plus ou moins serrés par leurs élastiques, leurs arma- tures ou par leurs bonnets qui remontent les seins compriment ces capillaires et vaisseaux lymphatiques empêchant la circulation lymphatique.

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    Le réchauffement permanent des seins

    Les soutien-gorge par leur tissu enveloppant les seins et par la compres- sion exercée sur les seins, augmentent sensiblement la température du sein. Ceci est prouvé par des études thermo graphiques

    On sait qu'un sein pré- cancéreux ou cancé- reux est plus 'chaud' qu'un sein non cancéreux

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    Le massage naturel du sein libre

    Le mouvement naturel du sein libre pendant la marche crée normalement un massage qui fait circuler le lymphe.

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    Lorsque ce mouvement naturel est entravé, la lymphe ne circule plus, les toxines s’accumulent et kystes et tumeurs apparaissent.

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    Des résultats d’enquête stupéfiants

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    L’étude sur le cancer a révélé que 3 femmes sur 4 qui ont un cancer du sein portent régulièrement un soutien-gorge contre une sur 168 qui n’en portent pas du tout.

    Le risque d'avoir un cancer du sein est donc 125 fois supérieur selon que l'on ne porte pas du tout un soutien-gorge ou que l'on en porte un 24h/24.

    Porter un soutien-gorge donnerait donc 12 fois plus de risque de développer un cancer que fumer.

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    Un accessoire de mode destructeur ?

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    Certains pays (Japon, provinces de l’Inde, Fidji, Maoris…) n’hésitent pas à faire des campagnes pour un retour au vêtement traditionnel seins libres, depuis l’apparition du cancer du sein avec l’adoption de la mode occidentale.

    En effet, les femmes vivant à la mode occidentale développent des cancers dans ces mêmes pays ou les autres vivent seins libres de façon traditionnelle et n’en développent pas.

    Un faux besoin

    Depuis 1978, plusieurs études médicales en France, aux États-unis, au Japon et en Grande-Bretagne ont mis en avant que, contrairement aux idées reçues, le soutien- gorge peut augmenter la chute des seins.

    Pourtant les lobbies de l’industrie textile n’ont de cesse de clamer ce qu’ aucune étude médicale ne dit !

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    De plus, le port de cet article de lingerie et le manque d’exposition au soleil réduit le taux de mélatonine, que l’on considère comme une molécule anti-cancéreuse.

    Le soutien gorge est inutile et favorise la chute des seins.

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    Certaines études parallèles au Japon et notamment en France avec le professeur Jean-Denis Rouillon, médecin du sport au CHU de Besançon ont démontré que le port du soutien- gorge favorisait l’affaissement de la poitrine.

    « L'arrêt du port du soutien-gorge est bien supporté par les femmes en terme de confort et d'esthétique. Contrairement aux idées reçues, le sein ne tombe pas mais il se raffermit, remonte et la qualité de la peau s'améliore ».

    Le soutien gorge est inutile
    et favorise la chute des seins

    En effet, les ligaments de Cooper et les muscles peauciers qui sont les soutiens naturels de la poitrine ne travaillant plus, ceux-ci s’atrophient et la poitrine perdant sa fermeté s’affaisse encore plus rapidement avec le temps.

    Le sein est donc enveloppé dans « une membrane mince et très solide, d'autant plus costaud qu'elle travaille ». Il est également « suspendu comme un filet à pro- vision » par ces ligaments reliés à la peau. D'où parfois, lors de l'arrêt du port du sous-vêtement, une désagréable sensation de tiraillement pouvant durer quelques semaines avant qu’ils ne reprennent de la vigueur.

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    La croissance chez la jeune fille

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    Chaque mère, conditionnée par notre société, affuble sa fille de cet accessoire lorsque sa poitrine devient naissante.

    Ceci contribue déjà à la chute de la poitrine parce que les éléments anatomiques de suspension du sein, à la fois musculaire (le platysma) et conjonctif (l’ensemble des fascias), se renforcent lors de la croissance car la pesanteur ou les contraintes mécaniques appliquées au sein libre s’exercent.

    Les tissus composant le sein ne se distendent donc pas sans soutien-gorge, malgré une augmentation du volume mammaire. Le sein n’évolue pas vers la ptose et s’avère plus ferme.

    Étude médicale sur l’évolution
    du confort sans soutien-gorge (2009)

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    Extrait de la thèse de Olivier Roussel sous la direction de Jean Denis Rouillon

    Prévention de la ptose
    (chute des seins) sans soutien-gorge

    L’angle de l’axe du mamelon par rapport à l’horizontale augmente en moyenne de 180% !

    Il s’agit d’une évolution esthétiquement favorable puisque inverse de la ptose. Le sein libre se fortifie.

    Ne jamais porter de soutien-gorge donne donc une poitrine naturellement plus ferme et plus haute contrairement aux idées reçues.

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    Extrait de la thèse de Olivier Roussel sous la direction de Jean Denis Rouillon

    Un maintien mécanique naturel

    En posant des capteurs sur des athlètes, des chercheurs sportifs ont pu découvrir que leur poitrine parcourt ainsi 6 cm de haut en bas et 9 cm de la gauche vers la droite au cours des diverses pratiques sportives. Ce sont ces mouvements (réduits de 70% avec un soutien-gorge) qui permettent au sein de s’adapter et de multiplier naturellement les formes de maintien.

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    Constatation à la fois déconcertante et ahurissante, malgré toutes nos idées reçues, leur poitrine après trois ans d’étude n’a pas molli, s’est encore moins affaissée et s’est même carrément rehaussée!

    Quand le soutien gorge n’existait pas

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    Les femmes existaient déjà…

     

    …Et n’avaient pas de problème de soutien !

    Disparition des douleurs sans soutien-gorge

    Deux chirurgiens des seins britanniques ont conduit des essais dans deux cliniques en Angle- terre et Galles. Ils ont étudié sur des femmes pour voir si le fait de ne pas utiliser de soutien- gorge pouvait diminuer les douleurs de poitrine. Leur étude a conclu que pour la majorité des femmes il y avait une diminution de la douleur pendant une période de 3 mois sans soutien-gorge.

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    Pour l'étude, ils ont demandé aux femmes de ne pas utiliser de soutien-gorge pendant 3 mois, et à la place d'utiliser une sorte de T-shirt souple (ou un débardeur), pour celles qui souhaitaient un sous-vêtement alternatif, ou rien du tout.

    A la suite de l’étude, aucune femme n’a souhaité retrouver l’usage du soutien-gorge, car elles avaient gagné aisance et confort.

    Aisance et liberté

    Un docteur en médecine a publié ses résultats dans le traitement de la douleur des épaules chez les femmes à fortes poitrines. Dans cette étude de 5 ans, il a été suggéré que les patientes soulagent le poids de leurs épaules pour une durée de
    2 semaines en allant sans soutien-gorge.

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    L'étude a indiqué que le résultat à long terme était la présence ou l'absence de la douleur dans les épaules, si on utilisait ou non un soutien-gorge.

    79% des patientes ont décidé de décharger le poids de leur poitrine de leurs épaules de façon permanente en éliminant définitivement l'utilisation de soutien-gorge parce qu'il les a faits se sentir libérées.

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    Un choix: santé ou apparence

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    Des résultats
    d’enquête
    qui laissent
    à réfléchir…

    Un geste simple
    pour la santé,
    rapide
    et gratuit…

    photo36

    La pression sociale est
    le plus grand ennemi de votre santé

    Porter un soutien-gorge n’a aucune nécessité médicale, bien au contraire…

    Est-il plus confortable socialement d’avoir un cancer du sein que de sortir sans soutien-gorge ?

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    Normalité ou aberration ?

    Vivre dans une société nous impose des règles que l’on ne choisit pas forcément.

    A nous de faire un choix de comportement.

    photo01 photo38

     

    Message reçu de Yves, l'auteur du diaporama que j'ai transformé en article ici. Merci à lui.

    Bonjour,

    J'ai vu que vous avez relayé mon diaporama concernant le lien entre le soutien-gorge et les effets néfastes sur la santé des femmes sur votre blog. C'est une très bonne chose que les femmes soient informées mais cette idée a hélas de nombreux détracteurs car il n'existe aucune étude médicale utilisant tous les protocoles scientifiques qui puissent confirmer cela. Donc, pour le monde scientifique, ceci est un mythe ! C'est une façon d'opposer des opinions contre des études qui paraissent censées, même si tous les protocoles ne sont pas respectés...
    En attendant, ne pas porter de soutien-gorge ne nécessite aucune ordonnance et est entièrement gratuit. Le principe de précaution me semble tellement évident ...
    Bien cordialement.
    Yves


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