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Par ChristianeKolly le 7 Avril 2014 à 10:29
« Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur. »Dr. Paul-Emile CHEVREFILS
« Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire. » Drs. H. BUTTRAM et J. HOFFMANN
« Je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation logique avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’ils contractèrent après avoir été vaccinées. » Dr. J.W. HODGE (The Vaccination Superstition)
« Certaines souches de vaccines peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète et la sclérose en plaques. » Dr. G. DETTMAN (Australian Nurses Journal)
« Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose. » British Medical Journal 1967
« Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même. » Dr. William FROSEHAVER
« C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang des protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui. » Dr. MOSKOWITZ
« Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie… Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts. »
Dr. SALK (SALK A introduit le vaccin original de la polio dans les années 50)
« Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer. » Pr. R. SIMPSON de l’American Cancer Society
« Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie. » Dr. MENDELSOHN
« Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population. » Medical Journal of Australia 1978
“L’évidence suggère que les personnes qui sont vaccines contre la grippe ont approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain- Barré que ceux qui n’ont pas été vaccinés. » Center for Control Diseases 1977
“C’est une véritable épidémie … Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont blessés par vaccinations. » Dr. Bernard RIMLAND Directeur et fondateur du Autism Research Inst. Of San Diego
“Pendant 23 ans, j’ai observe que les enfants non vaccines étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccines. Les allergies, l’asthme et des perturbations comportementales étaient clairement plus fréquentes chez mes jeunes patients vaccinés. D’autre part, les premiers souffert plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres. » Dr. Philip INCAO
“ Sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux Etats-Unis avec le DCT, 16 038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants – ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions ; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT. » Dr. Allan HINMAN et Jeffrey COPELAN (Journal of the American Medical Association)
« Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien mais ils continuent à le vendre tout de même. » Dr. Anthony MORRIS (Anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des Etats-Unis)
« J’appelle ça de la vaccinnomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité. » Nicholas REGUSH, journaliste médical
« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné. » « ...Le lancement du B.C.G. est un modèle de gangstérisme économique, une gigantesque et malhonnête opération commerciale. Rien ne manque au scénario : un inventeur farfelu, des expériences de laboratoire truquées, un vernis pseudoscientifique, des statistiques tronquées, une publicité éhontée, l'appui acheté des mandarins, et, suprême astuce, la gratuité du produit... financé par le contribuable !
Tout cela ne sort pas de l'ordinaire ; le public français est habitué aux scandales. Mais ce qui est propre au B.C.G., et qui atteint les sommets du machiavélisme, c'est l'ultime manoeuvre, réussie, de coercition diabolique imaginée par les promoteurs, le onseil de la République, l'obligation vaccinale pour le B. C. G. Dr. Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)
« ... Quand un car dégringole un ravin avec 40 écoliers à son bord, le drame fait la une des journaux dans le monde entier. Les centaines d'enfants tués chaque année par le B.C.G. restent anonymes... La poule aux oeufs d'or de l'Institut P... finirait en court-bouillon ! Le corps médical ne doit en aucun cas en être informé... » « ...Apprenez ici une vérité terrible : chaque fois que vous entendez parler d'une affreuse mort d'enfant, terrassé dans les premières semaines de sa vie, par une «méningite virale », vous êtes en droit de suspecter le B.C.G., même si l'autopsie a confirmé le diagnostic classique d'« encéphalite virale > foudroyante... » « ...Si le médecin responsable d'une telle horreur est conscient du rapport de cause à effet, il est un criminel éclairé, et un lâche pour n'avoir pas parlé. S'il ne saisit pas le rapport, il est un dangereux imbécile prêt à la récidive... » Dr. Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)
« Les campagnes publicitaires en faveur des vaccins représentent un endoctrinement type lavage de cerveau... On utilise tout d'abord la désinformation, avec trucage des chiffres statistiques et amalgame savant de l'effet protecteur du vaccin avec d'autres affections et une annonce de possibilité de contagion totalement fantaisiste. Ensuite on sème la terreur, pour faire croire à l'ensemble de la population que telle maladie est effroyable, mettant au même rang de gravité une banale rougeole et une poliomyélite paralysante. Ensuite on procède à la banalisation de l'acte vaccinal.» Dr Alain SCOHY
« La quasi totalité des cas de poliomyélite recensés aux U.S.A., de 1980 à 1994, a été causée par l'administration du vaccin oral atténué.» Dépêche AFP, 1er février 1997
«Les Français, manipulés et désinformés en sont venus à considérer l'acte vaccinal comme le baptême : hors vaccin pas de salut. Or, il n'a jamais été prouvé scientifiquement que les vaccins étaient efficaces et sans danger... Le principe de la vaccination constitue la plus monstrueuse erreur médicale et scientifique du siècle.» Dr. Louis DE BROUWER (Vaccination erreur médicale du siècle)
« Le système immunitaire s'avère particulièrement endommagé à la suite de vaccinations de routine... » « ...Le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri chez les nombreux enfants soumis aux programmes vaccinaux courants.» Le Concours Médical (20 janvier 1974)
« ...Ce n'est pas une pratique médicale sensée que de risquer sa vie en se soumettant à une intervention probablement inefficace, afin d'éviter une maladie qui ne surviendra vraisemblablement jamais. » Dr Kris GAUBLOMME
« 2/3 des 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson avaient reçu le vaccin D.T.P. dans les 3 semaines précédant la mort. Certains même étaient morts le lendemain.» Dr TORCH (« Neurology 1982 »)
« Une équipe médicale du Baylor Collège à Houston a retrouvé le virus SV 40 dans les tissus de patients souffrant de tumeurs du cerveau et de mésothéliomes. Ce virus, reconnu cancérigène, a ainsi été injecté à 30 millions de personnes à travers le monde par le vaccin contre la polio... » Science et Vie (décembre 1996)
« ...Les vaccinés, loin de constituer un barrage protecteur vis-à-vis des non-vaccinés, sont au contraire dangereux et peuvent contaminer le reste de la population, puisqu'il est prouvé qu'ils peuvent être porteurs et transmetteurs de virus poliomyélitiques par voie intestinale, et peut-être par d'autres voies... » Dr. Yves COUZIGOU
« ...Les végétariens prétendent depuis toujours que l'ingestion de la chair des animaux introduit petit à petit chez l'homme la bestialité de l'animal abattu... Qui parle ici d'ingestion ? ...Il est injecté à travers la peau, échappant à son contrôle... Les compères C. et G. (Calmette et Guérin) n'ont pas pris l'animal au hasard. ils ont choisi la vache. Ce paisible bovidé devient lentement mais sûrement le lien analogique et quasi parental de la grande famille des Français...» Dr. Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)
«.Depuis 1957, l'O.M.S. ne recense dans les statistiques que les formes paralytiques de poliomyélite, alors qu'avant la vaccination, toutes les formes de polio étaient incluses, ce qui permet de faire apparaître une régression des cas qui est loin d'être la vérité.» Dr SCHEIBNER (Expert Australien)
« ...Après l'échec retentissant du vaccin Salk (Au Massassuchets, 75 % des cas aralytiques avaient pourtant reçu 3 doses ou d'avantage du vaccin), une parade géniale fut trouvée pour sortir l'industrie du médicament du pétrin (« Life science ») : on décida de nouvelles normes pour l'établissement du diagnostic de la polio. Pr. GREENBERG
« Si le principe de la vaccination était concevable au début du 20ème siècle du fait que le monde médical et scientifique ignorait pratiquement tout de la biologie moléculaire, des virus et rétrovirus endogènes et même exogènes et du principe de la recombinaison de ces derniers, il en va tout autrement depuis quelques décennies. Continuer à vacciner des populations entières, depuis 1978 des centaines de millions d'individus, constitue non seulement une erreur, mais également un acte criminel, véritable génocide, à l'échelle planétaire. » Dr Louis de Brouwer (Sida, le vertige)
« Que la vaccination soit obligatoire ou non obligatoire, vacciner de force, c'est violer y collaborer est meurtrier. » Dr. Guylaine LANCTOT
« La vaccination est le modèle de l'incertitude, des interactions et relations imprévisibles. Elle se situe aux antipodes de l'esprit scientifique. » Dr Jacques KALMAR
« L'ânerie humaine est la source des pires catastrophes... » ( Montaigne) « ...Mais aussi une mine d'or inépuisable pour qui sait l’exploiter. » Dr. Toulet
« L'effet patent des vaccins est de favoriser la mort. » Pr. Louis Claude Vincent
« Dans plusieurs pays en voie de développement, on s'était imaginé qu'avec une seule campagne de vaccinations on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu'à quintupler depuis la vaccination.» Pr Lépine ( Médecine praticienne n°467)
« Quant Les scientifiques et les médecins s'attribuent la gloire d'une évolution qui est due en réalité aux plombiers et aux paysans! C'est grâce à eux que s'est développée une meilleure hygiène et que l'on a pu avoir une meilleure nourriture.([...) Avec une bonne nutrition, vous vous assurez un bon système immunitaire et vous n'êtes plus la proie des maladies. » Peter Duesberg, (Professeur de biologie moléculaire et cellulaire à l'université de Berkeley)
« Un virus, même atténué, peut reprendre sa virulence - c'est notamment le cas du virus polio vaccinal, qui redevient pathogène après son passage dans l'intestin et contribue à contaminer l'entourage. Les cas de polio chez les contacts des vaccinés par le vaccin oral sont bien connus. » « Il n'existe aucune souche vaccinale issue des singes qui soit dépourvue de virulence neurologique.» Dr Garcia Silva ( le Maroc Médical n° 43)
« L'introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d'infection. [...] Le mal qui est fait est incalculable. » Pr R. Delong, (Virologue et immunologue de l'université de Toledo aux Etats-Unis.)
«En 1945, la Hollande était le pays d'Europe le plus touché par le fléau tuberculeux. En 1974, sans jamais avoir eu recours au BCG, la maladie y était totalement éradiquée. A l'inverse, le fléau tuberculeux reprenait de la vigueur partout où le BCG est encore pratiqué » Bulletin statistique du ministère de la Santé publique et de la Sécurité sociale ( n° 1 de 1974)
« Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. (...) Il est responsable d'un grand nombre de morts et d'un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveau-nés. » Dr Kalokerinos (24 mai 1987 Sunwell Tops)
« On a mené une campagne à la hussarde. On a violé la conscience des gens. Même les grands-mères de 80 ans venaient réclamer leur vaccin ! » Pr Alain Fisch
« Les hommes politiques sont donc désormais responsables et coupables. Leur culpabilité repose sur le fait qu'ils ont en main toutes les informations sur le système actuel. Ils savent parfaitement que l'expertise fonctionne à sens unique. Ils connaissent la collusion entre les experts et les vendeurs. Ils acceptent cet état de choses. Les dirigeants politiques ont des comptes à rendre. » Dr Lacaze
« Les idées pasteuriennes propagées et enseignées comme un catéchisme d’enfant de coeur font reculer l’intelligence et donc la civilisation. » Dr. René DUFILHO
« Les vaccinations ne sont que d’abominables mystifications hygiéniques qui ont déconsidéré la science et la pratique de l’art de guérir en décimant l’humanité pour enrichir les vaccinations. » Dr. Hubert BOENS
« La vaccination est la plus grande escroquerie médicale de tous les temps. » Pr. Jules TISSOT
« Toute vaccination est un scandale si on la considère sur un plan scientifique. » Dr. Jacques KALMAR
« La présence d’un oedème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent peu de temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante… Les enfants de moins de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie. » Dr. Jane ORIENT (Médecin, directrice de l’Association des médecins américains et des chirurgiens)
« Comme dans les livres saints, le dogme est installé sans faille. » Dr. Jacques KALMAR
« Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. » Dr. Harris COULTER (Vaccination Social Violence and Criminality)
« Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu’ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient. » Pr. Georges DICK (British Medical Journal, juillet 1971)
« Le drame c’est que les hommes soient aveugles au point de ne plus être accessible qu’à l’erreur. Et les hôpitaux, les cimetières sont pleins de gens qui ont accepté, avec satisfaction, de se laisser assassiner stupidement par la malveillance de la seule force qu’ils ont cultivée avec soin : la force de leur IGNORANCE. » Dr. Jacques KALMAR
« Nous retrouverons toujours les mêmes remarques concernant les effet défavorables des vaccinations. Une vaccination, quelle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l'organisme. » Pr R. Bastin (Concours médical, Ier février 1986)
« Les micro-organismes inoculés à travers toutes les barrières naturelles ont été bricolés de telle manière que la majorité des individus développe des pathologies chroniques dont les symptômes ne sont pas faciles à rattacher à leur cause initiale. » Dr Jacqueline Bousquet
Si nous continuons à généraliser et multiplier l’emploi des vaccins, on peut concevoir que d’ici quelques décades une pathologie nouvelle, celle de sociétés vaccinées, verra le jour. Pr . P. DELOGE (Tendance de la médecine contemporaine 1962)
Ne vous hâtez pas de faire tomber la fièvre de votre malade ; s’il souffre d’une affection virale, vous risquez de compromettre sa guérison. Pr . André LWOFF ( Prix Nobel de médecine )
« Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur. » Dr. Paul-Emile CHEVREFILS
« Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire. » Drs. H. BUTTRAM et J. HOFFMANN
« Je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation logique avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’ils contractèrent après avoir été vaccinées. » Dr. J.W. HODGE (The Vaccination Superstition)
« Certaines souches de vaccines peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète et la sclérose en plaques. » Dr. G. DETTMAN (Australian Nurses Journal)
« Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose. » British Medical Journal 1967
« Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même. » Dr. William FROSEHAVER
« C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang des protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins ’aujourd’hui. » Dr. MOSKOWITZ
« Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie… Le vaccins viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts. » Dr. SALK ( Le Dr. SALK a introduit le vaccin original de la polio dans les années 50)
« Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer. » Pr. R. SIMPSON de l’American Cancer Society
« Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie. » Dr. MENDELSOHN
« Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population. » Medical Journal of Australia 1978
« L’évidence suggère que les personnes qui sont vaccines contre la grippe ont approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré que ceux qui n’ont pas été vaccinés. » Center for Control Diseases 1977
« C'est une véritable épidémie … Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont blessés par vaccinations. » Dr. Bernard RIMLAND Directeur et fondateur du Autism Research Inst. Of San Diego
« Pendant 23 ans, j’ai observe que les enfants non vaccines étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccines. Les allergies, l’asthme et des perturbations comportementales étaient clairement plus fréquentes chez mes jeunes patients vaccinés. D’autre part, les premiers souffert plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres. » Dr. Philip INCAO
« Sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux Etats-Unis avec le DCT, 16 038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants – ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions ; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT. » Dr. Allan HINMAN et Jeffrey COPELAN (Journal of the American Medical Association)
« Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien mais ils continuent à le vendre tout de même. » Dr. Anthony MORRIS Anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des Etats-Unis)
« J’appelle ça de la vaccinnomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité. » Nicholas REGUSH, journaliste médical
« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné. »
Website : http://www.bickel.fr/128
Date : 09. 06. 2009
Compilation et mise en page par :
Alliance Pierres Vivantes – APV
M. J-P. Trachsel
CH-1678 Siviriez – Suisse
Date : 12. 06. 2009
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Par ChristianeKolly le 5 Mars 2014 à 09:22
La maladie bipolaire, ou trouble bipolaire, a le vent en poupe.
Curieuse formule pour une pathologie mentale… Evidemment, mais être bipolaire, c’est très tendance, et ça peut vite vous tomber dessus.
En 2014 ce trouble caracole en tête des diagnostics de santé mentale.
Le terme déjà (belle invention marketing) est bien plus élégant, bien plus valorisant que celui de « maniaco-dépression » ou de « psychose maniaco-dépressive » qu’il a remplacé.
Et à travers ce changement de dénomination, la définition médicale a tellement été élargie qu’il suffit parfois de souffrir de simples sautes d’humeur, de légère dysthymie, d’anxiété, d’irritabilité ou de dépression répétée mais légère pour être condamné à vie à de lourds traitements.
A en juger par les courriers que nous recevons, beaucoup d’entre vous sont confrontés à cette maladie, inquiets à la suite d’un diagnostic, affolés à l’idée de prendre à vie des pilules indésirables. Vous nous demandez des conseils, des solutions naturelles que l’on dit inexistantes.
Certains dénoncent le machiavélisme de Big Pharma, qui médicalise à outrance nos émotions. La psychiatrie est maintenant le 1er marché pharmaceutique aux Etats-Unis.
Mais nombre d’entre vous expriment aussi une vraie souffrance, poignante. Car même si ce déséquilibre thymique est surévalué, surexploité, quand la maladie de l’humeur se déclare vraiment, c’est un calvaire qui commence.
On ne va pas forcément plus mal sans médicament
Alors entre mensonges et réalités, comment s’y retrouver, comment se soigner au mieux quand on est réellement touché ?
Pour cela, il est essentiel de connaître la « vraie » maladie bipolaire, et de savoir la reconnaître.
Pour cela, la vigilance s’impose face aux « stabilisateurs de l’humeur », « psychorégulateurs », « thymorégulateurs »… lithium, carbamazépine, acide valproïque et autres remèdes dérivés des médicaments inventés il y a 60 ans pour la schizophrénie, et que l’on prescrit au tout venant.
Il existe des moyens naturels permettant de juguler la maladie, d’en atténuer les symptômes et sinon de la faire reculer, au moins de la stabiliser. De toute façon les drogues dures (ces fameux stabilisateurs) ne font pas mieux : elles détruisent la santé à petit feu et entretiennent une autre forme de folie.
C’est un peu comme après une lourde chimiothérapie : la maladie est anéantie, et le patient avec…
Si vous êtes confronté à ce diagnostic, vous pouvez parfaitement décider de vous éviter ces ennuis. Si vous êtes déjà sous traitement, vous pouvez décider de les réduire progressivement et de sortir de l’abrutissement.
Vous avez toujours la liberté de décider d’aller mieux sans ces drogues ! Sauf dans les cas graves, vous n’irez pas plus mal !
La maladie du tout Hollywood
Aux Etats-Unis les « coming out » de stars se succèdent sur les networks : « Je suis bipolaire. J’ai des hauts et des bas et je suis sous traitement ».
Britney Spears, Jim Carrey, Stephen Fry ou Mel Gibson sont bipolaires. Comme l’actriceCatherine Zeta-Jones, l’égérie de cette maladie.
Catherine Zeta-Jones joue son rôle à merveille. En avril 2011, elle décide de se faire hospitaliser pour ce trouble déclenché selon elle par le stress consécutif au cancer de la gorge de son Michael Douglas de mari. Depuis elle répète à l’envi : « Si ma révélation d’être bipolaire peut encourager les gens à demander de l’aide, alors cela vaut la peine »…
Bien avant elle, le chanteur Sting, avait chanté « Lithium sunset », une ode à la gloire du lithium, le premier médoc à s’être attaqué au mal : «… Je vais mieux, je sens votre lumière sur mon visage. Guéris mon âme, ô Lithium coucher du soleil »…
Et la mode a pris chez nous. En 2010, le comédien Benoît Poelvoorde s’est confessé publiquement : « Je suis bipolaire comme pas mal de monde ». D’autres vedettes ont suivi et l’épidémie galope tandis que les forums de « bipotes » font florès sur le Web.
Une aubaine publicitaire pour l’industrie des thymorégulateurs.
5 millions de Français bipolaires, mon œil !
Selon les chiffres officiels, cette maladie toucherait en France près de 2 millions de personnes. Et on estime que 10 millions de personnes, soit 1 Français sur 6, en souffrent directement ou par l’intermédiaire d’un proche (cette maladie perturbe tout l’entourage).
Mais si l’on prend en compte comme certains experts les troubles apparentés, telles la cyclothymie ou la dysthymie, c’est au moins le double de personnes qui sont touchées, soit près de 5 millions… On peut même vous déclarer « bipolaire monopolaire » (sic), ce qui est arrivé à l’un de mes amis qui souffre de dépression chronique.
5 millions, mon œil ! Vu les conséquences du stress de nos vies trépidantes et émotionnellement chargées, le médecin généraliste (formé en la matière par les labos) a vite fait de vous diagnostiquer un petit travers « bipolaire ». Mais rassurez-vous, il y a 80% de chances que ce diagnostic soit faux. Même les psychiatres n’en peuvent plus, qui sont de plus en plus nombreux à s’élever contre ce qu’ils qualifient d’« impérialisme bipolaire ».
Une « épidémie » créée de toute pièce par les labos
La maladie bipolaire est un ensemble de syndromes (catégorie « fourre-tout » par définition) qui a été créée et peu à peu élargie par les labos, via le DSM.
Les sains d’esprit sont des malades qui s’ignorent… C’est le postulat de travail de l’APA, l’Association psychiatrique américaine, l’organisation la plus influente dans le monde de la santé mentale. Son fameux DSM, « Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders » (je vous en ai déjà parlé ici) énumère un demi-millier de troubles et ne cesse d’élargir les critères des maladies mentales de sorte que tout le monde est à peu près concerné.
C’est sous l’influence de l’APA (dont l’indépendance des experts vis-à-vis des labos a maintes fois été mise en cause) que le Prozac a révolutionné la santé mentale, que l’OMS nous parle d’une « crise mondiale » de dépression et recommande toujours sa molécule, la fluoxétine, comme traitement.
C’est par la même supercherie de cette organisation psychiatrique (via le DSM IV de 1994 révisé en 2000) que le chiffre officiel des bipolaires (comme des enfants hyperactifs, des autistes, etc.) a bondi ces dernières années.
Qu’est-ce que la (vraie) maladie bipolaire ?
Nous avons tous des variations de l’humeur, des sautes d’humeur, des hauts et des bas. Des « jours sans » aussi. Et il arrive parfois que sur des périodes plus longues, une semaine voire dix jours, nous soyons en forme ou à l’opposé, las et fatigués. Ce peut être dû à la saison, à une période difficile au niveau professionnel, affectif ou social, mais il arrive que nous ne trouvions pas d’explication à ces modifications. Au fond, nous sommes tous maniaco-dépressifs comme disait Ronald Fieve qui fut l’un des premiers à s’intéresser à cette maladie. L’industrie pharmaceutique l’a pris à la lettre !
La réalité, c’est que chez un vrai bipolaire, ces hauts et ces bas ressemblent à des montagnes russes tant ces changements d’humeur prennent une ampleur démesurée. On perd le contrôle de sa vie, réduite à une courbe sinusoïdale. On est pris en tenaille entre deux pôles extrêmes et opposés, la dépression la plus noire et l’exaltation la plus vive.
Les périodes difficiles, durant lesquelles tristesse et désespoir dominent, peuvent durer des mois. On se sent bon à rien. Puis suivent, à l’opposé, des périodes d’euphorie, d’excitation (manie ou hypomanie) : tout s’accélère, la pensée, les projets, les actions. On se sent si bien et tout puissant.
Quand ces deux extrêmes s’alternent périodiquement, c’est la maladie, une maladie handicapante souvent porteuse de graves conséquences : divorces, licenciements, faillites personnelles, ennuis judiciaires parfois, suicides…
Comment être sûr(e) du diagnostic ?
Dans son expression la plus virulente, quand les hauts et les bas s’enchaînent diaboliquement, le diagnostic du trouble est facile.
Mais en phase débutante ou atténuée (cas le plus fréquent), la maladie bipolaire n’est pas facile à cerner. La limite entre les hauts et les bas d’une vie ordinaire et des hauts et des bas plus accentués est mince.
De l’aveu même des psychiatres spécialisés, il faut du temps pour trancher. Cela ne se fait pas en une ou deux consultations. Il faut des mois et parfois des années pour distinguer une légère hypomanie d’un état de bien-être non pathologique.
Votre généraliste vous déclare bipolaire parce que vous êtes régulièrement déprimé(e) ou excité(e) ? Donnez-vous du temps… Allez voir un psychiatre et revenez consulter ce dernier, surtout quand vous n’en éprouvez pas le besoin parce que « tout va bien »… Ce « tout va bien » peut masquer une phase hypomaniaque et il n’est pas rare de tomber dans le déni (on se sent si bien en phase « haute ») en se croyant simplement dépressif chronique.
Avant de se prononcer, un bon thérapeute vous suivra donc dans le temps. Et il vous demandera de venir accompagné d’un proche à qui il demandera de vous inciter à prendre contact avec lui s’il détectait chez vous cette tendance à la super forme. Car autant l’esprit détecte facilement la dimension pathologique de la dépression, autant il reste comme aveugle face au dérèglement hypomaniaque.
Artistes et décideurs sont les premiers touchés
Il n’existe pas de profil prédisposant à la maladie, à l’exception d’une catégorie de population : les décideurs, les artistes, les grands génies, quels que soient leurs domaines d’activité, sont 10 à 20 fois plus touchés.
On comprend mieux leur manie d’arborer cette affection comme un signe distinctif (au contraire de la dépression « monopolaire », toujours honteuse)…
Berlioz, Rossini… Ray Charles, des écrivains comme Balzac, Baudelaire, Victor Hugo, Hemingway, des peintres comme Gauguin, Munch, Van Gogh ou Marylin Monroe et Francis Ford Coppola dans le cinéma ont souffert de ce trouble. La liste est longue. Et tout le monde connaît « Dr Jekyll et Mr Hyde » mais ignore que l’écrivain Robert Louis Stevenson s’est probablement inspiré de son mal pour ce récit.
Gérard Garouste, l’un de nos peintres contemporains, connu pour avoir décoré l’Elysée, est aussi sévèrement maniaco-dépressif. Dans son autobiographie, « L’intranquille », il raconte avec force et lucidité sa souffrance, ses délires et ses dépressions, ses séjours en hôpital entre deux éclaircies, et comment la maladie l’a poussé vers la peinture. Il écrit aussi : « Etre heureux est dangereux pour moi »…
De grands hommes d’Etat étaient maniaco-dépressifs, nous dit-on : Napoléon, Lincoln, Roosevelt, Churchill. La liste là aussi est longue.

 »On peut se demander si cette maladie ne serait pas une forme de sélection génétique d’une sous-population nécessaire à toute société, puisque c’est celle qui fournit les aventuriers, les bâtisseurs, les créateurs… ». Je l’ai lu dans un ouvrage sérieux. L’auteur y va fort mais cette prédisposition peut aussi s’expliquer simplement.
Le « tiercé perdant » pour tomber malade
Les artistes, les créateurs, les leaders d’opinion, les dirigeants, vivent de fortes phases d’excitation, expérimentent l’ivresse du pouvoir ou de la création et ont souvent des rythmes de vie saccadés.
Ils sont aussi exposés à des comportements excessifs. Ce sont là typiquement des conditions qui font le lit de la maladie.
Le trouble bipolaire a plusieurs origines. Trois domaines sont déterminants : la biologie (une vulnérabilité génétique disent les psy mais j’ajouterai aussi sûrement un organisme malmené par l’alimentation), la psychologie (une personnalité fragile, hypersensible), et les évènements de la vie (traumatismes psychologiques). Il faut aligner ce « tiercé perdant » pour tomber malade, une faiblesse dans un ou deux de ces domaines ne suffit pas. C’est une maladie très moderne car multifactorielle et liée au culte de la performance. Pas étonnant qu’elle flambe.
Voici quelques facteurs qui favorisent la survenue du trouble bipolaire :
- Un tempérament passionné,
- Une nature excessivement énergique,
- L’ivresse de la création ou du pouvoir : on travaille des heures d’affilée sans dormir et sans ressentir aucune fatigue. On ne s’arrête plus, on dépasse les bornes en tout.
- Le culte de la performance et l’hyperactivité : si vous travaillez 80 heures par semaine, si vous êtes connectés jour et nuit sur vos ordi, vos boîtes mail, vos téléphones portables, si vous courez après les signes extérieurs de réussite, vous êtes peut-être déjà hypomaniaques. Combien le sont, sans le savoir tant les symptômes collent aux « normes » et aux rythmes modernes ?
De type 1, 2, 3 ou un peu de tout ?
Il n’y a pas si longtemps les maniaco-dépressifs étaient tenus pour « fous ». A l’époque on ne considérait que les formes intenses du trouble bipolaire, celles qui caractérisent ce que l’on appelle aujourd’hui le trouble bipolaire de type 1. Dans cette forme (TB1), la personne alterne des périodes de dépression profondes avec des phases de manie délirantesouvent dangereuse (elle prend soudain sa voiture à la nuit tombée pour traverser la France, dépense le double de son salaire en une journée ou « traquée par les forces du mal » se jette d’un pont !).
Mais le trouble de type 2 est bien plus commun. Cette forme (TB2) se traduit par des dépressions toujours aussi intenses mais des périodes hautes moins importantes. On développe de « petites manies » : c’est l’hypomanie. Ce stade est assez proche de la cyclothymie et de ses fluctuations modérées, qui peuvent dégénérer mais pas forcément, et devant lesquelles le généraliste empressé vous collera l’étiquette « bipolaire ».
Depuis peu, on parle d’un nouveau type : le type 3. Les psychiatres ne s’en vantent pas carcet état (TB3) est provoqué par la prescription inadéquate ou excessive d’antidépresseurs, ce qui déclenche des hypomanies. L’usage de drogues (l’alcool par exemple) donne le même résultat.
Enfin il existe aussi des états mixtes (un quart des cas) : c’est la superposition simultanée de symptômes dépressifs et de symptômes maniaques. Cet état mixte, invivable, entraîne un risque important de passage à l’acte, et de suicide réussi.
Après le Prozac, le « miracle » Zyprexa
Le traitement conventionnel du trouble bipolaire passe par des psychotropes de dernière génération, les « antipsychotiques atypiques ». Ces médicaments sont déjà les plus rentables du monde, juste derrière les statines. En tête des meilleures ventes : le Zyprexa, la plus belle invention depuis le Prozac…
Un membre de ma famille, que l’on croyait bipolaire (le diagnostic s’est depuis révélé erroné) a été traité au Zyprexa. Il a pris 12 kg en 6 mois, est devenu hagard et a fini par arrêter d’avaler ces pilules qui l’installaient dans un malaise permanent.
Ce médicament aussi nuisible que coûteux pour la collectivité a été lancé à la fin des années 90. Ses effets indésirables et ses prescriptions hors indications ont valu 1,5 milliard de dollars d’amendes au laboratoire Ely Lilly et les procès continuent. En France, son principe actif, l’olanzapine, est simplement sous surveillance…
Le Dr David Healy, psychopharmacologue de renommée international affirme que pendant les essais cliniques de précommercialisation, le taux de suicides, de tentatives de suicide, de morts et de prise de poids liés au Zyprexa a été « le plus élevé de tous les médicaments psychotropes de l’histoire ».
Conçue pour la schizophrénie, cette pilule est maintenant prescrite sans distinction aux déprimés, aux bipolaires, aux patients âgés atteints de démence et même aux jeunes « à risques », en prévention bien sûr…
Des remèdes déments
En quelques années, une foultitude de « thymorégulateurs » (pour la plupart anti-schizophrénique, antiépileptique ou ciblés sur la démence) ont vu le jour : Risperdal, Neurontin, Epitomax, Séroquel, Dépakine, Depakote, ou dernièrement Xéroquel…
La bipolarité, comme la dépression, est considérée comme la conséquence d’un dérèglement biochimique du cerveau provoqué par des facteurs déclenchant sur fond de prédisposition génétique. C’est sur la base de ce consensus médical triomphant (depuis l’invention du Prozac) que les labos prétendent travailler à la ré-harmonisation, à la régulation de nos humeurs. Ce « dérèglement biochimique » n’a jamais été clairement démontré, mais les médicaments, eux, le provoquent !
Si vous lisez l’anglais, je vous conseille l’excelllent livre du journaliste d’investigation américain Stephen Fried, « Bitter Pills–Inside the hazardous world of legal drugs ». Sorti en 2013, « Amères Pilules–Dans le monde dangereux des drogues légales » dévoile les coulisses du business de la maladie bipolaire, explique pourquoi tant de gens sont étiquetés bipolaires, et pourquoi se passer de ces médocs peut vous sauver la vie
Des effets secondaires jamais vus
Le premier grand remède de cette maladie a été le sel de lithium. Ce régulateur des influx nerveux reste un classique (Téralithe). C’est un métal, quelque chose d’assez naturel donc mais qui, à l’usage, n’est pas dénué de dangerosité (la dose efficace étant très proche de la dose toxique) et d’effets délétères (léthargie, tremblements, risques de diabète insipide, psoriasis… et presque toujours hypothyroïdie). Beaucoup de gens ne le tolèrent pas.
Mais ces inconvénients sont mineurs comparés aux lourds effets secondaires des antipsychotiques atypiques qui ont pris la relève :
- prise de poids rapide et importante (en dizaine de kilos !),
- élévation du taux de cholestérol,
- augmentation du taux de glucose avec risque de diabète,
- élévation spectaculaire des risques de maladies cardiovasculaires et d’AVC,
- dyskinésie (mouvements saccadés involontaires, notamment du visage et de la bouche),
- déclin mental,
- risques de suicide,
- réduction des tissus (gris et blanc) du cerveau (effet mesuré par imagerie médicale et rapporté par l’American Journal of Psychiatry) !!!
A part la prise de poids, et ce n’est même pas sûr, le médecin ne vous mettra en garde sur aucun de ces méfaits. Et quand votre ordonnance comprend aussi un antidépresseur, un anxiolytique, des sédatifs et hypnotiques, imaginez le cocktail. Un bipolaire a 15% de risques de mourir par suicide et perd en moyenne 8 à 9 ans d’espérance de vie. Ces statistiques portent forcément sur les bipolaires suivis en psychiatrie !
Des solutions alimentaires d’attaque
Une fois de plus, le meilleur moyen d’éviter ce naufrage médicamenteux (quand il est encore temps), ou de s’en défaire progressivement avec le suivi de thérapeutes est d’ordre alimentaire.
On sait que les changements alimentaires peuvent entraîner des fluctuations de l’humeur et de nombreux patients souffrant de la maladie présentent des carences en vitamines, minéraux, une intoxication aux métaux (aluminium notamment), une dysbiose intestinale (la santé du ventre est de plus en plus impliquée dans les maladies dites « mentales »). D’où l’intérêt d’un apport en :
- Inositol : selon plusieurs travaux scientifiques récents, notamment ceux de l’équipe britannique du chercheur Robin S.B. Williams, l’inositol (ou vitamine B7) est au cœur de la maladie. L’inositol est indispensable au bon fonctionnement du cerveau et sa carence entraîne troubles nerveux et de l’humeur.
Le foie et le cœur de bœuf en sont d’excellentes sources mais je vous conseille plutôt des noix fraîches, des légumineuses ou de la levure de bière.
L’inositol existe aussi sous forme de complément alimentaire. Dans ce cas il est conseillé de le prendre en association avec du malate de magnésium (chélateur, ce psycho-relaxant chasse les métaux lourds), et du sélénium (que l’anxiété et la dépression n’aiment pas)
- Oméga 3 : c’est l’une des recommandations majeures du Dr Giachetti, expert de cette maladie, avec qui j’ai commis un livre pratique et facile à lire *. Ce psychiatre n’hésite pas à explorer des pistes en phytothérapie, en aromathérapie et à recourir à la luminothérapie.
Une étude de 1999 de Harvard a montré que les oméga 3 réduisent les symptômes de dépression et augmentent les périodes de rémission. Des chercheurs pensent maintenant qu’ils fonctionnent de la même manière que le lithium et l’acide valproïque des thymorégulateurs. Des deux principes actifs des oméga 3, l’EPA est ici le plus important. Il faut donc choisir des capsules riches en EPA plutôt qu’en DHA.
La complémentation est le moyen le plus pratique mais la consommation de poissons riches en oméga 3 (pas d’élevage) me paraît bien meilleure.
L’huile de lin, et surtout l’huile de périlla, qui bat tous les records en acides gras poly-insaturés précurseurs d’ EPA et de DHA, sont des alternatives intéressantes pour les végétaliens.
- Lithium : ce sel minéral naturel, on l’a vu, joue lui aussi un rôle-clé.
Les types de lithium médicamenteux tels que le carbonate de lithium et le citrate de lithium, impliquent d’importantes doses et entraînent des troubles métaboliques.
 
Mais sous forme d’orotate, le lithium traverse en petite quantité la barrière sang/cerveau et se montre disponible là où il manque, sans aucun effet secondaire.
- Vitamine D3 : sa carence, largement sous-estimée (lire ici) favorise aussi le déséquilibre émotionnel et mental.
Par contre, gare aux remèdes naturels recommandés pour la dépression : le millepertuis est exclus en cas de traitement et les autres plantes (griffonia, rhodiola…) aident à sortir de la dépression mais au risque de vous faire « grimper dans les tours » comme les antidépresseurs que les médecins ont bien du mal à doser pour cette pathologie.
L’opportunité de prendre sa vie en main
Ces solutions conviendront parfaitement à une personne souffrant de trouble bipolaire léger (TB1). Elles seront aussi utiles en cas de TB2 pour sortir d’un traitement avilissant, mais à condition que l’on soit acteur de son rétablissement. C’est l’occasion de reprendre en main sa vie. Cette maladie touche corps, âme et esprit. Elle demande un soin holistique.Soit :
- Une bonne compréhension des troubles et de leurs facteurs déclenchant, sans déni (le piège).
- La nécessité de faire équipe avec un psychiatre avisé et doté de tact, son psychothérapeute (les TCC sont assez efficaces), son naturopathe, son homéopathe (certains savent traiter cette maladie, les noms circulent sous le manteau), son aromathérapeute (les huiles essentielles agissent fortement sur l’humeur), son praticien de médecine ayurvédique si l’on veut…
- En phase « up » de remettre au lendemain les projets utopiques, de temporiser ; en phase « down » de se reposer, en service minimum.
- De faire un travail de « psychoéducation » : c’est une bonne béquille pour la gestion du Soi, du stress, des émotions, du physique. Rien ne remplace le contact direct avec le thérapeute et le soutien de l’entourage mais il existe un excellent guide pratique** pour aider le malade à mieux cerner son trouble grâce à des tests, à suivre son évolution à travers grilles et graphiques, à mieux se connaître par la prise de notes, à le stabiliser en identifiant les signes précurseurs de phases et en anticipant par des trucs méthodiques.
Devant cette maladie, on ne peut faire l’économie d’apprendre à devenir son propre coach.
- D’avoir une bonne hygiène de vie, rythmée : faire attention à la qualité de son alimentation, ne pas boire d’alcool ou très peu, fuir les toxiques, dormir du mieux possible en se couchant à heure raisonnable, aménager son rythme de travail si possible, s’appuyer sur ses proches pour entretenir une vie sociale, faire de l’exercice sans excès.
- De savoir se reposer et surtout se relaxer. Toutes les techniques psychocorporelles sont bonnes à prendre : yoga, relaxation, shiatsu, do in, méditation.
- D’animer sa sensibilité mais sans trop : musique, films, spectacles…
- En cas de doutes, de découragement, de faire appel à une personne de confiance, capable de vous écouter.
- D’accepter ses émotions.
- De se souvenir qu’être bien, ce n’est pas être hypomane ou maniaque !
Cet entraînement quotidien est indispensable pour sortir de l’engrenage. Ce peut être long mais encore une fois c’est possible.
La fée électro
On a tous en tête l’image d’un Jack Nicholson grimaçant de douleurs dans le film « Vol au dessus d’un nid de coucou » sous l’effet d’électrochocs punitifs. Mais l’électro-convulsivo-thérapie (ECT) ou sismothérapie n’a plus rien à voir avec le film de Milos Forman.
L’ECT sauve des vies. C’est une méthode efficace pour les malades résistants aux traitements et pour les cas les plus graves. Quelque 100 000 ECT sont pratiquées chaque année en France. Les appareils de convulsivothérapie délivrent des stimulations électriques par impulsions, faibles mais suffisantes pour provoquer une crise d’épilepsie de quelques secondes, le tout sous anesthésie générale et curarisation (5 minutes).
Les accidents sont très rares, les effets secondaires se résument à une perte de mémoire plus ou moins marquée des événements entourant la séance.
Si l’on met de côté l’anesthésie (dont les effets peuvent être compensés par des moyens naturels), c’est une méthode assez proche de l’électrothérapie des médecines alternatives. Bien plus douce en tout cas que les médocs. On ne sait pas comment ça marche, mais ça marche.
Des solutions non invasives d’avenir
C’est comme la stimulation magnétique transcrânienne (SMT), méthode récente consistant à envoyer de petites impulsions électromagnétiques au cerveau. Un traitement d’avenir qui non seulement atténue les phases dépressives mais améliore les capacités cognitives (Cf. une récente étude australienne publiée par la revue Plos One).
Ne soyons pas surpris par l’efficacité mystérieuse de ces méthodes peu invasives. Car n’en déplaise à ceux qui prétendent tout expliquer en faisant commerce de nos émotions (en les nivelant par le bas), notre cerveau reste l’un des plus grands mystères que la science ait à percer.
L’humeur peut être maladive, c’est certain, mais la cupidité sans borne de Big Pharma a ses limites. Au nom de quoi devrions-nous tous être d’humeur égale ?
Dominique Vialard
* « La maladie bipolaire expliquée aux souffrants et aux proches », Dr Raphaël Giachetti, Dominique Vialard (Odile Jacob, 2012).
** « Manuel de psychoéducation-Troubles bipolaires », Dr Christian Gay (l’un des grands experts français), Marianne Colombani (architecte bipolaire) (Dunod, 2013).
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Par ChristianeKolly le 8 Novembre 2013 à 11:46
Ceci est une lettre reprise de Santé Nature et Innovation que j'ai trouvée pertinente. Si vous désirez vous abonner à leur newsletter gratuitement inscrivez-vous ici.
J'ai lu sur Internet que, selon les statistiques, 95 % des femmes n’aiment pas leur apparence physique. (1)
Face à un problème aussi généralisé, de nombreux sites et articles proposent des solutions.
Vous avez le choix entre :
- devenir enfin belle, via l'usage de cosmétiques, régimes, sport, bronzage, parfois chirurgie (résultat sans aucune garantie) ;
- vous persuader que vous êtes déjà belle, sans rien changer à la réalité (méthode Coué) ;
- vous convaincre que votre apparence physique n'a aucune importance. Cela consiste généralement à déclarer que c'est « la société » qui est « pourrie », qu'elle impose aux femmes des « standards de beauté déconnectés de la réalité » en donnant des poupées Barbie aux petites filles, en faisant des défilés de haute-couture avec des mannequins squelettiques, à cause des hommes machistes, etc.
Tout cela, à mon avis, ne fait pas beaucoup avancer le schmilblick.
Et bien que personne ne m'ait demandé mon avis, je vais tout de même dire ce que je pense de ce problème.
Les femmes sont aussi dures avec les autres
Commençons par un chiffre :
Quand on demande aux femmes de juger les hommes, elles considèrent que « 80 % d'entre eux sont plus laids que la moyenne ». (2)
80 % des hommes, donc, aux yeux des femmes, ne sont même pas assez beaux pour mériter d'être étiquetés « moyens » !!Ce chiffre révèle un fait capital : la plupart des femmes ont un très haut niveau d'exigence.
Faites l'expérience, chères lectrices : la prochaine fois que vous êtes dans un lieu fréquenté, prenez le temps de compter les hommes qui vous paraissent trop laids pour envisager une aventure avec eux. Puis comptez les hommes vous paraissant beaux. Il est probable que vous n'échapperez pas à la règle. Vous verrez environ 9 hommes laids ou médiocres pour 1 homme beau, et peut-être plus encore (d'hommes laids).
Le fait que les femmes ne se trouvent pas belles n'est donc qu'un cas particulier d'une règle générale : les femmes sont exigeantes avec tout le monde.
Un résultat de l'évolution
L'explication pourrait être biologique, un résultat de l'évolution de l'espèce humaine.
Les femmes sont obligées d'être très sélectives parce que ce sont elles qui portent les enfants. Pour concevoir un enfant, il faut un ovule et un spermatozoïde. Or, pour utiliser le langage des économistes, les spermatozoïdes sont très abondants sur le marché, et les ovules très rares.
L'homme fabrique constamment des spermatozoïdes, et ce pendant toute sa vie à partir de la puberté. De plus, féconder une femme n'entraîne pour lui, sur le plan biologique, aucune conséquence (à part bien sûr une forte envie de dormir). Il est donc par nature enclin à disséminer ses spermatozoïdes un peu partout.
Il en va tout autrement pour les femmes. Non seulement elles n'ont qu'un ovule par mois, et ce uniquement de la puberté à la ménopause (environ 35 ans). Mais en plus, une fois l'ovule fécondé, les conséquences pour la femme sont gigantesques : grossesse, accouchement, avec tous les risques que cela implique, puis évidemment l'allaitement, l'éducation, etc. Il faut donc protéger au maximum l'ovule, ne pas laisser n'importe qui le féconder !!
Cela expliquerait l'exigence et la sélectivité qu'ont développées les femmes dans leur appréciation des partenaires potentiels.
Cette exigence dont elles font preuve avec les autres, les femmes se l'appliquent aussi à elles-mêmes. C'est pourquoi 95 % des femmes ne sont pas satisfaites de leur physique, bien que cela ne soit pas du tout justifié.
La vraie beauté
En se jugeant si durement, les femmes font une autre erreur : elles sont victimes du « syndrome du miroir ».
Le « syndrome du miroir » est cette erreur d'estimation que nous faisons tous lorsque nous nous regardons dans le miroir. Qui n'a pas essayé un jour, en se regardant le miroir, de se dire : « Imaginons que je ne me sois jamais vu ; quelle impression est-ce je me ferais ? »
Mais le miroir ne reflète que l'aspect purement « plastique », c'est-à-dire matériel, de notre visage. Boutons, poils disgracieux, dents imparfaites prennent des dimensions disproportionnées.
Or, la « plastique » du corps n'est pas ce qui frappe les autres en premier.
J'en veux pour preuve la surprise qu'on éprouve toujours en rencontrant pour la première fois une personne qu'on ne connaissait qu'en photo. La différence est toujours énorme avec ce qu'on imaginait. Car ce qui nous touche le plus chez une personne, c'est sa présence, son attitude, son regard, son sourire, sa voix, son rire, sa manière de bouger, sa « manière d'être ». C'est cela qui va nous charmer ou, au contraire, nous repousser.
Le phénomène est encore plus fort avec soi-même. Il nous est strictement impossible de juger notre propre physique à partir de l'image que nous renvoie le miroir et même les photos.
Vous avez sans doute entendu parler de l'écrivain russe Léon Tolstoï. Il avait une allure magnifique : large front, regard foudroyant, menton volontaire, barbe de patriarche. Son extraordinaire personnalité et sa vive intelligence se lisaient sur son visage.
Eh bien voici comment Tolstoï se jugeait lui-même :« J'étais souvent en proie à des accès de désespoir ; je ne pouvais croire que le bonheur pût exister sur terre pour un être affligé d'un nez aussi épaté, de lèvres aussi épaisses et d'aussi petits yeux gris que moi : je suppliais Dieu de faire un miracle et de me changer en beau garçon ; tout ce que je possédais dans le présent, tout ce que je pourrais posséder dans l'avenir, j'étais prêt à le donner pour avoir un joli visage. » (3)
Beaucoup de personnes, malheureusement, font la même erreur que Tolstoï et sont convaincues jusqu'au plus profond d'elles-mêmes d'être laides alors que ce n'est pas du tout à cela que pensent les personnes qui les rencontrent.
L'étrange « phénomène du cadavre »
Lorsqu'une personne en bonne santé meurt accidentellement, on est frappé du peu de ressemblance du cadavre avec la personne vivante. On réalise alors de façon brutale à quel point le corps, le simple corps sans vie, a peu d'importance, par rapport à la vie qui l'animait. C'est « l'étrange phénomène du cadavre ».
L'important, c'est la façon d'être, la façon de vivre, la façon d'être en vie ! Une personne énergique, drôle et sûre d'elle peut avoir un immense pouvoir de séduction, même si ses traits physiques sont très imparfaits.
Encore plus fort, les personnes qui aiment quelqu'un depuis longtemps vous diront combien ce sont, au fond, les imperfections de l'autre qui le rendent le plus attachant. Un visage lisse et idéalement proportionné, comme celui des statues grecques, risque souvent d'être complètement dépourvu de charme. Par contre, un visage présentant des aspérités peut exercer une attraction incroyable, ainsi qu'en témoignent les succès de séduction de quelqu'un comme Serge Gainsbourg. C'est l'histoire de la « Belle et la Bête » qui, comme tous les contes pour enfants, est pleine de vérité.
C'est pourquoi la première chose à faire pour devenir plus attirant est d'enrichir sa vie intérieure, de cultiver son esprit, et faire des activités qui vous font vibrer. Plus vous vivrez intensément, plus vous aurez de choses intéressantes à raconter, plus vous rayonnerez et plus les autres auront envie de partager cette vie avec vous.
Ce que vous pouvez faire
Cela dit, il est légitime de se préoccuper de son apparence physique, et il est très exagéré de dire qu'il n'y a jamais rien à faire.
Et nous sommes particulièrement bien placés pour en parler ici car, en réalité, l'aspect de votre visage, la texture de votre peau, vos cheveux, vos ongles et même votre sourire (état des lèvres, dents, gencives) sont fortement influencés par votre état nutritionnel et hormonal.
C'est ce qu'explique le Dr Thierry Hertoghe dans un dossier spécial qu'il a fait sur la beauté du visage :
« Notre visage reflète notre personnalité… et nos carences nutritionnelles et hormonales », explique-t-il.
« Si vos traits sont affaissés avec des paupières tombantes, des joues flasques et des signes d’atrophie tels que des sourcils clairsemés et des lèvres trop minces, cela peut indiquer une carence en hormone de croissance qui va de pair avec une personnalité anxieuse ayant tendance à dramatiser. »
« Un affaissement de la peau sous le menton peut aussi résulter de carences en zinc, en vitamines C et D, et en acides aminés, tout particulièrement en glycine et en thréonine. »
« Si, l’après-midi, vous avez l’air tendu et fatigué, il est possible que cela provienne d’une carence en magnésium qui s’accompagne d’une personnalité irritable et nerveuse. »ou encore :
« Une peau sèche et pelliculeuse qui semble pâle et transparente est généralement due à un manque d’acides gras polyinsaturés de type oméga-6. »
Ce ne sont que des exemples parmi des dizaines qu'il donne dans ce dossier, rempli d'indications précises pour corriger les manques qui influent négativement sur le visage.
Mais le travail ne s'arrête pas au visage.
Santé et beauté ne peuvent pas être dissociées
Pour le Dr Hertoghe, il n'y a pas de différence entre soigner une personne et la faire redevenir plus jeune, plus belle et plus heureuse : « Si un médecin améliore réellement votre santé, vous paraîtrez à la fois plus jeune et plus attirante. »
Chez les hommes, un bon équilibre nutritionnel et hormonal donne des cheveux épais, un large front, le regard franc, le caractère affirmé, le menton prononcé, la mâchoire carrée, les épaules larges, le torse bien dessiné, le corps svelte mais puissant, le ventre plat, les bras et les jambes musclés, le courage physique et la détermination.
Chez les femmes, cela produit des formes généreuses, une chevelure souple et abondante, de grands yeux en amande, des traits réguliers, une peau de pêche, la vivacité d'esprit, l'énergie, la mémoire, l'humour, etc.
Les hormones mâles donnent une « odeur d'homme », et les hormones femelles l'odeur « de femme » indiquant à votre entourage, inconsciemment, votre capacité de reproduction.
Lorsque vous êtes en super-production hormonale, les personnes que vous croisez ne sont d'ailleurs pas insensibles aux signaux que vous émettez sans le savoir : c'est à cet âge-là que vous vous attirez le plus d'amis et que les rencontres amoureuses sont les plus faciles. Votre capacité de séduction est à son pic.
Les risques du déclin
Réciproquement, une baisse du taux d'hormone entraîne inévitablement un affaiblissement de votre organisme.
Vos muscles s'atrophient, vos cheveux grisonnent, blanchissent, tombent, vos os deviennent fragiles, votre vue et votre ouïe baissent. Votre peau se détend, sous les bras, au cou, au ventre et aux cuisses.
Le désir sexuel régresse, le plaisir s'atténue. Bientôt, c'est la stérilité qui s'installe. Certaines personnes deviennent de plus en plus irritables, solitaires, isolées, déprimées.
Tous ces signaux, que l'on considère à tort comme normaux lorsqu'on vieillit, ne doivent pas être pris à la légère, ni être acceptés comme une fatalité.
Même si le fait de vieillir n'est pas en soi un problème, cela le devient lorsque le corps devient vulnérable à la maladie, et que des fonctions vitales importantes bloquent.
C'est pourquoi le Dr Thierry Hertoghe a accepté la présidence de l'Association mondiale de Médecine Anti-âge (World Society of Anti-aging Medicine), qui compte plus de 8 000 membres.
Car au fond, quand vous y réfléchissez, guérir signifie toujours retrouver la santé, l'énergie, les capacités et donc l'aspect physique que vous aviez… avant.
En meilleure santé, vous vous sentez plus sereine, plus sûre de vous, votre personnalité réelle peut s'épanouir, se montrer au grand jour. Votre enthousiasme naturel et votre joie, communicative, attirent alors les sympathies et les regards.
Ayant développé une très grande expertise dans ce domaine, le Dr Hertoghe est aujourd'hui extrêmement sollicité.
Il passe la plus grande partie de son temps à former ses confrères médecins aux nouveaux traitements qui permettent de prévenir et d'inverser le vieillissement. En 2013, il a donné des conférences médicales à ce sujet à Bruxelles, Rome, Monaco, Francfort, à Ljubljana en Slovénie, Francfort, Varsovie et Cracovie en Pologne, à Sao Paulo au Brésil, à Kuala Lumpur en Malaisie, à Jakarta en Indonésie, à Melbourne en Australie, dans plusieurs villes des Etats-Unis (Boston, Orlando, Las Vegas, San Diego).
Mais pour faire partager ses connaissances à toutes les personnes qui le souhaitent, il publie chaque mois une lettre dans laquelle il fait part des nouveautés et découvertes de la médecine anti-âge.
« Toutes celles qui ont franchi le pas sont ravies »
Voici le témoignage d'une lectrice, Madame Elodie Vialle. J'ai fait un simple « copier-coller » de son message :
« Vous pouvez utiliser ce témoignage si vous le souhaitez : je suis abonnée à la Lettre du Dr Hertoghe que je trouve ultra-instructive. Je travaille dans le milieu esthétique et je suis en contact toute la journée avec des clientes qui ont divers problèmes : troubles du sommeil, mal de dos, fatigue chronique etc…
Les dossiers réalisés par ce docteur sont tout simplement géniaux, ils répondent à beaucoup d'interrogations de ma clientèle et je n'hésite pas à les inciter à s'abonner.
Toutes celles qui ont franchi le pas sont ravies et me remercient de leur avoir fait connaître cette publication, certaines ont définitivement réglé leurs problèmes.
Bien cordialement,
Elodie Vialle »Et en effet, la Lettre du Dr Hertoghe apporte toujours des solutions concrètes et efficaces. Prenez par exemple son récent numéro sur la fatigue.
Fatigue : mieux dormir ne suffit pas toujours !
La fatigue peut être légère et passagère. Une alimentation équilibrée et de meilleures nuits suffisent alors à retrouver une énergie normale. Mais souvent, les patients qui consultent leur médecin souffrent d'une fatigue plus sévère et persistante qui les fait paraître épuisés en permanence et se sentir déprimés, vieillis.
Plus dormir et mieux manger ne suffit alors pas, mais la plupart des médecins sont démunis. Une fatigue non traitée est pourtant souvent annonciatrice de problèmes de santé bien plus graves. Le système immunitaire, la pression artérielle, le taux de sucre sanguin, la mémoire bien sûr peuvent se dérégler sous l'effet d'une intense fatigue qui persiste. Il est donc urgent de traiter le problème.
Le Dr Hertoghe apporte dans sa lettre des solutions précises que la plupart des médecins eux-mêmes seraient heureux de connaître.
Il présente toutes les catégories différentes de fatigue : au réveil, après un repas, dans l'après-midi, à 11h et à 16h, en soirée, endormissement devant la télévision, fatigue lorsqu'on est longtemps debout ou assis, fatigue permanente, fatigue excessive lors d'un exercice physique…
Chacune a une cause différente, et c'est une grave erreur de chercher à les traiter de la même manière !
C'est pourquoi le Dr Hertoghe vous aide d'abord à établir très précisément de quel type de fatigue vous souffrez, vous donne les causes probables et vous explique le mécanisme physiologique à l'œuvre (avec des mots compréhensibles par tous). Il vous indique ensuite précisément le traitement nutritionnel qui pourra remédier à chaque type de fatigue : vitamine B12, acide folique, vitamine C, coenzyme Q10, carnitine, chrome, fer ou vitamine B selon les cas.
La fatigue étant souvent causée par une mauvaise absorption des nutriments, expliquant le manque d'énergie, il vous indique comment y remédier en prenant, selon les cas, des enzymes pancréatiques, des probiotiques, des comprimés naturels améliorant la production d'acide chlorhydrique dans l'estomac, et plus souvent une combinaison des trois.
Souvent, également, la fatigue est causée par une mauvaise production d'hormones. Le Dr Hertoghe vous aide à comprendre comment cela fonctionne, car vous pouvez aussi bien manquer d'hormones thyroïdiennes, de cortisol, d'aldostérone, ou encore d'œstrogènes ou de testostérone.
C'est une piste en général négligée par la médecine actuelle (j'expliquerai plus loin pourquoi). Pourtant, non seulement ce sont les hormones qui déterminent largement votre force et votre niveau d'énergie, mais ce sont aussi elles qui vous rendent séduisante.
Rares sont les personnes qui reçoivent de leur médecin le moindre conseil précis sur leurs hormones, alors qu'il s'agit du sujet le plus capital pour conserver ou retrouver une santé optimale.
Derrière d'innombrables « maladies », un simple déséquilibre hormonal facile à corriger
C'est bien simple, d'innombrables « maladies » sont aujourd'hui traitées avec des médicaments chimiques coûteux et parfois dangereux, alors qu'il s'agit tout simplement de problèmes hormonaux qu'il est très facile de compenser, et ce sans danger ni aucun effet secondaire.
Si vous souffrez par exemple de fatigue chronique, de dépression, de difficulté à perdre du poids ou de crampes, il est capital de vérifier le fonctionnement de votre thyroïde, et votre taux d'hormones thyroïdiennes.
Les véritables maladies de la thyroïde sont rares, mais il est fréquent de souffrir de dysfonctionnements thyroïdiens, notamment sous l'effet d'un stress prolongé :
- Si vous peinez à vous endormir le soir, ou si votre sommeil n'est pas réparateur, vous souffrez peut-être tout simplement d'un déficit en mélatonine, l'hormone du sommeil. La mélatonine est un des traitements naturels les plus efficaces et les plus sûrs qui soient : aucune dose dangereuse n'a jamais été découverte pour cette hormone, qui a de plus un excellent effet anti-vieillissement sur les cellules ;
- Si vous souffrez d'obésité, de diabète, de problèmes cardiaques, ne vous lancez pas tête baissée dans des régimes restrictifs, des programmes de sport, ou des traitements médicamenteux qui pourraient vous faire plus de mal que de bien. Vos problèmes pourraient tout simplement être dûs à une déficience en œstrogènes chez la femme ou de testostérone chez l’homme ou dans les deux sexes en hormone de croissance, une hormone produite par votre glande hypophyse dans le cerveau. Là aussi, le stress et les agressions sociales et environnementales peuvent être la cause du problème. Et il existe des moyens simples et naturels de faire augmenter les taux de ces hormones, et donc de vous faire retrouver la santé ;
- Si vous avez l'impression de vieillir de façon accélérée, si votre peau devient sèche et peine à cicatriser, si vos os deviennent fragiles et que vous vous fracturez facilement quelque chose, si vous perdez la mémoire et que votre désir et votre plaisir sexuels diminuent, préoccupez-vous de votre DHEA.
La DHEA est une des hormones anti-vieillissement. Elle est d'autant plus importante qu'elle sert de précurseur à de nombreuses autres hormones, comme la testostérone, les estrogènes, l'androstènedione. Si vous manquez de DHEA, votre système hormonal à plusieurs niveaux se dérègle, avec des conséquences aussi variées qu’un risque augmenté d'obésité, de maladie d'Alzheimer, d'impuissance et d'infarctus.
Malheureusement, la DHEA est l'hormone qui diminue le plus fortement avec l'âge, chez les personnes qui ne s'en préoccupent pas, et qui ne font rien contre : vous en produisez quatre fois moins à 60 ans qu'à 20 ans, ce qui explique l'apparition des maladies et la dégradation des organes.
Dans tous ces cas (et des centaines d'autres), retrouver un taux normal de ces hormones sera complètement naturel et donc n'entraînera, par définition, aucun risque du moindre effet indésirable. L'effet sera par ailleurs plus efficace que n'importe quel médicament, puisque les hormones ont aussi de l'effet sur l'expression de vos gènes eux-mêmes.
Tout ce qui vous arrivera sera de vous retrouver des années en arrière. Si ce sujet vous intéresse et que vous souhaitez être accompagné sur le long terme, connaître précisément les effets et les doses de chaque hormone, les traitements des maladies par le rééquilibrage hormonal, vous pouvez si vous le souhaitez vous abonner à la Lettre du Dr Thierry Hertoghe, qui est spécialisé dans ce domaine.
Vous accompagner pas à pas
La Lettre du Dr Thierry Hertoghe a près de 20 000 abonnés francophones, et sert de référence absolue dans le domaine de la santé et de la beauté via l'équilibre nutritionnel et hormonal. Elle vous est envoyée sous format électronique pour vous accompagner pas à pas pour détecter et corriger les manques.
Prenez les principaux nutriments dont une carence peut provoquer des maladies ou un vieillissement accéléré :
- Les minéraux : calcium, fer, iode, magnésium, phosphore, potassium, sélénium, sodium, soufre, zinc ;
- Les vitamines : A (rétinol), B1 (thiamine), B2 (riboflavine), B3 (niacine), B5, B6, B8 (biotine), B9 (acide folique), B12, Choline, C, D2, D3, E, K ;
- Les acides aminés : 8 acides aminés ne peuvent pas être produits par l'organisme et doivent donc impérativement être apportés par l'alimentation ;
- Les lipides : de nombreux lipides (graisses) sont indispensables : stérols, tocophérols, phospholipides, sphingolipides, monoinsaturés CIS, polyinsaturés…
Pour chaque problème de santé, le Dr Hertoghe vous indique quels nutriments prendre, en quelles quantités, sous quelle forme, à quel moment. Ce sont des informations directement issues de la recherche scientifique et de sa pratique médicale, que vous ne pouvez trouver nulle part ailleurs. Quant aux hormones, il en existe près d'une centaine dont on connaît aujourd'hui bien les effets, et sur lesquels vous auriez peut-être besoin d'agir. Ce sont des sujets très importants mais qu'on ne peut aborder que progressivement. Et c'est pourquoi le Dr Hertoghe se consacre à trier, sélectionner et donner à ses lecteurs les informations les plus importantes, dans un langage simple et facile à comprendre. Car sans remettre en cause la compétence de votre médecin traitant, la probabilité est malheureusement faible que celui-ci soit un expert sur ces sujets, et c'est là que la lecture de la Lettre du Dr Thierry Hertoghe peut réellement changer – pour le meilleur – des dizaines de milliers de vie.
C'est lui qui est l'auteur des ouvrages de référence sur les hormones pour les professionnels de la santé. Il est l'auteur du « Manuel des Hormones » (Hormone Handbook, ouvrage en anglais), où il explique aux médecins quels sont les traitements hormonaux sûrs et efficaces, et comment les utiliser, documenté par les publications scientifiques importantes dans ce domaine.
Ce que vous allez recevoir, comment ça va marcher
Lorsque vous vous abonnez à l'essai à la Lettre du Dr Thierry Hertoghe :
- vous recevez chaque mois des informations inédites sur les moyens d'améliorer votre apparence physique, votre moral et donc votre rayonnement ;
- vous apprenez comment corriger les carences nutritionnelles et hormonales qui affectent négativement votre santé et diminuent votre potentiel naturel de séduction ;
- vous avez la garantie que tous les traitements recommandés sont à base de produits naturels : médicaments chimiques et interventions chirurgicales sont évidemment exclus du programme ;
- toutes les informations vous sont données sous une forme agréable à lire et simple à comprendre pour les non-professionnels, surtout si vous n'avez aucune formation médicale ;
- afin que vous puissiez en parler avec votre médecin, le Dr Hertoghe joint à toutes ses lettres la liste des références scientifiques qui prouvent que ce qu'il dit est vrai ;
- vous pouvez à tout moment adresser au Dr Hertoghe vos remarques et questions. Lorsque le sujet est susceptible d'intéresser les autres abonnés, il répond de façon détaillée à votre question dans un numéro suivant (de façon anonyme bien sûr).
Un programme qui couvre l'ensemble des problèmes de santé
En quelques mois, le Dr Hertoghe a déjà publié des lettres détaillées sur les solutions au mauvais sommeil, les traitements du cancer, remédier à l'andropause (la « ménopause » des hommes), ce que peut faire pour vous l'ocytocine (l'hormone de la passion amoureuse, de la sociabilité, et de la longévité), en finir avec l'anxiété, les moyens d'une sexualité épanouie pour les hommes, une autre pour les femmes car c'est aussi un signe indicateur important de la santé.
Le programme des semaines qui viennent inclut le traitement de la dépression, des maladies chroniques, des douleurs, des problèmes de peau, de vue, de mémoire, etc.
Le but de la Lettre d'information mensuelle du Dr Thierry Hertoghe est de vous indiquer les moyens d'agir contre tous les symptômes du vieillissement, au niveau de la peau, des cheveux, des ongles, des yeux, mais aussi dans le domaine cardiaque, articulaire, digestif, de la mémoire, du sommeil, de la dépression, de l'ouïe, de la force, et même de la maladie de Parkinson, d'Alzheimer ou du cancer.
Tous les domaines de la santé sont traités, mois après mois, pour vous aider à gagner des années de vie en bonne santé.
Vous ressentirez bien d'autres effets positifs sur votre santé, incluant moins de médicaments chimiques et d'opérations potentiellement douloureuses à l'hôpital.
Tout cela est possible à partir du moment où bien sûr vous acceptez d'avoir le courage de prendre en main votre santé, en étant aidé et soutenu par les conseils d'un vrai professionnel.
C'est un des meilleurs investissements que vous puissiez faire. Voici le témoignage d'une lectrice, Madame Isabelle Borget. C'est elle qui a mis les caractères en gras :
« Je suis abonnée à La Lettre du Dr Thierry Hertoghe depuis plus d’un an et j’en suis très satisfaite. Je vous expliquerai plus loin comment elle a changé ma vie.
Il convient de dire que je suis sourde depuis 10 ans à cause des médicaments (je pratique la lecture labiale), et que malgré mes très faibles revenus, je me suis abonnée. Et ça vaut vraiment le coup !
En effet, cette publication est de très très grande valeur. Je dirais mieux, c’est la découverte la plus intelligente et utile que j’ai faite sur Internet (et Dieu sait si je suis curieuse et avide d’apprendre !)
Isabelle Borget »
4 dossiers essentiels sur l'apparence physique et la séduction
Pour vous garantir de ne pas perdre de temps et de bénéficier immédiatement de tous les avantages de votre abonnement, j'aurai le plaisir de vous adresser instantanément sept dossiers gratuits réalisés par le Dr Hertoghe :
Dossier n°1 : Les traitements nutritionnels et hormonaux qui rajeunissent le visage
Si vous pensez que, passé la trentaine, il est normal que le front se ride, des cernes s'installent, des pattes d'oie apparaissent à l'extrémité des yeux et des plis se forment autour de la bouche à l'endroit du sourire ; alors ce dossier est fait pour vous !
Dans ce dossier, le Dr Hertoghe remet les idées en place. Il détaille pourquoi ces « marques de vieillissement » ne sont, en réalité, que les conséquences de carences alimentaires. Et qu'il suffirait de les combler pour atténuer les rides, les plis, les cernes, et rester séduisant.
Il vous dévoile les compléments nutritionnels qui vous permettront de ralentir le vieillissement. Les avantages sont multiples car en traitant les symptômes qui apparaissent sur votre visage, vous traitez les problèmes sous-jacents, et obtenez une amélioration générale de votre santé. Vous recevrez ce dossier immédiatement après la validation de votre abonnement.
Dossier n°2 : Redevenir mince une fois pour toutes
Selon le Dr Hertoghe, maîtriser son poids après 50 ans est non seulement possible, mais aussi très important. Grâce à ce dossier, il vous apprend comment perdre du poids mais, surtout, comment ne pas en regagner.Le Dr Hertoghe connaît à fond le sujet de l'obésité – il est passé par là. Et vous constaterez qu'il ne vous propose pas « la solution miracle pour maigrir ». Non. D'ailleurs le Dr Hertoghe ne considère pas qu'il n'existe qu'une seule forme de surpoids. Au contraire, pour chaque type de surpoids, il vous donne des solutions ciblées. Vous pourrez trouver une solution adaptée, selon que vous ayez (liste non exhaustive) :
- le visage gonflé ;
- de la graisse logée dans le cou ;
- des seins trop développés ;
- un appétit excessif ;
- tendance à reprendre les kilos perdus ;
- une incapacité à maigrir malgré un régime hypocalorique ;
- une obésité abdominale ;
- des fesses tombantes ;
- l'intérieur des cuisses flasque ;
- les mollets enflés
- etc.
C'est donc une guide pratique incontournable que pourrez découvrir dès aujourd'hui en faisant l'essai à la Lettre du Dr Thierry Hertoghe.
Dossier n°3 : La substance naturelle clé de l'affection et du bonheur
Produite au centre du cerveau, cette substance étonnante déclenche la production d'endorphines naturelles, qui peuvent :
- vous donner envie de sourire, et vous faire voir le monde comme un lieu accueillant et chaleureux ;
- vous aider à créer des liens sincères et profonds avec les autres ;
- réduire le stress et les douleurs ;
- éliminer l'anxiété et les tendances dépressives ;
- améliorer la qualité de votre sommeil ;
- protéger votre système cardiovasculaire – améliorer votre coeur et rendre vos artères plus souples ;
- donner une nouvelle intensité à vos relations intimes.
Après des années de recherches et d'essais cliniques, il a été démontré qu'utilisée à petites doses, elle est sûre et comporte très peu de risques. Vous trouverez tous les détails dans ce dossier que je vous enverrai par courrier électronique dans un instant.
Dossier n°4 : La sexualité féminine, les clés de l'amour romantique et physique chez la femme
On remarque une femme qui a trouvé son épanouissement sexuel car elle est plus belle, plus attirante et plus détendue. C'est pourquoi le Dr Hertoghe a conçu ce dossier sur la sexualité féminine.
Il parle de toutes les dysfonctions sexuelles. Que ce soit un manque de désir sexuel, l'absence d'orgasmes multiples, le manque d'endurance sexuelle, etc. ; vous trouverez des solutions concrètes.
Le Dr Hertoghe vous aide à déceler les éventuelles carences en hormones qui pourraient compromettre votre sexualité. Il fait la liste des signes qui trahissent des carences, par exemple :
- des cheveux plats ;
- des seins qui tombent ;
- le visage pâle ;
- des règles peu abondantes.
Après l'avoir lu, vous souhaiterez certainement essayer une des thérapies hormonales recommandées. Il vous suffira alors d'aller consulter votre médecin en lui montrant ce dossier, pour qu'il puisse vous prescrire un traitement à la fois efficace et adapté à votre cas.
Ce guide complet vous sera envoyé en prime – vous n'aurez pas à débourser un centime de plus pour vous le procurer.
Mais comme je vous l'ai dit, le Dr Hertoghe ne fait pas l'erreur de ne traiter que des problèmes physique en surface. Pour lui, la véritable beauté est étroitement liée à une véritable santé. C'est pourquoi vous recevrez en plus trois dossiers sur des problèmes importants de santé qui nous concernent ou nous concerneront tous un jour :
3 dossiers supplémentaires indispensables pour votre santé (offerts)
Dossier n°5 : Fatigue : Comment s'en débarrasser
Comme je vous l'expliquais tout à l'heure, le Dr Hertoghe vous donne des solutions précises que la plupart des médecins seraient heureux de connaître. Et cela vaut particulièrement pour la fatigue qui est souvent mal comprise – il ne suffit pas de dormir pour se reposer. Le Dr Hertoghe connaît bien ce problème, et pour cause : la moitié de ses patients se plaignent de fatigue.
Et dans la mesure où la fatigue n'a pas toujours la même intensité, le Dr Hertoghe a recensé pour vous 14 types de fatigue différents, allant de la somnolence après le déjeuner au burn out. Pour chacun d'entre eux, il vous propose des solutions adaptées.
Dossier n°6 : Comment éviter le cancer ou mieux y résister
C'est pour moi le sujet le plus crucial : le cancer est désormais la seconde et bientôt probablement la première cause de décès dans de nombreux pays.
Et pourtant, certaines personnes n'attraperont pas le cancer. La raison est qu'elles pratiquent, consciemment ou inconsciemment, des méthodes efficaces de prévention, que vous pouvez appliquer vous aussi.
Dans ce dossier que vous pouvez recevoir, vous trouverez notamment :
- les aliments à privilégier (page 2) ;
- la boisson qui fait baisser le risque de cancer de 20 % à 90 %, selon le type de cancer (page 2) ;
- le problème fréquent de thyroïde qui augmente le risque de cancer jusqu'à 70 %, et qui est pourtant simple à traiter (page 4);
- le bon équilibre hormonal pour les femmes, contre le cancer du sein, et les signes qui doivent vous alerter (page 4) ;
- la nutrition, les compléments alimentaires et le programme émotionnel à suivre avant, pendant, et après un traitement du cancer, et qui augmentent les chances de guérison (pages 6 et 7).
Vous aurez accès à la totalité du programme anti-cancer du Dr Hertoghe en faisant aujourd'hui un essai à sa lettre mensuelle. Vous recevrez ce dossier dans quelques minutes, par courrier électronique.
Dossier n°7 : Anxiété : Comment se débarrasser de cette peur qui vous mine
Ne croyez pas ceux qui vous disent que l'anxiété est due au tempérament de naissance et qu'on ne peut rien y faire. Ne prenez pas l'anxiété à la légère car elle met votre santé en danger (risque accru de cancer, de crise cardiaque, d'athérosclérose, etc.).
Dans ce dossier, le Dr Hertoghe explore avec vous tous les remèdes à l'anxiété, de la psychothérapie à la méditation, du GABA au 5HTP, en passant par la mélatonine. Le Dr Hertoghe vous décrit ceux qui ont été particulièrement efficaces pour lui, et d'autres remèdes à la pointe de la recherche.
Je tiens à vous envoyer ce dossier en prime, car il peut faire une différence immédiate pour vous ou pour un proche.
Je ne vous demande pas de me croire sur parole
Ces promesses ne sont pas des paroles en l'air. Pour vous le prouver, je vous fais la proposition suivante : lorsque vous aurez reçu vos 7 dossiers gratuits, et vos premiers numéros de la Lettre du Dr Hertoghe, prenez bien le temps de les examiner, et d'appliquer les conseils qui s'y trouvent.
Assurez-vous que cela marche pour vous, que votre apparence s'améliore, que pouvoir de séduction croît, et que votre confiance en vous-même grandit. Si, pour quelque raison que ce soit, vous décidez de ne pas continuer, vous serez remboursé intégralement de votre abonnement pendant trois mois, et votre place sera proposée à quelqu'un d'autre.
Vous pourrez néanmoins garder pour vous tout ce que vous aurez reçu, que ce soit vos numéros de la publication ou les sept dossiers en cadeau que vous allez recevoir instantanément (par voie électronique).
Je pense qu'il n'est pas possible de faire une proposition plus avantageuse que celle-ci.
Pour faire maintenant un essai à la Lettre du Dr Thierry Hertoghe, rendez-vous ici (lien cliquable).
Bien à vous,
Jean-Marc Dupuis
PS : J'espère beaucoup que vous saurez saisir cette occasion de bénéficier des conseils d'un des plus éminents médecins de notre époque. Car il serait vraiment dommage que nous fassions tout ce travail et que vous n'en profitiez pas.
De mon côté, soyez persuadé en tout cas que je continuerai à mettre toute mon énergie à développer ce beau projet, et à vous envoyer des informations santé toujours plus utiles et intéressantes.
Si vous avez d'autres questions à nous poser, n'hésitez pas à me les envoyer. Nous ferons tout notre possible pour vous y répondre rapidement.
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Par ChristianeKolly le 4 Septembre 2013 à 10:01
Cher lecteur,
Un des plus graves problèmes de la médecine actuelle est que, par manque de temps, de formation, mais aussi pour des raisons légales, les médecins conventionnels ont tendance à ne PAS proposer à leurs patients des solutions naturelles, qui offrent pourtant de grands espoirs face aux douleurs et aux maladies.
Si vous avez de l'arthrose, par exemple, votre médecin vous prescrit sans doute des anti-inflammatoires non stéroïdiens (aspirine, diclofénac, ibuprofène...). Peut-être recevez-vous des infiltrations de cortisone.
Ces médicaments suppriment partiellement la douleur, mais ils ont des effets secondaires et ils ne règlent pas la cause de la maladie (la destruction du cartilage).
On sait pourtant aujourd'hui que des composés naturels pourraient eux, non seulement soulager la douleur, mais aussi relancer la production de cartilage. Dans plusieurs études, des patients touchés par l'arthrose sont revenus des années en arrière.
Ils ont retrouvé la souplesse qu'ils avaient des années plus tôt, sans effets indésirables. Certains ont pu éviter ou retarder la pose d’une prothèse de genou. Ce sont des résultats de recherches scientifiques approfondies qui ont été publiées dans des revues médicales internationalement reconnues : The Lancet (1) et The Archives of Internal Medicine (2).
Ces résultats ne sont bien sûr pas garantis pour tout le monde. En particulier, si vous souffrez depuis des années et que vous avez déjà essayé tous les traitements, je ne vais évidemment pas vous dire qu'une solution naturelle va tout résoudre. Peut-être même, et c'est très triste à dire, ne trouverons-nous pas de solution dans cette direction.
Mais il n'y a aucun doute que, pour certaines personnes, la santé naturelle marche là où la médecine conventionnelle a échoué. Dans un grand nombre de maladies, il existe des pistes, des approches qui ne percent pas dans le système de santé officiel.
Il est absurde que les personnes touchées par ces maladies n'en soient pas informées.
Je vous ai cité l'exemple de l'arthrose mais ce n'est qu'un cas parmi les autres :
« Ils n'ont plus le diabète »
Prenez le diabète : on sait aujourd'hui faire reculer la maladie et diminuer la prise de médicaments de façon naturelle. Dans certains cas, les malades retrouvent une santé normale.
Là aussi, il s'agit de résultats qui ont été publiés dans une revue scientifique internationalement reconnue : il s'agit de la revue médicale de référence Diabetologia, éditée par l'Association Européenne pour l'Etude du Diabète (EASD : European Association for the Study of Diabetes) (3).
Des chercheurs de l’Université de Newcastle, au Royaume-Uni ont suivi des diabétiques en surpoids. Durant 8 semaines, ils leur ont fait suivre un régime alimentaire particulier, il est vrai très restrictif.
Mais le résultat de ces huit semaines de régime donne à tous les diabétiques du monde des perspectives nouvelles face à leur maladie :
La glycémie à jeun et après un repas des participants est peu à peu redevenue normale. Leur pancréas, qui avait dans bien des cas cessé de fonctionner, a retrouvé ses capacités normales de production d’insuline.
Pour tous les participants, la totalité des symptômes du diabète a disparu durablement. Et je répète que ce changement a eu lieu sans aucun médicament chimique, par la seule modification de l'alimentation.
Mais ce n'est pas tout : lorsque les participants se sont mis à consommer des nourritures en principe interdites aux diabétiques, on s'est aperçu qu'une grande majorité d'entre eux réagissaient comme s'ils n'avaient jamais été malades :
Ils n'avaient plus le diabète.
Plus impressionnant encore, ce phénomène s'est révélé être durable : trois mois après avoir repris un régime alimentaire normal, 64 % des participants ne présentaient toujours aucun symptôme de la maladie.
Ceci pour vous donner une idée de la puissance que peuvent avoir les solutions naturelles.
Et que dire des maladies cardiovasculaires ?
Réduire le risque d'infarctus et d'AVC
Huit millions de Français aujourd'hui prennent des médicaments contre le cholestérol. Il est pourtant démontré que ces médicaments ne diminuent pas le risque de décès par accident cardiaque.
Je sais que ces propos vont choquer : ce que je dis est exactement le contraire de ce qui est enseigné dans les Facultés de Médecine. Mais c'est ce que les chercheurs les plus en pointe en cardiologie ont démontré. Nous avons d'ailleurs en France un des plus éminents spécialistes dans ce domaine, le Docteur Michel de Lorgeril, chercheur au CNRS, cardiologue. Il est l'auteur de plusieurs livres dont les titres ne laissent planer aucun doute : « L'arnaque du cholestérol », « Dites à votre médecin que le cholestérol est innocent, il vous soignera sans médicaments » ou encore « Cholestérol, Mensonges et Propagande ».
Le Docteur Michel de Lorgeril, lui aussi, a publié des centaines d'articles dans les plus grandes revues médicales internationales, comme « The Lancet », « The American Journal of Cardiology », ou encore le « Journal of Internal Medicine ».
Il dénonce le fait qu'on donne à des millions de personnes fragiles du cœur des médicaments qui provoquent potentiellement de graves effets secondaires, alors qu'il existe des solutions naturelles qui permettent une réduction plus importante du risque cardiovasculaire, sans médicament, ou en tous cas avec un minimum de traitements – y compris pour les personnes qui ont déjà eu un infarctus et un AVC !
Mais autant ses travaux sont reconnus dans les pays étrangers (Angleterre, Etats-Unis...) autant ils ont du mal à passer en France.
Ce n'est pas une surprise quand on connaît la puissance de l'industrie pharmaceutique.
Elle déploie des efforts énormes pour convaincre les médecins que les médecines alternatives sont basées sur des illusions (effet placebo, etc.), et que seuls les médicaments chimiques ont un effet prouvé scientifiquement.
Les médecines naturelles sont des médecines de pointe
En réalité, les médecines naturelles font l'objet elles aussi, d'intenses recherches scientifiques.
La connaissance a beaucoup progressé. Il existe des revues scientifiques sur la médecine naturelle qui ont le même degré d'exigence et de rigueur que les revues traitant de médecine conventionnelle.
Et c'est pour apporter ces informations aux personnes qui en ont besoin que nous avons décidé de créer Les dossiers de Santé & Nutrition.
Les dossiers de Santé & Nutrition est un service d'information sur les nouvelles découvertes de la médecine naturelle validées par la recherche scientifique, présentées de façon simple et agréable à lire, y compris pour les personnes qui n'ont aucune formation médicale ou scientifique. C'est moi, Jean-Marc Dupuis, qui dirige ce projet.
Il est vrai que notre lettre d'information gratuite, Santé Nature Innovation, permet déjà d'aider un très grand nombre de personnes. Lancée il y a un an, plus de 400 000 personnes déjà s'y sont abonnées. Cela en fait, de très loin, la lettre électronique la plus lue en France sur la santé naturelle.
Mais beaucoup de lecteurs me demandaient d'aller plus loin. Ils voulaient des dossiers complets sur les maladies, avec la liste de tous les traitements naturels efficaces, les noms des produits, les dosages, où les trouver.
C'est pourquoi j'ai accepté de créer Les dossiers de Santé & Nutrition .
Il s'agit d'une revue que vous recevez une fois par mois dans votre messagerie électronique. Un peu plus de 38 000 de mes lecteurs s'y sont déjà abonnés. Chaque mois, une maladie est traitée de façon systématique : ils reçoivent les informations complètes sur les traitements naturels qui peuvent marcher.
Et je ne vous parle pas seulement des rhumes, des brûlures légères et des petits bobos :
Non, je parle aussi des maladies graves et invalidantes, y compris l'arthrose, le diabète, la sclérose en plaque, les maladies cardiovasculaires et même le cancer.
Thierry Souccar, notre spécialiste qui assure la rédaction des Dossiers de Santé & Nutrition, est lui-même un des experts de nutrition et de biologie du vieillissement les plus connus du public francophone. Formé à la biochimie nutritionnelle à l’Université de Californie dans les années 90, il a écrit 15 livres, dont de nombreux best-sellers, et formé des centaines de médecins aux nouvelles possibilités des médecines naturelles.
Dans Les dossiers de Santé & Nutrition, il vous indique comment :
Aider votre corps à guérir avec des aliments sains et des nutriments essentiels
Aider l'organisme à guérir en lui apportant des aliments sains et des nutriments ciblés. Cette science s'appelle la nutrithérapie, et les chercheurs avant-gardistes la considèrent comme la médecine qui va révolutionner le troisième millénaire.
Pour saisir tout l'intérêt de la nutrithérapie aujourd'hui, il faut d'abord savoir que, depuis 1950, le régime alimentaire des populations occidentales s'est dramatiquement appauvri.
Les légumes et les fruits frais consommés aujourd'hui par les populations des pays industrialisés n'ont plus la même richesse nutritionnelle qu'autrefois.
Et ce n'est pas étonnant : les sols, autrefois riches en minéraux, ont été épuisés par les méthodes modernes d'agriculture intensive.
Selon une récente étude réalisée par l’Institut de Veille Sanitaire auprès d’un millier de personnes, entre 3,7 millions et 7,1 millions de Français souffrent de malnutrition.
Pas en 1850. Aujourd'hui, en 2013.
De nombreux cas de diabète, d'hypertension, de dépression sont donc aggravés par le manque de nutriments et par la consommation d’aliments néfastes à la santé. Mais malheureusement, souvent par manque de formation, les médecins actuels essayent de « soigner » ces maladies par des médicaments chimiques qui épuisent encore plus les réserves de l'organisme.
Pas d'effets indésirables
Par exemple, l'aspirine est efficace contre beaucoup de douleurs... mais elle abîme la paroi de l'estomac. Elle peut provoquer de graves saignements, parfois même des ulcères dans votre système digestif.
La cortisone réduit les inflammations, mais elle stimule les infections. A long terme, elle provoque de l'ostéoporose, du diabète, des dérèglements hormonaux, des gonflements sur le visage et des problèmes de peau.
Les antibiotiques vont tuer certains germes... mais ils ravagent la flore intestinale. Ils affaiblissent le système immunitaire, et peuvent être toxiques pour le foie et les reins. Ils favorisent le développement de levures qui peuvent infecter la bouche (muguet ou candidose) et les mycoses au niveau de l'appareil génital.
La médecine naturelle, au contraire, exerce ses bienfaits sur l'ensemble de votre corps, et de votre être.
Lorsque, par exemple, vous prenez de la vitamine D pour renforcer vos os, vous réduisez en même temps votre risque de cancer. Les oméga-3, qui réduisent le risque cardiovasculaire, améliorent aussi le moral (effet anti-dépresseur) et réduisent la dégénérescence maculaire.
Mais attention : ces substances, mêmes si elles sont naturelles, ne doivent jamais être utilisées imprudemment. Dans tous les cas, et en particulier si vous êtes sous traitement médical, vous devez demander l'avis de votre médecin avant d'entreprendre un nouveau traitement. Parce que la plupart des produits naturels contiennent malgré tout des principes actifs.
Ils n'ont pas d'effet indésirable, mais le risque d'interaction et surdosage est toujours présent.
C'est pourquoi Les dossiers de Santé & Nutrition vous guident pour utiliser, de façon ciblée, des vitamines, des minéraux, des oligo-éléments et des acides aminés :
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En cas de rhume, par exemple, vour pourriez essayer de prendre de la vitamine E et du zinc ;
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Maux de tête et migraines : le magnésium et la vitamine B2 peuvent faire une différence importante ;
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Hypertension : augmenter vos apports de potassium et diminuer ceux de chlorure de sodium ;
-
Perte de cheveux : la vitamine D, la glutamine, la cystine pourraient vous aider ;
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Fonctions mentales : évitez le déclin cognitif lié à l’âge avec deux substances naturelles, l’acétyl-L-carnitine et la choline.
Et si vous prenez des médicaments contre le cholestérol (statines), pensez à prendre de la coenzymeQ10 pour augmenter votre énergie cellulaire, renforcer vos tissus musculaires (en particulier votre coeur), et lutter contre les pertes de mémoire (effets secondaire fréquent des statines).
Ce ne sont que de petits exemples. En lisant Les dossiers de Santé & Nutrition, vous recevrez au fur et à mesure qu'elles sont publiées, les nouvelles découvertes de la nutrithérapie concernant les maladies les plus variées : des maladies cardiovasculaires au cancer, en passant par les problèmes de prostate, de ménopause, les maux de tête, les acouphènes, l'insomnie, Parkinson, Alzheimer, les problèmes gastriques et les problèmes de peau. Tous les domaines de la santé sont concernés.
Mais attention : n'allez pas croire que la santé naturelle moderne consiste à vous imposer des régimes contraignants, des nourritures sans saveur et difficiles à avaler. Bien au contraire, les recherches les plus récentes prouvent par exemple que, avant même d'envisager de prendre le moindre complément alimentaire naturel, vous rendriez déjà un grand service à votre corps en mangeant tout simplement plus de... bonnes graisses.
Surtout ne supprimez PAS les graisses de votre alimentation !
Depuis 40 ans, les pouvoirs publics essaient de persuader la population que les graisses alimentaires sont l'ennemi public n°1.
Cette allégation n'est pas confirmée par les recherches scientifiques les plus récentes. Au contraire, elles indiquent que vous devez, selon toute probabilité, augmenter votre consommation de bonnes graisses !
Huile de colza, huile de lin, poissons gras, noix, mâche, potiron et pourpier contiennent des graisses qui réduisent la mortalité cardiovasculaire. Si vous manquez de ces graisses, vous augmentez votre risque de maladie et de dépression. Plusieurs huiles font même baisser votre taux de cholestérol.
De plus, dans le cadre d'un régime amaigrissant, consommer des graisses est indispensable pour vous donner un sentiment de satiété, nécessaire pour perdre du poids. Si vous souffrez de la faim, votre corps se met en « mode famine » : il ralentit son métabolisme pour économiser des calories, ce qui vous fait garder vos kilos en trop.
Il est vrai que, à première vue, vous allez penser que ces recommandations sont étonnantes. Et pourtant : en lisant Les dossiers de Santé & Nutrition, vous vous apercevrez que l'essentiel de ce qu'on lit et entend depuis quarante ans sur les graisses est totalement contraire à la vérité scientifique.
Savez-vous que la population américaine n'a cessé de diminuer sa consommation de graisse depuis 1975 ? Cela n'a nullement empêché une explosion des problèmes d'obésité, de maladies cardiovasculaires, de diabètes, de cancers...
Aujourd'hui, la recherche la plus en pointe sur les corps gras a démontré leur effet bienfaisant, et indispensable à de nombreux processus biologiques. En lisant Les dossiers de Santé & Nutrition, vous apprendrez à choisir vos huiles et à adapter votre façon de cuisiner pour que les graisses que vous consommez vous fassent gagner des années de longévité avec un corps et un cerveau en pleine forme.
Mais Les dossiers de Santé & Nutrition contiennent bien d'autres informations réjouissantes pour votre santé :
Soignez-vous... en vous régalant
Vous trouverez dans Les dossiers de Santé & Nutrition des recettes délicieuses qui ralentissent le vieillissement.
La recherche en nutrition moderne a démontré que de nombreux aliments vous font vieillir, en causant plusieurs types de réactions gravement néfastes pour vos cellules et vos organes (en particulier vos artères et votre cerveau) :
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l'oxydation, qui entraîne la mort cellulaire et des dommages sur l'ADN (source de cancers) ; elle est causée par la consommation d'aliments qu'il est pourtant facile d'éviter ;
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la glycation : des protéines et des sucres – fructose et glucose – se combinent pour former des corps durs qui rigidifient vos organes. C'est un peu comme quand vous faites cuire un œuf trop longtemps : il n'est pas possible de revenir en arrière. Les dégâts sont irréversibles. La glycation se produit notamment lorsque vous mangez le « grillé » des viandes rôties, et en particulier des barbecues.
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l'inflammation : lorsqu'elle est chronique, elle tue les cellules cérébrales, ralentit la circulation et peut provoquer le détachement de plaques d'athérome, qui obstruent des vaisseaux plus petits (risques d'infarctus et d'attaques).
Toutes ces réactions sont favorisées par le choix d'aliments inadaptés.
La bonne nouvelle, c'est que, inversement, d'autres aliments ont l'effet contraire : ils protègent vos cellules, maintiennent leurs parois jeunes et souples, soignent vos organes, font épaissir votre peau, et peuvent contribuer à restaurer des fonctions physiques, neurologiques et même psychologiques attaquées depuis des années.
Dans Les dossiers de Santé & Nutrition, vous pourrez découvrir (ce ne sont que quelques exemples) :
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la délicieuse recette du magret de canard qui reconstitue vos stocks d'antioxydants, pour lutter contre les radicaux libres et l'oxydation ;
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comment cuisiner le gigot d'agneau pour que seules les bonnes graisses passent dans votre système sanguin ;
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le dessert aux framboises qui protège contre les maladies cardiaques ;
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la marinade au citron-vert qui reconstitue vos réserves d'oméga 3 ;
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les artichauts farcis qui détruisent les cellules cancéreuses ;
Et des centaines d'autres recettes qui vous feront du bien.
Les remèdes cachés dans votre garde-manger
Les conseils des dossiers de Santé & Nutrition peuvent parfois être aussi simples que de vous recommander de manger des bananes, des pommes, ou encore des avocats :
Les bananes contre l'infarctus : les bananes sont une excellente source de vitamine B6 et de vitamine C, de fibres alimentaires et de manganèse. Mais elles contiennent aussi beaucoup de potassium, un élément qui s'est beaucoup raréfié dans l'alimentation des populations occidentales depuis 30 ans. Le potassium est nécessaire pour conserver une pression artérielle normale et un bon fonctionnement du cœur. Manger une banane (pas trop mûre) par jour peut donc aider à prévenir l'hypertension artérielle et à protéger contre l’infarctus.
La pomme contre l'ostéoporose : la pomme contient de la procyanidine B-2, qui joue un rôle clé pour retarder les signes de vieillissement, prévient l'apparition de rides et stimule la croissance des cheveux. Des chercheurs français ont découvert qu'un flavonoïde appelé phloridzine, qui se trouve uniquement dans les pommes, peut protéger les femmes post-ménopausées de l'ostéoporose et peut également augmenter la densité osseuse. De nombreuses études ont également montré que manger des pommes peut aider à prévenir de nombreux types de cancer, l'asthme, le diabète, l'hypertension artérielle et la prise de poids !
Les avocats et le cancer : les avocats sont reconnus depuis longtemps pour leurs propriétés anti-cholestérol et leur capacité à maintenir la santé cardiovasculaire. Mais il y a du nouveau : selon les derniers résultats de recherche du Dr Steven M. D'Ambrosio et ses associés à l'Ohio State University, aux États-Unis, il semble que les composés phytochimiques extraits de l'avocat Haas (variété à peau rugueuse et sombre) sont capables de détruire les cellules cancéreuses par voie orale ainsi que d'empêcher les cellules pré-cancéreuses d'évoluer en cancer.
C'est encore un exemple d'information vitale que vous n'aurez qu'en lisant Les dossiers de Santé & Nutrition.
Nous vous faisons également découvrir les plantes exotiques, que vous pouvez ajouter à votre cuisine et qui peuvent faire des merveilles pour votre santé :
Deux cuillères à soupe de graines de salba, aussi appelées chia, contiennent plus de fibres qu'une dose de laxatif chimique Metamucil et vous apporte 3.050 mg d'oméga-3 - l'équivalent de plus de cinq gélules d'huile de lin, ou de dix gélules d'huile de poisson. Avec sa haute teneur en acide chlorogénique et caféique, ce super-aliment récemment découvert facilite également le métabolisme du glucose et le contrôle du poids parmi ses innombrables autres avantages pour la santé.
Des études ont montré que l'ashitaba (un légume à feuilles vertes d'Extrême-Orient) peut contribuer à améliorer la santé ainsi qu'aider à traiter un certain nombre de problèmes médicaux. Il s'agit notamment de l'immunité affaiblie par les infections bactériennes et virales, l'hypertension artérielle, l'hypercholestérolémie, des douleurs musculaires, et du diabète de type 1 et de type 2. Il favorise également la détoxification du sang, du foie et des reins.
Les Dossiers de Santé & Nutrition ne censurent aucune recherche médicale
Encore une fois, ce ne sont que de rapides exemples, car je n'ai absolument pas la place de vous en dire plus ici. Mais vous pouvez recevoir chez vous, chaque mois, un numéro entier des Dossiers de Santé & Nutrition rempli à ras bord d'informations capitales pour votre santé, en vous abonnant aujourd'hui.
Mais attention, Les dossiers de Santé & Nutrition ne sont pas faits pour tout le monde.
S'abonner aux Dossiers de Santé & Nutrition, c'est aussi un acte de résistance contre les dogmes du "médicalement correct". Publication libre et indépendante, la seule préoccupation des Dossiers de Santé & Nutrition est l'objectivité scientifique et l'amélioration de votre santé.
Vous y trouverez des articles rigoureux sur toutes les branches de la recherche actuelle « alternative », comme les travaux de l'Institut Linus Pauling sur les intraveineuses de vitamine C contre les maladies cardiovasculaires et le cancer.
Bref, nous parlons ouvertement des recherches qui sont aujourd'hui menées dans une extrême discrétion par des médecins peut-être trop en avance sur leur temps. Et nous savons que cela peut choquer certains.
Mais nous considérons comme tout aussi important de protéger nos lecteurs contre les fausses rumeurs :
Protégez-vous contre les médias en mal d'audimat
En effet, pas un jour ne s'écoule sans que les médias n'annoncent un danger supposément mortel dans nos assiettes ou nos étagères de salle-de-bain.
Cependant, quand vous apprenez du jour au lendemain qu'un produit utilisé depuis des dizaines d'années sans inconvénient notable est soudainement déclaré comme un poison dangereux à interdire immédiatement, il est indispensable de faire preuve d'esprit critique.
Bien souvent, derrière les gros titres des journaux, se cachent des agences de communication et de « public relations », financées par des lobbies industriels pour détruire des concurrents. Cela peut aussi être des labos cherchant à vendre des vaccins. Ou tout simplement un moyen pour les médias de faire plus d'audience.
C'est pourquoi nous vous donnons une information objective sur l'efficacité réelle des vaccins anti-grippe, ce qu'il faut penser des dangers de l'aspartame ou du Bisphénol-A.
Pour chaque sujet traité, Les dossiers de Santé & Nutrition vous garantissent que vous aurez les tout derniers résultats de la recherche scientifique, validés par les médecins les plus en pointe dans le monde entier sur les nouveaux traitements naturels.
Les dossiers de Santé & Nutrition vont chercher pour vous dans plus de cent cinquante publications spécialisées les résultats les plus prometteurs, et peut se référer à des spécialistes dans 120 pays. Il vous coûterait plusieurs centaines d'euros de vous abonner à une seule de ces revues scientifiques (sans compter temps perdu à décortiquer les articles : 95 % des publications scientifiques sont dénuées de toute information nouvelle de toutes façons...). Mais les « pépites » qui surgissent régulièrement çà et là dans ces revues sont extraites pour vous par notre équipe et vous sont aussitôt transmises de façon claire et concise.
La même chose est vraie de tous les sujets couverts par Les dossiers de Santé & Nutrition. Vous recevez des informations qui vous coûteraient des centaines d'euros chaque année, que vous auriez besoin de compiler pendant des heures, - si vous deviez les réunir vous-même.
Facile et amusant à lire
Et si vous n'avez aucune notion de médecine ni de biochimie, c'est une raison de plus de vous abonner aux Dossiers de Santé & Nutrition : malgré sa rigueur scientifique, notre revue est spécialement prévue pour les personnes qui n'ont pas de formation médicale avancée.
Chaque fois qu'un remède est présenté, Les dossiers de Santé & Nutrition vous indiquent précisément où le trouver, sous quelle forme le prendre, à quelles quantités, quels intervalles, pendant combien de temps, et les résultats à en attendre. Sans jamais recourir à des mots compliqués.
Encore une fois, ces résultats ne sont pas garantis ; les êtres humains ne sont pas des machines, et toute personne qui vous prétendrait qu'elle a la solution pour vous à 100 % doit malheureusement être considérée commenon fiable.
Toutefois, il n'y a pas de raison valable de vous priver a priori d'une information qui pourrait avoir une importance décisive pour vous. Car la nature regorge de trésors insoupçonnés, et chaque année apporte son lot de nouvelles découvertes.
Vous abonner aux Dossiers de Santé & Nutrition , c'est enfin une façon de soutenir la diffusion de la lettre d'information gratuite Santé Nature Innovation que vous recevez dans votre boîte email. Si vous appréciez notre travail et que vous souhaitez nous aider à continuer, abonnez-vous aujourd'hui aux Dossiers de Santé & Nutrition pour des informations complètes sur les maladies. Vous recevrez pour commencer, en signe de bienvenue :
Dossier n°1 :« Stratégie complète contre l'arthrose » : ce dossier vous sera envoyé dans les minutes suivant votre adhésion. Il contient tous les détails sur le régime qui combat l'arthrose et les compléments alimentaires les plus efficaces. Ce dossier vous est envoyé EN PLUS de votre abonnement et sans aucun coût supplémentaire.
Dossier n°2 : « Vaincre le diabète par l'alimentation, la révolution de la nutrition scientifique » : c'est LE dossier révolutionnaire sur le diabète de type 2. Il vous indique un régime particulier pour contrôler le diabète et dans certains cas vous en débarrasser définitivement. Découvrez les remèdes anti-diabète cachés dans votre cuisine ; ce dossier, lui aussi, vous est envoyé EN PRIME, et vous ne paierez pas un centime de plus pour l'obtenir.
Dossier n°3 : « N'attendez-pas que votre médecin vous déclare Alzheimer » : ces précautions sont une solution réelle contre la maladie ». Alors que la médecine conventionnelle est totalement démunie face à cette maladie dramatique qui prend des allures d'épidémie, ce dossier clé de notre collection est un indispensable à avoir chez toutes les personnes qui souhaitent se prémunir contre l'Alzheimer. Il vous est envoyé lui aussi sans surcoût pour vous souhaiter la bienvenue dans le cercle exclusif des lecteurs des dossiers de Santé & Nutrition.
Dossier n°4 : « Reprenez le contrôle de votre prostate ». Tous les hommes de plus de 30 ans devraient lire ce dossier de toute urgence. Et les femmes qui aiment leur conjoint et leurs amis de sexe masculin, doivent s'en préoccuper elles aussi. Pourquoi? Parce que 90 % des hommes finiront avec des problèmes de santé dans cette zone. C'est une chose trop importante pour qu'elle soit ignorée. Alors si vous avez plus de trente ans, il est temps de commmencer à vous en préoccuper, et à prendre des mesures de prévention. (Comme les autres dossiers ci-dessus, vous recevrez ce dossier dans quelques minutes et vous n'avez rien à payer en plus pour l'obtenir).
Ensuite, vous recevrez chaque mois un nouveau numéro des Dossiers de Santé & Nutrition.
Tarif spécial découverte
Le prix normal de l'abonnement aux Dossiers de Santé & Nutrition est de 3,75 euros par mois, soit 45 euros par an.
Mais en vous abonnant aujourd'hui, vous bénéficiez du prix spécial découverte à 2,45 euros par mois seulement pour votre première année. Cela représente une réduction de 36 % par rapport au tarif normal.
Notez qu'il n'est possible d'offrir un tarif aussi bas que parce qu'un grand nombre de personnes généreuses ont accepté de payer plus, ce qui nous permet de diffuser nos informations à plus grande échelle.
Ce tarif spécial découverte à 2,45 euros par mois, pour la première année, vous donne droit à tout ce qui a été cité dans cette présentation, y compris les quatre dossiers spéciaux de bienvenue, que vous recevrez immédiatement après avoir validé votre abonnement.
Les années suivantes, votre abonnement sera renouvelé au tarif réduit garanti de 39 euros par an, soit encore une réduction de 13 % par rapport au prix normal, sauf opposition de votre part. Bien entendu, vous pouvez résilier votre abonnement à tout moment, sans frais et par tout moyen (téléphone, email, fax, courrier… vous trouverez toutes nos coordonnées sur notre site Internet). Vous avez notre engagement que ce prix n'augmentera pas, et que vous ne manquerez jamais aucun numéro des Dossiers de Santé & Nutrition
Notez que le montant annuel de l'adhésion aux Dossiers de Santé & Nutrition est largement inférieur au prix que vous devrez payer pour une seule consultation chez la plupart des thérapeutes. Mais nous préférons éviter que des personnes s'abonnent uniquement pour profiter du prix avantageux de la première année, et des dossiers de bienvenue que nos offrons.
Nous souhaitons en effet développer une relation de long terme avec nos lecteurs. Le principe même de la santé naturelle est d'agir en prévention, par des modifications du mode de vie, et c'est pourquoi il est important de suivre Les dossiers de Santé & Nutrition de façon régulière, sur le long terme, pour en retirer tous les bienfaits.
Pour vous abonner maintenant, cliquez sur le lien suivant : s'abonner. Vous pourrez vérifier les conditions d'abonnement avant de valider votre paiement.
Bien cordialement,
Jean-Marc Dupuis
PS : si vous hésitez encore, pensez bien au fait que Les dossiers de Santé & Nutrition vous fera réaliser d'importantes économies en vous indiquant les remèdes naturels cachés... dans les étagères de votre cuisine. Attention, encore une fois, il peut y avoir des contre-indications donc consultez toujours votre médecin avant de changer de régime ou de prendre des produits nouveaux, y compris s'ils sont naturels :
Diabète : le clou de girofle et la cannelle ralentissent l'absorption du sucre par vos muqueuses ; vous limitez ainsi votre pic de glycémie après le repas en les ajoutant à vos desserts. L'acide alpha-lipoïque protège les diabétiques contre les problèmes cardiaques et neurologiques (250 à 500 mg/jr).
Vieillissement et détoxification : avocat cru, melon, asperges, pamplemousse, courge, patate avec la pelure, fraises, tomate crue, orange, cantaloup, chou-fleur, brocoli, pêche, oignon, courgette, carotte crue, épinards crus sont source de glutathion, une protéine dont on manque en prenant de l’âge et qui détoxifie les cellules.
Maladies cardiovasculaires : la carotte accroît l’immunité grâce au bêta-carotène qu’elle renferme en grande quantité. Le jus de carotte frais (par extracteur) est particulièrement efficace (250 ml donnent 24 mg de bêta-carotène).
PPS : voici des exemples de témoignages reçus par nos lecteurs ces dernières semaines. Je ne vous les transmets pas pour me mettre en valeur, mais simplement pour vous montrer que, vraiment, les personnes qui lisent nos publications sont satisfaites, et j'espère que vous le serez aussi :
“Les dossiers de Santé & Nutrition me permettent d’assimiler progressivement des informations capitales qui s’adaptent non seulement aux dernières nouvelles, mais nous expliquent les fabuleux mécanismes de notre corps. Cela me rassure et me convient totalement.”
Zaby28“Bravo, merci et s'il vous plaît, continuez à nous informer je pense que c'est V I T A L !”
Maryline Campanella“En appliquant le traitement que vous conseilliez sur mon genou, mes douleurs ont nettement diminué”
Jean-Paul D.“Bonjour et merci pour ces courriels et rapports d'informations très très utiles ! ”
Anne-Sophie R.“Si je pouvais rejoindre votre équipe en tant que professionnelle de santé, je serais très honorée. Merci d’être là pour nous.”
Elisabeth T., pharmacienne, Nantes.“Je dévore chacune de vos newsletters. Dans vos articles, je trouve toujours le petit plus pour parfaire ma santé.”
Philippe Carrere“En quelques mois, les plantes et autres naturels : aloé vera, oméga 3, gingembre, etc... ont été très précieux pour m'aider à me relever de cette léthargie dans laquelle je me trouvais, de plus les inflammations et autres douleurs ont nettement diminuées (…) votre site est une mine! Merci encore.”
Elisabeth D.“Je suis étudiant en Naturopathie à Bruxelles et votre site nous a été vivement conseillé.”
Jean Dumont“Je suis médecin neurologue, j'ai lu plusieurs ouvrages édités par Thierry Souccar et ça m'a aidé à évoluer, garder un libre arbitre et conseiller mes patients autrement qu'avec les moyens conventionnels.”
Isabelle P.“Merci d’exister.”
Pierre L.“Vous nous apportez un grand plus dans notre vie de “malades” en route vers la guérison.”
André Cornu“Vous êtes fantastiques!!! Merci pour cette information intéressante et passionnante.”
Hélène C.“Merci de tout coeur pour vos message qui nous permettent d'améliorer notre santé.”
Janine“Cela fait maintenant plusieurs mois, peut-être un an, que je lis, que dis-je... que je DEVORE vos articles !”
Christelle D.“Je lis vos dossiers avec gourmandise.”
Marie-Annick“Tous les articles sont écrits de façon à aider les gens.”
Carine H.“Je tenais à vous remercier pour vos judicieux conseils que je suis à chaque fois avec une grande attention !"
Maxime U.“A travers la voix de Jean-Marc Dupuis, nous avons l'impression d'être moins muselés et moins impuissants.”
Marie-Christine Brand“Soucieuse de la santé de mes proches, j'ai l'impression d'avoir été dans une errance web et scientifique pendant de longues années. Mais désormais, Vous NOUS aidez. Vos synthèses nous sont servies sur un plateau. Enfin quelques lumières solides pour être épaulé.”
Léa D.“Vos dossiers sont des sources inépuisables de réflexion.”
Michèle Roger“Je deviens addicte à votre lettre.”
Béatrice M.“Laissez-moi vous exprimer toute ma gratitude quant à l'inestimable trésor que représentent vos lettres.”
Roselyne K.“Merci pour votre implication et la générosité de vos partages pour améliorer le bien-être de l'humanité !!!”
Hélène C.“Je suis absolument ravie d'avoir découvert votre site qui est une véritable perle. Merci pour les informations essentielles que vous transmettez. N'arrêtez jamais, il y aura toujours des gens pour vous lire. Merci.”
Marine M.“Vos conseils sont très judicieux et je lis toujours vos messages avec gratitude.”
Fanette“J'ai redécouvert la joie de vivre en bonne santé sans aucune chimie.”
Danielle D.**********************
Sources de cet article :
(1) Reginster JY, Deroisy R, Rovati LC, Lee RL, Lejeune E, Bruyere O, Giacovelli G, Henrotin Y, Dacre JE, Gossett C. Long-term effects of glucosamine sulphate on osteoarthritis progression: a randomised, placebo-controlled clinical trial. Lancet 2001 Jan 27;357(9252):251-6.
(2) Pavelka K, Gatterova J, Olejarova M, Machacek S, Giacovelli G, Rovati LC. Glucosamine sulfate use and delay of progression of knee osteoarthritis: a 3-year, randomized, placebo-controlled, double-blind study. Arch Intern Med 2002 Oct 14;162(18):2113-23.
(3) Lim EL, Hollingsworth KG, Aribisala BS, Chen MJ, Mathers JC, Taylor R.; Reversal of type 2 diabetes: normalisation of beta cell function in association with decreased pancreas and liver triacylglycerol. Diabetologia, doi : 10.1007/s00125-011-2204-7.
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Nouvelles Publications de la Santé Naturelle, SARL au capital de 2000 euros, 14 rue Charles Laffitte, 92200 Neuilly-sur-Seine. Pour toute question, merci d'adresser un message à contact@santenatureinnovation.com ou bien par téléphone au (33) 1 58 83 50 73.
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Par ChristianeKolly le 2 Août 2013 à 10:32
Un de mes meilleurs amis a un enfant qui est accablé d'allergies, d'asthme, d'eczéma, de diarrhées, de constipation. Il fait infection sur infection.
Ses parents lui ont fait arrêter le lait, le gluten, la charcuterie, les oeufs, rien n'y a fait.
Il se trouve que cet enfant est né par césarienne.
Quand il m'en a parlé, je n'ai pas hésité une seule seconde.
J'ai tout de suite pensé : « flore intestinale ».
« La mort commence dans le côlon »
Un tube digestif mal entretenu, peuplé de bactéries et de champignons opportunistes et pathogènes (en particulier Candida albicans) et pollué par des aliments mal digérés risque de se retrouver encombré par des matières fécales nauséabondes et toxiques. Ce phénomène est facteur de déséquilibres et de troubles de gravité variable.
En particulier, vous pouvez souffrir de constipation rebelles, de ballonnements, de diarrhées, d'inflammations diverses, d’altération de la peau, d'instabilité d'humeur ou de maladies plus graves, comme une colopathie fonctionnelle, une diarrhée sanglante ou un cancer du côlon.
Lors d'une autopsie, il n'est pas rare de constater que le côlon de la personne décédée est fortement encombré par des excréments. C'est l'origine de l'adage : « la mort commence dans le côlon ».
Un intestin malpropre, c'est le risque d'une immunité déficiente. Vous souffrez alors d'une vulnérabilité plus grande aux maladies infectieuses et inflammatoires touchant les sphères digestives, respiratoires, urogénitales, etc.
De plus, un côlon « malade » est aussi un facteur déclenchant de troubles émotionnels : peu de gens, et même de médecins, le savent, mais ce sont les cellules de l'intestin qui produisent 80 % de la sérotonine qui se trouve dans notre corps (la sérotonine est l'hormone de la bonne humeur).
D'une certaine façon, votre intestin est votre « deuxième cerveau ». Vous devez donc en prendre le plus grand soin.
Entretenir votre tube digestif
Vous trouverez partout sur Internet des offres plus ou moins honnêtes pour des produits visant à nettoyer votre tube digestif. Mais votre intestin n'est ni une cheminée qu'on ramone, ni une tuyauterie qu'on débouche avec du « Déstop ». C'est en fait, à la fois plus subtil, mais aussi beaucoup plus simple.
Normalement, vous ne devriez rien avoir à faire. Dame Nature a tout prévu : une armée de milliers de milliards de microorganismes qui peuplent votre côlon (la dernière partie de l'intestin, juste avant le rectum) et qui, nuit et jour, le protègent, le nettoient, et empêchent les bactéries et levures nuisibles de se développer, en occupant la place.
Ces microbes sont en très grand nombre, c’est-à-dire cent fois plus nombreux que les cellules de votre corps, soit 100 000 milliards (14 zéros !).
Cette armée immense s'appelle la « flore intestinale » ou le « microbiote ».
Le mot « flore » peut surprendre pour un endroit pareil, mais c'est une référence au grand nombre d'espèces de bactéries et de levures (au moins 200 espèces) qui cohabitent, comme dans un jardin botanique. Cet ensemble nous est aussi personnel que nos empreintes digitales.
Il ne tient qu'à vous d'entretenir ce jardin, de le réensemencer régulièrement, d'éliminer les mauvaises herbes, de lui apporter de l'engrais... ou alors de le laisser à l'abandon. Dans ce second cas, le joli parc à l'anglaise peut vite se transformer en affreux dépotoir nauséabond, refuge d'espèces nuisibles qui déclenchent des maladies.
Les mauvaises odeurs ne sont pas normales
La principale fonction de votre côlon est de fermenter les aliments incomplètement digérés pour en extraire les derniers nutriments et les faire passer dans le sang. Lorsque votre côlon est sain et qu'il fonctionne bien, il ne laisse que des déchets inutilisables qui sont évacués régulièrement, et ne dégagent pas de mauvaise odeur.
Par contre, en présence de bactéries et de levures nuisibles, le transit est perturbé, entraînant constipation ou diarrhée et les résidus alimentaires deviennent malodorants. De plus, lorsqu’une mauvaise digestion s’installe, en plus d'être désagréable en soi, elle empêche votre corps d'extraire les nutriments de votre nourriture de façon optimale. Si vous ne faites rien, des déficits nutritionnels, voire des carences, peuvent s'installer.
Cette flore nuisible produit aussi du gaz carbonique, du méthane et de l'hydrogène en abondance. Tant et si bien que lorsque vous laissez la situation s'installer, ces germes vont proliférer jusqu'à provoquer des poches de gaz tout au long de votre côlon, jusqu’à ce que vous ayez l'impression qu’il va exploser. Les flatulences et les ballonnements n'ont rien de drôles. Ils indiquent que votre nourriture est mal digérée et que votre côlon a besoin d'aide. Ce cercle vicieux est déclenché par le manque de bonnes bactéries, favorables à la digestion.
Et c'est là que j'en reviens au cas de mon ami dont l'enfant est né par césarienne.
Votre flore intestinale se détermine dès votre naissance
La composition de votre flore intestinale dépend avant tout de la façon dont se déroule votre naissance.
Quand vous étiez dans le ventre de votre mère, votre tube digestif était stérile. Il n'y avait dedans aucun microbe.
Ce n'est qu'au moment de l’accouchement que des bactéries et des levures s'y sont installées : 72 heures après votre naissance, votre tube digestif contenait déjà 1000 milliards de bactéries et levures !
Mais d’où proviennent ces bactéries et levures ? Très peu de gens le savent, là encore, mais elles viennent, pour les enfants nés par voie naturelle, de la flore vaginale de leur mère.
Or, cette flore vaginale est très dépendante de la flore intestinale et donc une femme qui aura un bonne flore intestinale dans les dernières semaines de sa grossesse donnera en héritage à son enfant les bonnes espèces microbiennes pour ensemencer son intestin. Si, par contre l'intestin de la mère est contaminé par des espèces opportunistes et pathogènes, son bébé en héritera aussi, malheureusement.
Ainsi constate-on que certaines prédispositions aux maladies sont liées à une microflore particulière transmise par les mères à leurs enfants au moment de la naissance. C’est en particulier le cas des lignées familiales d’asthmatiques et d’eczémateux. Si, au cours des derniers mois précédant l’accouchement, la mère régénère sa microflore (nous allons voir comment), son enfant ne sera pas porteur d’une microflore induisant de l’eczéma ou/et de l’asthme. Cette simple mesure permet donc de préserver le nouveau-né d’une déficience qui risque de l’handicaper toute sa vie avec la perspective de la terminer dans les souffrances d’une bronchite chronique, sous assistance respiratoire particulièrement invalidante.
Mais un autre cas très problématique est celui des enfants nés par césarienne.
Etant directement extraits du placenta (stérile), le bébé né par césarienne n'a aucun contact avec la flore de sa mère. Il reçoit alors la microflore de l'environnement, et donc de l'environnement hospitalier, souvent riche en bactéries résistantes aux antibiotiques, en particulier le tristement célèbre staphylocoque doré (Staphylococcus aureus).
Cette flore intestinale d'origine hospitalière peut avoir des conséquences douloureuses sur tout le reste de l'existence, si elle n'est pas corrigée à temps.
Donc pour les mamans qui sont forcées d’accoucher par césarienne, il est très important qu’elles ensemencent le tube digestif de leur bébé, dès la naissance, avec de bonnes bactéries. Avant de vous dire comment, permettez-moi de préciser que, même une bonne flore intestinale à la naissance peut se déséquilibrer par la suite :
Comment l'équilibre de votre microflore risque de se rompre
Après la naissance, l’équilibre de la microflore intestinale est en continuelle évolution. Il s’agit d’un équilibre dynamique qui peut être rompu par différents facteurs endogènes et exogènes :
- facteurs endogènes ou causes intérieures à votre corps : il se peut que vous ayez un déficit immunitaire, ou une maladie métabolique discrète, qui entraîne une modification de votre flore intestinale. En cas de blessure ou d'opération chirurgicale, d'inflammation, de constipation chronique ou de tumeurs dans l'intestin, votre microflore peut également être gravement perturbée, ce qui empirera les symptômes de votre maladie, et retardera votre convalescence ;
- facteurs exogènes ou les causes extérieures à votre corps : alimentation déséquilibrée, contamination par des métaux lourds, des pesticides utilisés en agriculture et des additifs alimentaires antimicrobiens, infection par des germes pathogènes, stress intense, traitement aux antibiotiques, vaccination, peuvent contribuer à inhiber vos bonnes bactéries, ce qui laissera la place aux germes opportunistes et pathogènes (responsables de maladies) de se multiplier.
Les conséquences sont de gravité variable : des simples troubles de la digestion jusqu'à la rupture complète des barrières de défense de l’organisme. Dans ce cas, vous risquez la prolifération de germes jusqu’à la septicémie (infection généralisée) et donc, potentiellement, la mort.
Cela montre qu’une flore intestinale équilibrée joue un rôle essentiel pour votre santé et votre résistance aux maladies. Tout doit être fait pour maintenir cette flore dans un bon état microbiologique.
Je vais vous indiquer comment faire :
Entretenir et améliorer sa flore intestinale
Parmi les bactéries de votre flore intestinale, certaines ont un effet positif pour votre santé, et pour la vie en général : c'est pourquoi les scientifiques les ont baptisées « probiotiques » (favorables à la vie). Elles stimulent le système immunitaire, réduisent les allergies, apaisent les inflammations de l'intestin. Elles empêchent la production de toxines susceptibles de surcharger le foie, améliorent le transit intestinal, réduisent les flatulences, préviennent les troubles du transit (constipation ou diarrhée). Pour mériter le nom de probiotique, il faut que cet effet soit scientifiquement démontré.
D'autres espèces sont opportunistes ou pathogènes : elles sont susceptibles de déclencher des problèmes de santé de tous ordres, dont les allergies, les mycoses et même certaines maladies.
Parmi les mycoses, la candidose provoquée par Candida albicans est redoutable car la prolifération de ce germe dans l’organisme provoque une altération de l’immunité qui ouvre la poste à d’autres affections dont le cancer.
Votre défi est le suivant : favoriser, par l'implantation de bonnes espèces et par des « engrais » adaptés, les bonnes bactéries. Empêcher les espèces pathogènes (causes d’affections) de se développer.
Alors voici les mesures que vous pouvez prendre et qui permettront de renforcer votre système immunitaire, accroître votre vitalité et améliorer votre bien-être.
Réduire votre consommation d'aliments concentrés
Les aliments concentrés tels que la viande, les fromages, les graisses et les sucres simples doivent être consommés avec modération car ils sont susceptibles de provoquer une rupture de l’équilibre de la microflore.
Or, depuis les années 1950, la consommation des aliments concentrés n’a pas cessé de croître avec le développement incessant de ce que l’on appelle les maladies de civilisation : troubles cardiovasculaires, digestifs, métaboliques, nerveux, ostéoarticulaires, etc.
Par exemple, la forte consommation de sucres simples : saccharose, fructose, maltose, lactose, glucose.
Tous les aliments sucrés ou qui se transforment rapidement en sucre simples (y compris les jus de fruit), favorisent la prolifération d’une flore fongique qui altère l’immunité, induit le risque de diabète, d’obésité, d’accidents cardiovasculaires et de tous types de cancers.
Cela peut sembler exagéré mais les médecins n'ont plus de doute aujourd'hui à ce sujet : la forte consommation de sucre produit de l’hyperglycémie, puis de l’hyperinsulinémie qui va provoquer la formation de la tumeur cancéreuse et accélérer la croissance des cellules tumorales.
Les Français consomment en moyenne 40 kg de sucre par an, soit environ 110 grammes par jour. Ce chiffre est dangereusement élevé. Il devrait être réduit au minimum des trois quarts, c'est-à-dire descendre en dessous de 10 kg par an. On peut en dire autant de la viande, des graisses saturées et des produits laitiers.
Alors priorité aux fruits, légumes et céréales complètes, baies, noix, poissons gras de haute mer riches en précieux nutriments (collagène, minéraux, vitamines liposolubles et acides gras omega-3 à longues chaînes). Un peu de viande, de produits laitiers (surtout au lait de chèvre et de brebis) et d’huiles végétales (préférence à l’huile d’olive, de noix, de colza) et moins de graisse saturées, très peu de sucreries.
Mangez plus de fibres, ce sont des « prébiotiques »
L'alimentation moderne, trop riche en produits concentrés (viande, fromage, graisses et sucreries), est pauvre en fibres. Si les fibres alimentaires ne sont pas des nutriments essentiels à notre organisme, elles sont indispensables à l’entretien de notre flore intestinale qui s'en nourrit et les transforme en acides organiques, qui protègent et régénèrent la muqueuse intestinale.
Certaines fibres alimentaires sont solubles parce que de bas poids moléculaire. On les appelle alors des « prébiotiques », parce qu'elles stimulent de façon ciblée la croissance des bactéries « probiotiques » ou bonnes bactéries de l’écosystème intestinal.
Puisque votre flore intestinale se nourrit de fibres, il ne faut pas la laissez dépérir en la privant des fibres solubles. C’est ce qui est apporté par les fruits de saison bien mûrs, une grande variété de légumes (priorité aux légumineuses et crucifères) et les céréales ancestrales pauvres en gluten (riz, millet, sarrasin, épeautre).
Préférez des légumes et des fruits bio, car il ne contiennent pas de pesticides (cancérigènes) et de conservateurs (antibactériens et antifongiques qui altèrent votre flore intestinale).
De plus, il faut éviter les associations de féculents et d’aliments acides (céréales et agrumes, céréales ou légumineuses vinaigrées ou citronnées, tomate et pâtes ou riz), car les acides neutralisent l’action des enzymes salivaires sur l’amidon des féculents avec pour conséquence une production de toxines dans l’intestin.
Redécouvrez les produits lactofermentés
Toutes les semi-conserves fermentées contiennent des bactéries du groupe lactique (Lactococcus, Enterococcus, Leuconostoc, Pediococcus, Streptococcus, Lactobacillus).
Intuitivement, nos ancêtres avaient compris que les produits lactofermentés se conservaient bien et que leur consommation favorisait leur santé. Depuis le début du siècle dernier, des microbiologistes ont mis progressivement en évidence que certaines bactéries qui se développent spontanément dans les produits lactofermentés ont des caractéristiques « probiotiques » c’est-à-dire bénéfiques à la santé.
La choucroute est consommée depuis l'époque des Romains et le chou fermenté reste un plat important dans la cuisine d'Europe centrale, de l'Alsace jusqu'à l'Ukraine. En Pologne, c'est le jus de betterave rouge fermenté qui forme la base du plat national, le Borsch (soupe de betterave rouge).
Dans les pays asiatiques aussi, le chou fermenté est important, comme le « Kimshi » de Corée, mais la plupart des légumes peuvent être consommés sous cette forme : carottes, aubergines, oignons, concombres...
Dans notre alimentation occidentale, les olives, les cornichons, les betteraves rouges, les navets, etc. peuvent être conservés par lactofermentation. A noter cependant que de plus en plus l'industrie agro-alimentaire conserve ces produits dans des saumures ou dans du vinaigre ou les stérilise après la fermentation, ce qui détruit les bactéries. La bière actuelle, bien que fermentée, est le plus souvent pasteurisée et contient très peu de bactéries et de levures.
Les laits fermentés, en revanche, sont tous riches en bonnes bactéries douées de caractères « probiotiques » de performances différentes selon l’espèce et le biotype bactérien utilisés.
C’est le cas du yoghourt (fermenté par Streptococcus thermophilus et Lactobacilus bulgaricus), du lait à l’acidophilus (fermenté par Lactobacillus acidophilus), du lait au bifidus (fermenté par Bifidobacterium bifidum, longum, breve ou lactis), du kéfir (fermenté par plusieurs espèces de Lactococcus, Leuconostoc, Lactobacillus, Sacharomyces, Kluyveromyces, etc.). Tous ces laits fermentés présentent un intérêt pour la santé, surtout lorsque la matière première est du lait de chèvre, de brebis ou de jument. En ce qui concerne les yaourts classiques, ils présentent moins d’intérêt car de plus en plus de personnes développent une intolérance au lait de vache, avec manifestations inflammatoires (rhinite, sinusite, arthrite, arthrose, etc.).
Adaptez votre façon de manger
Veillez à suffisamment mâcher et imprégner vos aliments de salive, notamment ceux riches en amidon (céréales, fruits et légumes). Une bonne mastication garantit que la première phase de la digestion ait lieu dans la bouche sous l’effet de l’amylase de la salive et évite une fermentation intestinale putride produisant des toxines.
Evitez d’abuser des aliments pouvant entraîner chez certaines personnes des réactions d’intolérance immunitaire : lait de vache et ses dérivés, céréales modernes riches en gluten et leurs dérivés.
Pas d'eau chlorée
La raison pour laquelle du chlore est ajouté dans l'eau du robinet avant d'être distribuée est précisément que cela permet de tuer les germes nuisibles qu'elle peut contenir.
C'est une excellente chose, et c'est depuis que ces mesures ont été prises que la dysenterie ou le choléra ont disparu dans nos pays industrialisés.
Cependant, il faut bien comprendre que le chlore a le même effet dans votre tube digestif : il a tendance à le désinfecter, tuant indifféremment mauvais et bon microorganismes. Evitez donc tout contact inutile avec des substances bactéricides (qui tuent les bactéries) ou fongicides (qui tuent les levures et champignons), y compris les produits pour désinfecter les mains et la peau, car elles tuent indifféremment les bonnes et les mauvaises souches microbiennes. Or, la peau et les organes sexuels sont aussi couverts d’une microflore qui s’oppose aux germes nuisibles ; il convient donc de la préserver.
Ces précautions étant prises, votre microflore de protection va d'elle-même se rééquilibrer, à condition que votre alimentation et votre mode de vie le permettent car ils sont les moyens les plus puissants de retrouver une bonne santé.
Pour faciliter le processus, vous pouvez toutefois aussi prendre certains compléments alimentaires. Le problème est qu'ils sont très difficiles à obtenir. La plupart des « probiotiques » vendus dans le commerce ne marchent pas, ne serait-ce que parce qu'ils sont vendus en comprimés, ce qui suppose de leur appliquer une forte pression qui fait monter la température... et tue les bactéries vivantes !
Je vous souhaite une bonne et belle vie,
Jean-Marc Dupuis
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Par ChristianeKolly le 15 Juillet 2013 à 06:15
Nous sommes de plus en plus nombreux à ne plus consommer de produits laitiers mais dans notre entourage, nous avons tous des personnes qui restent persuadées que le lait est indispensable pour les os.
Il n'est pas facile de convaincre, en dix minutes, une personne qui boit du lait de vache depuis 35 ans d'arrêter du jour au lendemain.
Mais nous allons tout de même essayer :
..1 Les recommandations officielles sont biaisées
Les recommandations officielles du gouvernement de consommer au moins 3 produits laitiers par jour sont établies par un comité d’expert de santé.
Ce comité est composé d’une trentaine de personnes, dont au moins 19 sont directement affiliées à l’industrie laitière (Danone, Nestlé, etc.). Il n’y a aucune transparence, les recommandations officielles sur les laitages n’ont donc aucun crédit
..2 L'homme est la seule espèce à consommer du lait d'une autre espèce à l'âge adulte
L’espèce humaine a survécu et évolué pendant 7 millions d’années sans aucun produit laitier, se nourrissant de lait maternel uniquement dans sa petite enfance. Sur les squelettes des hommes préhistoriques, on ne trouve trace d'aucune des maladies osseuses connues aujourd’hui.
Les produits laitiers sont apparus il n’y a que 10.000 ans dans notre histoire ce qui est, à l'échelle de l'évolution, très récent.
Le résultat de ces millions d’années d’évolution sans lait ? 75% de la population mondiale est intolérante aux produits laitiers à l’âge adulte. L’homme est la seule espèce sur Terre qui consomme le lait d’une autre espèce à l’âge adulte.
..3 Les pays qui consomment le plus de lait ont le plus de fractures
En 2002, l’Organisation Mondiale de la Santé reconnait elle-même un « paradoxe du calcium ». Les pays qui consomment le plus de produits laitiers au monde (les pays scandinaves) ont les os les plus lourds, sont les plus grands, et ont le plus de fractures du col du fémur.
A l’inverse, les populations d’Afrique et certaines d’Asie qui consomment le moins de produits laitiers affichent une santé osseuse parfaite, avec des taux de fracture les plus bas qui soient. Ce n’est pas une coïncidence.
NB : à ce stade, votre interlocuteur pourrait vous rétorquer que ces résultats s'expliquent par le manque de vitamine D dans les pays scandinaves, lié au manque d'ensoleillement.
Il est vrai que la vitamine D est essentielle dans la fixation du calcium par nos os. Les scandinaves ont certes moins de vitamine D que les autres populations de la planète des contrées plus ensoleillées.
..4 Aucune étude n'a démontré que le lait protège des fractures
Il n’existe aujourd’hui aucune preuve que la consommation de produits laitiers protège vos os au cours de votre vie des risques de fractures.
25 millions de nourrissons américains élevés strictement sans lait de vache (mais avec des substituts au soja) ont affiché une croissance NORMALE et aucun problème de malnutrition.
Cerise sur le gâteau, la consommation de produits laitiers et la fréquence des fractures du col du fémur ont été relevées chez plus de 150.000 femmes ménopausées. Celles qui ont consommé le plus de produits laitiers dans leur vie (surtout pendant l’enfance et l’adolescence) n’ont pas moins de fracture que les femmes qui en ont consommé le moins.
..5 Les produits laitiers modernes sont pires que tout
Les produits laitiers d’aujourd’hui sont très loin de ressembler (sauf la couleur !) à ceux que buvaient vos parents ou grand parents.
Aujourd’hui, le lait de vache contient une soupe d’hormones sexuelles (œstrogène et progestérone) qui favorise les cancers de l’utérus et celui du sein.
Le lait de vache, c’est une machine à stimuler la production d’IGF-1 pour faire grandir le veau, qui va peser plus de 300 kilos un an après sa naissance. L’IGF-1 est un facteur de croissance qui va booster la prolifération (ou la multiplication) de vos cellules. Vous allez grandir, sauf que… L’IGF-1 développe toutes les cellules de l’organisme, même les pré-cancéreuses et les cancéreuses. C’est ainsi que certaines études ont relié la consommation de laitage à la survenue du cancer de la prostate chez l’homme ou des ovaires chez la femme.
Finalement, tous les pesticides et engrais chimiques utilisés dans les fourrages des vaches se retrouvent dans le lait que vous buvez.
..6 Le lait peut causer le diabète de type 1
Le lait de vache contient de l’insuline bovine très similaire à celle de l’homme. Mais suffisamment pour que notre système immunitaire ne la reconnaisse pas et l’attaque avec des anti-corps. Ces mêmes anti-corps ne feront ensuite pas la différence entre l’insuline bovine et la nôtre.
Le résultat ? Une maladie auto-immune, nos anticorps détruisent les cellules bêta du pancréas, l’insuline n’existe plus. Vous êtes diabétique de type 1, la forme la plus grave du diabète.
..7 Le lait contribue à acidifier l'organisme, ce qui fragilise les os
Il est maintenant prouvé que notre surconsommation de protéines animales et de sel acidifient notre organisme qui compense en récupérant des « tampons » un peu partout dans notre corps.
Lequel est le plus utilisé ? Des citrates de calcium, celui de notre squelette ! Oui, trop de sel, trop de viande, dégrade votre squelette. Comble de l’ironie, les produits laitiers font dramatiquement chuter les concentrations de vitamine D, cette même molécule qui nous aide à fixer le calcium !
..8 Et pour conclure...
Le lait de vache n’est pas un poison mortel qui vous enverra sans détour au cimetière. Vous resterez probablement en bonne santé même si vous consommez beaucoup de laitages. Cependant, à l’échelle de la planète, cette surconsommation est dangereuse pour la santé.
Il faut simplement réduire sa consommation et (mon avis personnel) arrêter totalement le lait de vache industrialisé.
Et voilà : dix minutes. A votre santé !
Jean-Marc Dupuis et Jérémy Anso
NB : cet article est directement adapté de l'excellent article de Jérémy Anso, de son blog Dur à Avaler, que vous pouvez lire sur son blog ici.
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Par ChristianeKolly le 26 Juin 2013 à 07:31
Une thérapie d’avant-garde au service des enfants différents
«C’est une sotte présomption d’aller dédaignant et condamnant pour faux ce qui ne vous semble pas vraisemblable» Montaigne
Le cas des enfants à troubles autistiques
On constate une explosion de cas de troubles autistiques depuis une vingtaine d’années. La France compterait, selon les dernières estimations, quelque 400'000 autistes, soit une personne sur 150. L’autisme est un trouble de la petite enfance qui va du simple TED au syndrome d'Asperger, persistant à l’âge adulte, qui se manifeste par :
- l’incapacité à avoir des interactions sociales normales,
- l’altération de la communication,
- le caractère limité, répétitif et stéréotypé des comportements.
L’autiste vit replié sur lui-même, dans une sorte de monde intérieur.
Il faut cependant faire une différence entre troubles autistiques, autisme vrai et autisme régressif. Pour ce qui nous concerne nous parlerons ici de troubles autistiques et d’autisme régressif, qui peuvent être transitoires et donc réversibles.
Il existe aujourd’hui une polémique de grande ampleur sur les origines de l’autisme, génétiques, vaccinales, intoxinales (métaux lourds, pesticides, thiomersal), alimentaires (gluten), anomalies cérébrales, défauts du placenta, gestation stressée, X fragile, dépression de la mère, perturbation de l’aire de perception de la voix, manque de magnésium… mais il n’y a aucune réponse définitive à cette question. Pour la médecine officielle, il semble que certaines personnes naissent avec une prédisposition à l'autisme. Ensuite, il y a un événement déclencheur et ils deviennent autistes...
En avril 2011, deux députés français ont même déposé une proposition de loi pour faire de ce trouble du comportement la grande cause nationale de l'année 2011. De multiples techniques ont vu le jour pour aider ces enfants au mal-être handicapant.
Même si beaucoup de progrès ont été faits sur les traitements de l’autisme, aucune solution d’adaptation de leur comportement à notre société ne s’est révélée durablement efficace pour le moment. Certaines méthodes de soins alternatives se multiplient donc mais avec des résultats aléatoires, sans que l’on ait encore et toujours ce sentiment que la cause réelle n’ait été trouvée. De ce fait, les associations d’autistes françaises, largement subventionnés par des capitaux publics, au risque de se faire couper leurs subventions, n’écoutent, n’acceptent et ne tolèrent qu’un discours dit scientifique, «reconnu par la faculté».
Y aurait-il un intérêt «supérieur» à vouloir ignorer ce que la science ne peut maîtriser ?...
Alors, pourquoi ne pas se demander ce que ces enfants tentent de nous dire ? Ne seraient-ils pas le témoignage d’un changement de civilisation ? Un dernier rempart, une ultime résistance à un comportement social totalement binarisé, formaté à dessein par le matérialisme mondialiste ? Alors pourquoi laisser certains se l’approprier ? Imposer la vue du «tout scientifique» sur le comportement humain? La solution est-elle vraiment à trouver dans le domaine de la science universitaire dite «classique»?
L’origine de l’autisme n’aurait-elle tout simplement pas été cherchée
dans le « bon endroit du cerveau » ?Et si cet endroit n’était pas physique mais quantique ?
Existerait-il une dimension encore inconnue de la psyché et donc (encore) inexplorée par les sciences médicales et comportementales ?
La Théorie Vibratoire Quantique nous offre la possibilité de rentrer dans une mécanique subtile et inhérente au fonctionnement de l’individu. Elle permet d’expliquer pour les physiciens ce que la matière nous cache et pour les Bioticiens qui pratiquent manuellement un art subtil, c’est un système vibratoire d’énergie palpable qui apporte des explications et donne des résultats positifs, notamment sur les troubles autistiques de l’enfant.
Le Cerveau Vibratoire et son implication chez l'enfant à troubles autistiques
Pour décrire l'enfant à troubles autistiques vu par un thérapeute nommé ici Bioticien®, il est nécessaire d'introduire la notion entièrement nouvelle de Cerveau Vibratoire (CVQ). En effet, il existe, en miroir de notre encéphale «classique» représenté par le Cerveau Neuronal (CN), un mécanisme subtil de gestion de notre organisme que le Bioticien® a appelé CVQ.
Situé dans une autre dimension de l’espace-temps, mais tout de même «collée étroitement à la nôtre», ce Cerveau Vibratoire fonctionne à l’insu de la conscience de la personne, bien que, paradoxalement, il en soit l’outil de son existence et de son expression.
Par ailleurs, en l’état actuel des connaissances de la physique classique, ce CVQ est invisible pour les yeux et pour toutes les technologies, IRM, ... Aucune machine ne peut y accéder; seules les «mains magiques» du Bioticien ont eu ce privilège d’accès dans ce lieu hautement protégé et secret. Car cet espace quantique contient toute la gestion du vivant et de l’évolution.
« L’essentiel n’est il pas invisible pour les yeux ? » dit le renard au Petit Prince de Saint-Exupéry.
C’est dans une de ses multiples couches que se loge la structure de l’inconscient « Bio-psychanalytique » 4 mis en évidence par Emmanuel Guizzo dans les années 1980 (5).
Cerveau Vibratoire Quantique
Cette découverte du CVQ n'a cessé de confirmer la réalité de ce mécanisme invisible, par les résultats obtenus depuis, notamment sur les enfants ultra-sensibles, appelés parfois enfants « différents », parfois enfants « dys », « Asperger », voire «enfants lumière » ou « indigo », c'est-à-dire tous à troubles autistiques.
Une loi supérieure qui gouverne la matière et l'esprit
Ce concept de CVQ qui relève de la vision initiale de l’Homme Vibratoire Biotique peut être comparé à l’homme supra-mental décrit par Sri Aurobindo qui parlait déjà « d'une même loi supérieure qui gouverne la matière et l'esprit », sans toutefois détenir les moyens d’en analyser les composantes à l’époque. Cette philosophie est celle de l’Asram de Pondichéry, exprimée notamment par Jeanine La Jeunesse, dans sa création du Yoga-Danse® , de la Danse Biotique®, et de l’Ostéophonie®, et qui avait été elle-même formée par Ajit Sarkar, professeur de Hatha-Yoga et maître de recherche à l’INSEP en France et élevé à l’Ashram auprès de Sri Aurobindo.
Jeanine La Jeunesse :
www.youtube.com/watch?v=Te9I5rFzwfQ
Ajit Sarkar et sa compagne Selvi Sarkar :
http://www.vellai-thamarai.com/
P.S. de Nézariel (12/05/2013) : Ce que J’ai émis à une certaine époque était surtout pour faire comprendre que les Êtres étaient en vérité interconnectés, mais que cette interconnexion pouvait avoir un différentiel dû à une affection neurale au point qu’un Enfant, même au niveau fœtal, peut être affecté en recevant un électro-stimuli ne Lui permettant plus d’être en pleine phase avec la réalité subliminale intello-neurale de l’Humain telle qu’Il a été conçu dans sa perception à sa condition humaine, et surtout à sa condition collective telle que perçue par ses sens selon ce qui Lui est dicté pour correspondre à ce que ce monde attend de Lui, parce qu’en réalité ce que Vous appelez « Autiste » est un Être qui a subi un écart dans sa faculté à percevoir selon les sens humains, mais Il garde une connexion à une réalité inter-dimensionnelle sans ne plus avoir la possibilité d’être pleinement en condition pour cette réalité terrestre telle qu’Il doit la percevoir pour correspondre à l’étique humaine, mais cela peut être rétabli comme indiqué dans ce « développé », à la différence que cela sera toujours une réadaptation, mais jamais une reconfiguration totale et complète, parce que ce que cet Être a subi restera comme une incidence qu’Il pourra lors de sa réincarnation rééquilibrer par le simple fait d’être conscient de ce qui L’a amené à vivre cet trans-digression. Ce que Je veux dire, c’est que l’Autiste pourra retrouver une condition réadaptée à ce monde, mais Il Lui sera plus difficile d’en ressentir la source parce qu’Il n’aura pas la même perception que Vous à un certain niveau de conscience. Et il en est ainsi.
Une technique singulière et très déconcertante pour l’esprit scientifique...
Aller dans la matrice multidimensionnelle quantique, dans le coeur même de la machine cérébrale, de la psyché, dans le coeur du mystère du vivant, de l’inconscient, pénétrer dans le coeur de la machine humaine, passer de l’autre côté du miroir comme le montre cette illustration, c’est la puissance des mains étalonnées du Bioticien qui agissent comme des détecteurs des clés du fonctionnement de la « Divine matrice » pour déjouer les pièges de la densité mentale, du conscient, des neurones sans cesse en action dans la matière cérébrale.
Voyage au centre de l’inconscient quantique
«Si l’on sait plonger, grâces aux «mains magiques», (des mains exercées par des milliers d’heures de travail comme probablement les dessins du néolithique nous le suggèrent) au fond de la matière cérébrale, si l’on sait par cet outil, traverser la barrière osseuse du cortex, des neurones, du mental, du conscient, de l’inconscient même, si l’on sait déjouer les pièges de la densité mentale, des barrières de toutes sortes, on atteint un niveau d’organisation extraordinaire qui laisse apparaître la structure bio-quantique du cerveau. C’est à dire les clés de fonctionnement. Le coeur de la machine humaine.
On est passé de l’autre côté du miroir dans cet espace quantique, où le temps n’est plus le même...
On est dans le coeur même de la machine cérébrale, dans le coeur du mystère du vivant, de l’inconscient. On est dans la matrice multidimentionnelle quantique. On capte à la fois les mouvements des pensées, les mémoires de stress, la structure biologique du temps, l’agitation des molécules d’eau, leur structure changeante, plastique, la pulsation des neurones, leur gonflement, leur contraction (suivie souvent de déshydratation)... les Mouvements des différents lobes.. on voyage dans le passé, le présent, le futur... tout un ensemble de phénomènes ultra-sensibles qui régissent le fonctionnement quantique du cerveau.
« La nature nous offre tant de mystères, tant de phénomènes inexpliqués, que le rejet en bloc des faits inexplicables pour notre science actuelle, paraît maintenant la marque d'un très petit esprit. Nous avons mieux à faire : il nous faut sans cesse accumuler les données, contrôler les faits, et l'explication viendra peut-être dans la suite. »
Abbé Théophile Moreux
Petit rappel du Système Biotique :
Le système Biotique est l’interface entre le fonctionnement quantique du cerveau et le cerveau neuronal. Ce système nous montre que nous avons deux consciences : une conscience quantique et une conscience neuro-musculaire. Les deux sont imbriquées et interagissent normalement en permanence.
Comme en physique quantique, l’onde accompagne l’électron -analogiquement- toute l’activité quantique du cerveau est gérée par un principe global de grands Mouvements unificateurs, le principal étant celui de la méduse, puis de l‘aile d’oiseau....
Ce Mouvement Méduse façonne et guide le fonctionnement de communication QUANTIQUE puis neuronal de l’individu. Ce Mouvement porte à la conscience toute l’alchimie interne quantique, toute l’information qu’il reçoit notamment des stimuli sensoriels. Le Cerveau Neuronal prend ensuite la relève par la gestion chimique du cerveau pour induire le comportement visible dit «social». Donc notre comportement dit «social», émotionnel…est géré fondamentalement par le CVQ. C’est cette structure quantique qui est blessée, souvent détruite chez l’enfant autiste. A ce moment, le système neuronal qui a perdu son guide, son modèle, se spasme, se fixe, se bloque créant ce fameux mur invisible dans lequel l’autiste est enfermé.
Continuons l’exploration bio-quantique du cerveau pour expliquer l’autisme:
Le moment où la structure quantique apparaît en surface, passe de l’invisible brownien en visible structuré (en géométrie dite euclidienne), est nommé cohérence de phase. Si un obstacle, un grain de sable se met dans cette remontée quantique il y a décohérence de phase.
Par exemple, un stress majeur, un abandon, une vaccination crée cet obstacle. C’est comme une barrière souvent infranchissable. En général tous les autistes sont en décohérence de phase. C’est à dire qu’ils ont perdu la capacité de gestion et du passage du CVQ au CN à cause de ce grain de sable qui a bloqué la délicate machinerie corticale. Peut être simplement le CN est bloqué par un stress, un vaccin, sensation d’un abandon in utero... étouffant ainsi le fonctionnement du CVQ.
Les enfants ultra-sensibles, comme les « Asperger », développent des troubles de comportement à cause de ce déphasage, cette décohérence de phase, entre le CN et le CVQ et de l’altération du CVQ. Faute de bonne gestion quantique du cerveau vibratoire, la chimie est perturbée. Le neurotransmetteur n’est pas conduit par le bon chemin, vers la bonne cible par exemple, l’acide aminé est mal géré et le système dopaminergique sera perturbé avec des réactions de violence...les lobes cérébraux seront perturbés, anormalement excités, ou déprimés si ils ne reçoivent plus ou mal cette énergie quantique. Si ils sont bloqués en onde stationnaire, en boucle, ce sera le mouvement répétitif caractéristique des autistes par exemple.
Par exemple le «flapping», ce réflexe si particulier qu’ont les autistes à imiter le battement des ailes d’oiseau en agitant les mains, vient d’une décompensation par les mains du blocage du mouvement en ailes d’oiseau du CVQ.
Il faut insister sur le fait que le Cerveau Vibratoire communique avant tout par un sixième outil qui est celui de l’onde quantique (celle analogiquement couplée aux électrons comparables aux neurones corticaux).
Des stimuli trop forts
L’autisme provient souvent d’un blocage cortical provoqué en réponse aux stimuli de l’environnement qui sont trop forts par rapport à la capacité d’absorption de la « machine corticale quantique» ultra-sensible, et surtout mal gérée. Pour ces enfants ce peut être un simple stress vaccinal, (surtout pour les O+) un stress de gestation, la péridurale, trop d’échographies... LA VOIX DÉPLACÉE DE LA MÈRE OU DU PÈRE...qui bloque profondément l’expression de l’onde corticale du CVQ qui «s’exprime», je l’ai dit, par une dynamique particulière de Mouvements Biotiques. (On assiste alors à un spasme de ce cerveau sur fond de déshydratation).
Car il est évident que si ces stimuli sont trop puissants, s’ils ne rencontrent pas de possibilité de connexion quantique, de mise en phase automatique avec ce cerveau multidimensionnel, ils sidèrent le cerveau neuronal. C’est ce genre d’écoute, de communication que la technique permet de rétablir. Cela apaise l’enfant, son carcan se fissure, et il peut souvent s’ouvrir à l’autre rapidement. Le cerveau lui-même se sent compris en quelque sorte. Il peut alors appréhender la vie «normale».
Parfois seul le contact avec des animaux comme les chevaux qui ont cette faculté psychique à dialoguer entre deux mondes leur permet de quitter momentanément leur isolement, fait démarrer momentanément le CVQ.
Expression du quantum de vie
Le CVQ «s’exprime » par une dynamique particulière de Mouvements Biotiques issus de la dynamique vibratoire quantique de la nature. Le Mouvement Méduse-Oiseau du cerveau quantique est le secret fondamental qu’a prévu la nature quantique pour communiquer (émettre et recevoir) l’Information. Cette voie de communication privilégiée à laquelle aspire l’enfant ultra-sensible s’altère puis se spasme à force d’être étouffée. Le CVQ perd sa force, s’étiole, Il ne peut plus repartir seul. C’est simple, si ce principe fondamental de communication est bloqué, l’enfant ne communiquera plus.
Ignoré, maltraité, méprisé par notre mode de vie moderne, le CVQ ne se développe pas ou plus, régresse même, tout simplement parce qu’il a perdu sa place. Il a perdu la capacité de se nourrir harmonieusement des forces quantiques qui le connectent à ces dimensions multiples, cosmiques, universelles. Ces espaces de vide dans lesquels sont logées -entre autres-, les informations de gestion du vivant. Il se sent seul, panique et se ferme.
L’enfant à troubles autistiques a un souvent un « gros » CVQ ultra-sensible mais qui reste «bloqué».
Le gros cerveau est comme un gros disque dur mais sans le logiciel adéquat. Ce logiciel étant celui de la gestion du CVQ de l’Homme du futur, son bon état est encore plus indispensable pour ces ultra-sensibles. (sinon, c’est comme tenter de faire fonctionner un Mac OS avec un logiciel des années 60).
C’est un peu comme si l’écran d’un ordinateur (CN) était connecté au disque dur surpuissant (gros cerveau) avec un logiciel non mis à jour (CVQ dysfonctionnel) de ce fait inadapté et obsolète et ne pouvant ramener en surface que des informations brouillées donc illisibles et par conséquent perturbatrices.
Remarque:
Le gros cerveau quantique peut avoir deux sortes de structures : futuriste (normale) ou sphérique (anormale). La sphérique est plus préoccupante car elle va nécessiter une «resculpturation» totale en forme futuriste pour se stabiliser et stabiliser le comportement avant l’amélioration significative espérée.
A propos du «gros cerveau»
Un article sur www.terrafemina.com relatant les dernière recherches américaines contribue à nous donner raison :
Autisme : les enfants atteints produisent trop de neurones
Les enfants atteints d'autisme ont plus de neurones et un cerveau plus gros que ceux qui ne présentent pas ce syndrome. C'est ce que révèle une étude, publiée aujourd'hui dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).
Selon une étude publiée aujourd’hui dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), réalisée en grande partie par le Dr Eric Courchesne, professeur de neurologie à l’université de San Diego en Californie, les enfants autistes auraient plus de neurones et un cerveau plus gros.
En effet, d’après l’analyse post mortem de treize jeunes garçons, âgés de 2 à 16 ans, sept d’entre eux, tous autistes ont en moyenne 67% plus de neurones dans le cortex préfrontal que les autres. Cette zone du cerveau traite différentes fonctions cognitives supérieures tels que le langage, la communication et le raisonnement, qui sont justement des compétences intellectuelles fortement affectées par l’autisme.
De plus, le développement excessif de ces neurones, résultant d’un dysfonctionnement prénatal, provoquerait une surdimension du cerveau et de la tête. En effet, l’étude révèle que le poids du cerveau des autistes est 17,6% plus important que celui des enfants normaux au même âge. L’excès de neurones, et donc le grossissement du cerveau, pourrait être la cause sous-jacente du syndrome.
La fascination pour l'esprit performant d'Albert Einstein ne cessa pas après sa mort en 1955. Quand le physicien mourut à l'âge de 76 ans, Thomas Harvey, un médecin légiste de l'université de Princeton fit une autopsie et, sans permission, enleva le cerveau d'Einstein pour l'étudier plus tard, espérant résoudre le mystère de son génie. L'organe fut disséqué en plus de 200 morceaux, dont plusieurs furent examinés par de nombreux neurologues au fil des années, aboutissant à des études sur l'abondance de cellules gliales du grand penseur et à des lobes pariétaux plus larges que la normale. En 2011, 46 lames du cerveau d'Einstein furent exposées au Mütter Muséum de Philadelphie.
Remarque: Selon la protéïonique, (www.protéionique.com) l’abondance de cellules gliales augmente la possibilité de décodage des protéines du sang. Ce système de décodage est «buggé» chez les autistes qui sont donc souvent, comme les « Asperger », submergé par les informations qui arrivent en conscience.
Une courte vidéo pour expliquer ce phénomène par le Dr. VIAL :
http://www.youtube.com/watch?v=G99iLJOapoE
Le gros cerveau futuriste dans le mode d’expression
Sans le logiciel futuriste de fonctionnement adapté à ce genre de cerveaux très particuliers, parler, s’exprimer demande alors une énergie trop importante pour qu’elle permette l’expression. C’est soit l’autisme muet, soit des perturbations dans la communication qui vont de la simple dyslexie à l’incohérence de langage ou une sorte de proto-langage non articulé.
Les réactions au niveau du langage suite à un blocage du CVQ sont souvent surprenantes, incohérentes. C’est comme si ces enfants passaient de la profondeur de l’expression à la surface sans pouvoir accéder à cette articulation du langage qui fait la spécificité de l’homme normal. Ils reçoivent par à-coups, des informations quantiques qu’ils ne peuvent faire passer par le langage articulé.
La télépathie serait-elle le langage privilégié à leur situation vibratoire ?
D’autres enfants posent inlassablement, en boucle, des questions répétitives aux parents. Si la réponse de l’adulte n’a pas donné l’information quantique spécifique en accord avec la vibration quantique du cerveau de l’enfant, il continuera à poser la même question parce que son CVQ n’a pas eu la satisfaction de l’onde quantique associée à la réponse neuronale.
Lorsque le Bioticien rétablit cette rencontre entre CVQ et CN chez l’enfant au niveau de la question, celle-ci est résolue.
Quelque soit la manifestation du problème de communication, le problème vient de cette relation entre le CVQ et le CN.
Conséquence du blocage du CVQ chez les enfants à Haut Potentiel : l’estime de soi
Mon papa est informaticien et moi je suis autiste
Le CVQ des ultra-sensibles est très réfractaire à la «binarisation» des cerveaux et de la société. Le formatage social et scolaire tel que nous le vivons ne l’intéresse pas. Pour lui, nous représentons le monde des neurotypiques qu’il regarde avec effroi.
J’ai remarqué qu’il y avait souvent des enfants autistes dans une famille où le père était informaticien, ingénieur... Pourquoi. Par la pratique quotidienne de l’informatique, le cerveau quantique du parent se structure en bits d’informations. En 0 et 1. Ce qui est le mode de fonctionnement du neuronal. Il n’y a plus de différence entre le CVQ et le CN. Le CVQ s’habitue à fonctionner en binaire et perd sa capacité quantique (la capacité à gérer deux états de particules «à la fois» et non «alternativement» comme en informatique) à faire le lien entre les deux cerveaux ; il perd son intuition, il perd l’amour. Il se coupe de sa structure quantique qui est volumétrique et donc de celle du CVQ avec lequel son CN ne peut plus communiquer.
Le fonctionnement vibratoire quantique du cerveau est la résultante de vibration simultanée entre 0 et 1. Par exemple, la solution d’un problème est donnée par cette intrication entre deux neurones. Normalement, l’influx nerveux du neuro-typique doit parcourir les chemins synaptiques complexes, explorer les pistes pré-établies par l’enseignement (réfléchir), comme dans un labyrinthe, pour aboutir à la solution espérée. Dans le fonctionnement quantique le neurone sort de son espace temps, rejoint l’espace vibratoire quantique du cortex -un peu comme une sortie de corps physique- et peut ainsi se mettre en cohérence de phase avec la solution déjà inscrite dans ce champ. C’est ce qui caractérise le comportement des autistes, style «Rain Man».
Le CVQ en bon état permet de rentrer dans cette étonnante dimension futuriste. Le CVQ de l’ultra-sensible sait parfaitement jongler avec ces nombreuses interconnexions multidimentionnelles de l’espace temps que cela engendre. Si la communication quantique se coupe par un fonctionnement binaire imposé par l’éducation, la famille…l’enfant ne se sentant pas «compris», isolé, se coupe de ses parents, du monde environnant.
Comment rétablir la communication entre les deux cerveaux
Après avoir testé brièvement le CVQ de l’enfant, le Bioticien procède à sa réparation. Ses mains transfèrent une énergie quantique structurée qui correspond exactement au besoin du CVQ de l’enfant. Ce transfert est de la plus haute précision. Imaginez un cerveau ultra sensible, qui a besoin d’une qualité d’énergie particulière qui lui a manqué, auquel on brancherait une tension supérieure à celle nécessaire à son fonctionnement. Le moteur serait immédiatement «grillé»...
Tout est une question de dosage
Pour le Bioticien, toute la difficulté pour réparer un Cerveau Vibratoire Quantique qui a «buggé» vient de la puissance et du dosage de l’énergie quantique -du quanta d’énergie- diffusée par ses mains (et jamais par une machine !) qu’il devra communiquer au CVQ de l’enfant pour le faire redémarrer. Trop d’énergie peut griller le cerveau, (c’est par exemple une des raisons de l’échec du magnétiseur); pas assez d’énergie et on ne réussit pas à obtenir la réaction quantique espérée. Pire, l’effondrement de couches quantiques que cela risque d’engendrer peut s‘avérer catastrophique. Je déconseille vivement à tout apprenti sorcier de s’aventurer dans cette voie ardue sans une formation initiatique sérieuse.
P.S. de Yosuel (12/05/2013) : Lorsqu’un Être est en conscience d’être et qu’Il communique avec Nous, le dosage de Lumière sera approprié, mais cela ne concerne QUE les Êtres étant en communication avec Nous, et non Ceux avec des « Entités » qui se disent être ce que Nous Sommes, là est de danger !
On remarque que la manifestation du dérèglement comportemental conduisant à l’autisme se manifeste souvent autour de l’âge de 3 ans. Cet âge correspondant au départ de la myélinisation du lobe frontal et au début de la maturation psychique. Le cortex pré-frontal plus précisément est le lobe de l’attention, de l’action, du choix de l’action et des projets. C'est-à-dire tout ce qui fait sortir l’individu du « tout sensoriel » induit par les autres lobes, selon les dernières découvertes en neurobiologie. A partir de 3 ans, le mouvement du CVQ va en fait demander une nouvelle source d’énergie Biotique pour pouvoir accompagner la maturation du cerveau neuro-frontal, le CVQ étant un véritable guide pour le CN. Pour comprendre, on peut comparer le CVQ à un œuf qui a l’énergie pour devenir un poussin mais pas pour « briser sa coquille »…
Quant au langage, s’il n’est pas acquis avant 3 ans, le cerveau de l’enfant aura d’énormes difficultés à re-solliciter cet effort pour briser la coquille qui s’est refermée. C’est alors le mutisme. L’autisme muet. Si l’enfant a perdu ce potentiel quantique de gestion du langage, les difficultés sont beaucoup plus grandes. En tout cas, ce spasme du CVQ est trop puissant pour être libéré par l’individu seul ou une thérapie neurotypique.
Il est donc très important de tester et (Ré)activer le CVQ d’un enfant avant trois ans, période sensible comme celle des 7 ans. Car après 7 ans, la réactivation du CVQ demande une énergie considérable et un travail de suivi beaucoup plus important.
Les trois étapes essentielles de maturation sont 3 ans 7 ans et 12 ans âge de la puberté
Comme on l’observe bien sur la photo le désordre dentaire apparent est révélateur du désordre de la dynamique faciale, une force de construction du crâne et du cerveau qui influe sur la structure quantique du Cerveau. C’est un reste d’animalité, d’involution. Ce peut être un signe d’alerte chez le jeune enfant qui n’a pas encore été diagnostiqué autiste.
Les résultats
En général, après la (ré)activation précoce du CVQ, (avant 3 et 7 ans) les résultats sur l’enfant à troubles autistiques sont manifestes -quelque soit le suivi de stimulation « classique » (Orthophonie) ou «alternatif» (ABA, Teacch, 3i...) de l’enfant qui doit continuer. Mais il faut toujours avoir à l’esprit que ces méthodes de stimulation sensorielles, aussi efficaces soient-elles, ne sont que des méthodes de «dressage» du Cerveau Neuronal, en quelque sorte de l’éthologie pour humains. Car dans la majorité des cas, des cerveaux vibratoires que j’ai pu tester après, aucun des CVQ n’avait été réactivé, laissant l’enfant en décohérence de phase avec son Soi cosmique.
Après 7 ans, le travail de reconstruction de ce cerveau particulier est possible mais beaucoup plus difficile et beaucoup plus long, surtout si il y a absence de langage.
Conclusion :
«une origine du dysfonctionnement comportemental encore inexplorée et porteuse d’espoir»
La mise en évidence du Cerveau Vibratoire Quantique offre aux parents une autre possibilité de comprendre la différence de leur enfant.
Agir sur le CVQ c’est remettre l’enfant sur les rails de la communication familiale et sociétale.
Le diagnostic précoce du CVQ peut s’effectuer dès la naissance ou même pendant la gestation.
Une fois le CVQ mis en route, la communication se rétablit, mais sur des bases de fonctionnement nouvelles que les parents sont invités à comprendre et expérimenter pour «se mettre sur la même longueur d’onde» que leur enfant différent, mais non moins génial et fascinant.
Ces enfants à troubles autistiques ne sont-ils pas les annonciateurs balbutiants d’une mise en place de l’homme du futur dans le dernier cycle de l’évolution de l’Homme prévu par certains paléontologues comme Anne Dambricourt ?
Dotés d’un cerveau plus subtil, au fonctionnement branché essentiellement sur d’autres dimensions, ces enfants sont encore des êtres mystérieux pour la société matérialiste actuelle qui ne peut encore agir qu’avec ses anciens paradigmes.
À souhaiter que nos résultats sur ces enfants donnent vie à la Théorie Vibratoire Quantique et ouvrent de nouvelles perspectives pour ceux ci.
Image typique d’un autiste dont le Cerveau Vibratoire n’a pas encore été activé.
Image typique d’un autiste en crise par blocage pré-frontal d ‘un Cerveau Vibratoire sphérique.
A lire: Essai sur la mécanique cosmique de l’inconscient : «une découverte fondamentale en sciences humaines» Ed Celena
Le témoignage de Caroline M, maman d'un enfant "différent" qui explique comment la réparation du Cerveau Vibratoire Quantique de son fils lui a permis de se sortir d'affaire...
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Par ChristianeKolly le 11 Juin 2013 à 06:48
Je vous propose une vidéo sans longs commentaires (la vidéo parlant d’elle même), sur la santé.
Selon le docteur Moulinier, on ne peut plus soigner les gens de manières plus naturelle à cause des laboratoires pharmaceutiques et de l’industrie médicale.
Les premières victimes de ce système ce sont nous, bien évidemment : maladies , réactions négatives à des médicaments etc…
Mais regardez plutôt et comme toujours faites vous votre propre opinion.
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