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  • "J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables... j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et d'oublier des personnes inoubliables...j'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi... j'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger... j'ai ri quand il ne fallait pas... je me suis fait des amis éternels... j'ai aimé et l'ai été en retour... mais j'ai aussi été repoussé... j'ai été aimé et je n'ai pas su aimer... j'ai crié et sauté de tant de joie, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le cœur tant de fois... j'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos... j'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire... j'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et... j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)... mais j'ai survécu.... et je vis encore! et la vie, je ne m'en passe pas...

    Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer... Vis! Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant... parce que le monde appartient à celui qui ose.

    Et La Vie c'est beaucoup trop pour être insignifiant."

    Charlie Chaplin


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  • souffrance

     

    Que recherche le bouddhisme, renoncer aux causes de la souffrance.

    Si c'était inéluctable, ce serait inutile de vous en soucier, comme dit le Dalai Lama : "Ne vous préoccupez pas du bouddhisme ou de n'importe quelle autre voie spirituelle, prenez une bonne bière et allez à la plage et ne pensez pas à la souffrance."

    Par contre s'il y a un remède, ce serait de l'aveuglement et de la paresse de ne rien faire.

    Il y a une chose si simple dans ce chemin, il suffit de comprendre que l'égoïsme est une cause fondamentale de souffrance et que l'altruisme est une des meilleures façons d'accomplir à la fois le bien d'autrui et le sien.

    Matthieu Ricard


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  •  

    Bonjour,
    Je suis Christiane Kolly, écrivain, animatrice d'ateliers, conférencière et thérapeute, et j'ai le plaisir de vous faire partager mes réflexions sur ces enfants que l'on a parfois de la difficulté à comprendre et à aimer tels qu'ils sont...
    (A la fin de ce texte, proposition de solutions)
       
    Les enfants indigos
    1. Un indigo à son professeur
    Les enfants indigoBonjour et merci de lire ma lettre
    Je suis ce garçon qui d'habitude ne tient pas en place derrière son pupitre, celui auquel vous dites toujours de se taire. Celui qui, parfois, quand vous expliquez quelque chose, a compris avant que vous n'ayez terminé et qui s'ennuie quand vous répétez, Parfois, je peux être très mal élevé ou agité pour attirer l'attention. Moi, j'aimerais bien parler de choses que vous pensez ne pas être de mon âge. Selon vous, je suis toujours en train de rompre les normes pour en créer de nouvelles. Vous dites toujours à mes parents que je ne peux pas apprendre quoi que ce soit, et pourtant quand ça m'intéresse, j'apprends tout facilement; je laisse tomber quand j'en sais assez, car alors je m'ennuie. L'autorité n'a pas de prise sur moi, par contre la compréhension et les explications oui. J'apprends en imitant, votre exemple est important. Je suis ce "génie" en puissance qui, s'il se concentrait, serait bien le meilleur...
    Mes parents m'ont amené chez le médecin qui a dit que j'ai le Thada, déficit d'atten-tion avec hyperactivité, ça veut dire que je ne sais pas rester tranquille ni concentrer mon attention pendant longtemps parce que je suis facilement distrait. Le docteur a dit que je dois prendre de la Ritaline mais maman n'a pas voulu parce que les amphétami-nes créent des drogués. Alors, elle a cherché et maintenant je fais des activités qui m'aident à focaliser mon énergie : sport, arts martiaux, taï-chi, yoga. Et puis elle ne me donne plus d'aliments avec du sucre ou du glucose et moi je me sens plus détendu.
    J'aime pas qu'on me traite comme un enfant. Peut-être, il y a des choses que je connais moins que vous, mais ça ne veut pas dire que je ne sais pas, je suis en apprentissage. Donnez-moi plus de temps pour assimiler les choses parce que j'apprends différemment des autres. Pourquoi enseignez-vous toujours de la même façon ? Et si c'était sous une forme plus pratique ? Toujours je demande "Pourquoi?" Ce n'est pas pour vous mettre à l'épreuve, c'est juste de la curiosité. Si vous n'avez pas la réponse, dites-le moi. N'es-sayez pas de donner le change avec une réponse évasive mais guidez-moi jusqu'à la solution. J'aimerais bien aussi être inclus dans les décisions qui m'affectent, je ne suis pas seulement un élève de plus.
    J'aimerais que vous reconnaissiez ma différence mais pas que vous m'étiquetiez comme différent. Je ne suis ni plus ni moins que vous.
    Si vous m'expliquez à quoi sert ce que l'on apprend en classe et que pour obtenir des choses, il faut de la discipline, alors je réagirais autrement. Quand je n'arrive plus à me concentrer, proposez une activité pour me détendre : un jeu, de la musique ou de la danse... Mais ne me réprimandez pas.
    Je sais que parfois en classe, vous vous désespérez parce que personne ne vous écoute. Mais vous êtes-vous demandé ce qui nous intéresse ?
    avec Amour
    José Manuel Piedrafita Moreno
    Lignes écrites par José Manuel Piedrafita Moreno, éducateur et indigo adulte. Vous pouvez les utiliser librement et les diffuser, à la seule condition de les citer dans leur intégralité, et sans aucun changement.
    Je vous signale que vous allez peut-être entendre des informations qui vont vous étonner, vous surprendre, voire vous faire remuer la tête de gauche à droite en vous disant "c'est quoi cette histoire?". Je vous suggère simplement de prendre connaissance, puis de laisser ce qui ne fait pas votre affaire.
       
    2. L'enfant dit INDIGO
    Dans le courant des années 60, un nouveau type d'enfant, dont nous allons parler aujourd'hui, a vu le jour, c'était alors l'exception. Au début des années 70, le nombre de ces enfants s'est intensifié et aujourd'hui, les êtres qui viennent au monde sont en majorité indigos.
    L'enfant indigo est désigné ainsi parce que son aura (sorte de halo enveloppant le corps, visible aux initiés) est de cette teinte d'un bleu profond. Il est significatif de noter d'entrée, qu'indigo est la couleur reliée au 6e chakra, celui du troisième œil, de l'intelligence basique, de l'intuition.
    On pourra toujours discuter du bien-fondé de ce courant de pensée. Certains pourraient affirmer qu'il y a toujours eu des enfants difficiles, étonnants, différents, violents, surdoués etc. Personnellement je crois, qu'il se passe réellement quelque chose.
    Après avoir entendu ce qui suit, vous aurez peut-être un regard tout différent sur vos enfants et certaines évidences vous frapperont.
    Je crois au timing universel, à la synchronicité et si vous êtes en train de m'écouter, c'est pour une bonne raison, peut-être celle de saisir pourquoi le regard de ce petit bout de 4 ans vous transperce avec ce je ne sais quoi de surnaturel !
    La vie de l'enfant indigo n'est pas facile, nous verrons pourquoi plus loin. S'il est mal entouré ou mal compris, il peut mal tourner. Les hyperactifs, les enfants souffrant d'un déficit de l'attention, les enfants difficiles ou rebelles sont souvent des enfants indigos.
    Nous devons revoir notre mode d'éducation, tout comme celui des instances d'éducation pour nous adapter à l'enfant indigo. C'est en ce sens que va l'évolution. Le contraindre à se plier à ce qui s'est fait jusqu'à maintenant n'est à mes yeux qu'un conservatisme dangereux.
    Il est vrai que cette nouvelle façon d'agir nous demande un surplus d'énergie dont parfois nous manquons, mais le jeu n'en vaut-il pas la chandelle ? Pour nos enfants, notre avenir, il y a des gestes, des comportements que nous pouvons apprendre et qui peuvent faciliter leur vie.
    Ainsi, nous pourrons les aider à ouvrir une nouvelle voie pour notre futur et nous montrer le chemin que nous avons oublié, le chemin de l'authenticité, de la vérité, de la beauté, de l'intelligence et de l'amour.
       
    3. Le syndrome de l'enfant "téflon"
    Mais qu'est-ce qu'un enfant Indigo ? Avant d'être "indigo", il a été "téflon".
    En effet, c'est vers la fin des années 80 qu'un concept a été développé par le psychologue québécois Daniel Kemp, celui de l'enfant téflon. Pourquoi téflon, pour désigner l'enfant sur qui rien ne colle : ni les punitions, ni la culpabilité, ni les compliments, ni les promesses, ni la manipulation, ni la politesse, ni les récompenses.
    Le syndrome de l'enfant Téflon désigne l'ensemble des caractéristiques psychologiques, comportementales et sociales de cet enfant. Bien souvent, ces caractéristiques en font un enfant quasi inadaptable aux cadres scolaire et social anciens malgré une intelligence nettement supérieure à la moyenne. Celle-ci semble justement faire obstacle à son intégration plutôt que de la faciliter.
    Selon Daniel Kemp, l'enfant téflon parait sans cœur, solitaire, incassable, hyperactif, disant toujours NON, agressif et même violent, hautement égoïste. C'est un habile manipulateur. On le perçoit comme impoli et non affectueux, et surtout, sans que rien ne l'ait laissé présager, l'en-fant Téflon peut se suicider. Il n'est pas "suicidaire", il se suicide. On parlera alors d'un suicide "logique" par opposition à un suicide "émotif", le suicide lui apparaissant alors comme étant la solution la plus logique à ses problèmes compte tenu de la situation dans laquelle il vit.
       
    Enfant téflon / enfant traditionnel
    La différence fondamentale entre l'enfant Téflon et les autres enfants est que le premier n'est pas adaptable au cadre ancien. A ce titre, on l'appelle aussi l'enfant "nouveau" par opposition à l'enfant "ancien" qui, lui peut s'adapter au cadre ancien.
    Les principales différences résident dans le fait que l'enfant nouveau vit sa phase d'identification plus jeune (entre 3 et 6 ans) que l'enfant ancien (entre 9 et 15 ans). Il est plus logique que l'enfant ancien et il ne peut accepter les traditions et la majorité des systèmes établis.
    L'enfant nouveau est individuel dans sa conscience et ne s'ennuie pas seul. Il n'a pas besoin de se sentir normal et accepté, contrairement à l'enfant ancien. Il est "hyper expressif" et il manipule son entourage avec une force dont ne dispose pas l'enfant ancien.
    Voici un tableau des différences principales :
       
    Enfant Téflon Enfant traditionnel
    Intelligence Intellectuence
    Naturel Normal
    Non culpabilité Culpabilité
    Force psychologique Manipulable
    Simplicité Manque de simplicité
    Transparence Manque de transparence
    Etre Avoir et faire
    Changements Stabilité
       
    Enfant téflon et parents tupperware ou velcro
    La métaphore de l'enfant "téflon" par opposition aux parents tupperware (qui conserve) ou velcro (sur qui tout accroche), la métaphore faisait porter à l'enfant l'origine du cancer relationnel qui se développe entre générations. Or, l'enfant ne peut que nous exprimer sa souffrance et nous refléter nos aveuglements.
    Il se trouve que pour devenir des parents conscients, nous ne pouvons pas faire autrement que de réaliser l'aveuglement parental et social dans lequel nous avons baigné. La prise de conscience des dynamiques qui régissent notre monde relationnel est indispensable. C'est absolument libérateur de réaliser, par exemple, que le refoulement de nos sentiments brise l'intégrité de notre sensibilité et que, dès lors, nous nous conformons à des règles de conduites qui viennent compenser un manque de cohésion intérieure.
    Sans cette mise à jour, nous rejouons cet aveuglement et, de plus, tentons de donner à l'enfant une image positive de nous-mêmes. Mais l'enfant nouveau est vrai et intelligent, il n'est donc pas dupe.
       
    Pour une éducation nouvelle
    Pour se réaliser, l'enfant nouveau devrait pouvoir bénéficier d'un cadre éducatif neuf. Si, selon Daniel Kemp, l'enfant nouveau accepte bien l'éducation de soutien (sciences, langues, mathématiques, géographie, etc.) qui a pour fonction de soutenir la société dans ses acquis techniques, matériels, sociaux et scientifiques, il est par contre, plus rébarbatif à l'éducation d'intégration qui vise à l'adapter à la société.
    Dès lors, celle-ci devrait comporter de nouvelles bases axées sur la logique. Ainsi, la relation entre l'éducateur et l'enfant devrait s'établir à partir de ce que l'enfant considère comme "intelligent". L'éducateur doit pouvoir être considéré comme l'ami de l'enfant, bien que ce dernier reste bien encadré. De plus, l'éducateur doit être conséquent avec lui-même et ne pas exiger une chose que lui-même n'est pas en mesure d'accomplir, ou s'il ne peut la faire, expliquer à l'enfant pourquoi.
    Daniel Kemp, qui suivait des enfants particulièrement difficiles, se trouve un jour dans un restaurant avec l'un d'eux. La serveuse s'approche et elle n'a pas un physique très agréable. Aussitôt, l'enfant lui dit :
    "Mais qu'est-ce que tu es laide?".
    Le psychologue fait remarquer à l'enfant :
    "Bien sûr, tu peux dire ce que tu penses, mais ne crois-tu pas que tu lui as fait de la peine? Peut-être que cela t'est indifférent?
    Mais qui te dit qu'elle ne va pas cracher dans ton potage avant de te l'apporter?".
       
    4.Reconnaître un enfant indigo
    Je ne prétends pas détenir la vérité absolue, ni pouvoir les cataloguer, les ancrer dans des modèles bien précis. Toutefois, il y a certaines caractéristiques qui se retrouvent chez plusieurs de ces enfants. Mais peut-être que parmi vous il en existe, c'est pourquoi je vous propose un petit test pour le vérifier.
       
    Test
    Prenez un papier et répondez aux 20 questions suivantes.
    Pour chaque réponse vous indiquerez un nombre entre 5 et 0,
    la valeur 5 signifiant toujours,
    la valeur 3 parfois et
    la valeur 0 jamais,
    les deux intermédiaires permettant une variante.
    1.  J'ai le nez "fourré" partout et on me dit trop curieux.
    2.  J'excelle dans les domaines que j'aime beaucoup.
    3.  Je me retrouve soit le "leader" d'un groupe, soit solitaire.
    4.  Je laisse tomber les personnes avec qui je suis si elles ne sont pas dans ma ligne de pensée.
    5.  Je ne m'ennuie pas même si je n'ai personne à mes côtés.
    6.  Je constate fréquemment que les autres sont différents de moi.
    7.  Au travail, je n'ai pas peur du patron.
    8.  Je comprends en général plus rapidement que les autres, je veux que ça aille plus vite.
    9.  Je suis souvent lunatique quand ce n'est pas intéressant.
    10. Je me renferme dans mon univers après avoir subi une injustice.
    11. Même si je n'obéis pas aux règles, je m'arrange pour ne pas être pris en défaut.
    12. Je préfère la compagnie des plus jeunes à la génération plus vieille que moi.
    13. Je suis capable d'affronter l'autorité.
    14. On me dit souvent que je pense uniquement à moi, que je suis sans cœur ou que je me fiche des autres.
    15. Le chantage ou les menaces n'arrivent pas à changer mes comportements.
    16. Je me trouve plus intelligent que les autres en général.
    17. Je recherche le minimum d'efforts pour le maximum d'efficacité.
    18. Je pense ou dis souvent que les autres sont "cons", ou stupides ou pas intelligents.
    19. Je suis un bon manipulateur pour réussir à avoir ce que je veux.
    20. Je dis ce que j'ai à dire même si les autres ne me comprennent pas ou ne sont pas d'accord.
    Et maintenant, additionnez vos points et vous aurez le pourcentage d'indigo qu'il y a en vous.
       
    Caractéristiques
     
    Au niveau physique
    Goût (plus que les autres) pour tout ce qui est très sucré, ce qui semble favoriser l'hyperactivité. Mange peu ou est allergique à certains aliments. Semble avoir une source d'énergie inépuisable. Regard qui dégage de la maturité, de la sagesse, de la grandeur d'âme.
     
    Au niveau du comportement
    Passe très vite d'une chose à une autre. Peut mettre son attention sur plusieurs choses à la fois par exemple lire et regarder la télévision. Ne peut rester tranquille à moins d'être absorbé par une activité qui l'intéresse. Soit apprend tout à une vitesse folle, soit démontre une grande difficulté d'apprentissage par quasi incapacité à être attentif. Apprend plutôt par l'expérience que par l'étude.
    Grande agitation, voire hyperactivité. Est réfractaire à l'autorité. Les punitions comme les règles semblent le laisser indifférent (en apparence). Les limites clairement définies ne semblent faites que pour être brisées. A une façon personnelle de faire les choses et ne se conforme pas à la norme. En groupe, a le contact facile, mais l'entente ne dure pas nécessairement très longtemps, à cause de son individualisme. Peut être perçu facilement comme un perturbateur, a du charisme, est leader. Est manipulateur. A de l'assurance et peut dire : "Non maman je n'ai pas rêvé, ça s'est passé avant que je sois un bébé dans ton ventre". A un fort sentiment de sa propre valeur qu'il va toujours garder à moins que l'entourage ne le modèle. Ressent de la frustration s'il ne trouve pas de personnes-ressources pour accueillir ses grandes idées et l'aider à les mener à terme. Peut être introverti s'il ne sent pas une attitude compréhensive. Peut abandonner et subir des blocages permanents sur le plan de l'apprentissage, s'il a essuyé des échecs tôt dans la vie. Peut décharger son agressivité à l'extérieur avec violence (jeux vidéos). Semble avoir la tête ailleurs, ne donne pas l'impression qu'il vous entend. A parfois un ami imaginaire avec qui il communique.
    A une grande sensibilité.
     
    Signes particuliers
    Facilité à ressentir les gens et les énergies environnantes. Faculté de voir les personnes à l'intérieur, de ressentir les états d'âmes. Capacités télépathiques développées, lit dans les pensées. Sait si nous sommes vrais. Ne supporte pas le mensonge, c'est une insulte à son intelligence qu'il ne peut accepter. Semble incapable de ressentir de la pitié, mais est rempli de compassion. Aime la peinture, le dessin, la musique, le théâtre, le chant, la danse, les arts en général, là où il s'amuse. Energie particulière dans les mains que l'on peut ressentir s'il les pose sur nous. Emotionnellement, présente une maturité au-delà de son âge. Se sent parfois "étranger" dans son milieu. Aime la compagnie de certains adultes.Se comporte comme un "petit adulte".
       
    5. Comment agir avec l'enfant indigo
    Vous devez vous dire, c'est bien joli de savoir tout cela, mais comment se comporter avec cet espèce d'extra-terrestre. Voici quelques conseils qui pourraient bien faciliter vos contacts avec l'enfant indigo. Traitez-le avec respect et honorez sa présence au sein de votre famille. Aidez-le à trouver ses solutions aux problèmes de discipline. Laissez-lui le choix dans tous les domaines.
    Ne les dépréciez jamais, au grand jamais.
    Expliquez-lui le motif de vos demandes et soyez à l'écoute de ce que vous lui dites. L'explication est-elle aussi indélicate que celle du genre "tu fais cela parce que je te le demande!", une petite révision s'impose. Sachez qu'il vous respectera dans la mesure où vous prendrez le temps de lui fournir des réponses sensées. Si vous le commandez sur un ton autoritaire, dictatorial, sans avoir de solides raisons, il vous désarçonne carrément. Il refusera d'obéir et vous donnera en prime une liste longue de trois kilomètres de bonnes raisons pour lesquelles ça ne peut pas marcher. Exprimez alors honnêtement votre motif, qui peut parfois être aussi banal que "parce que ça m'aiderait aujourd'hui, je suis vraiment fatiguée". Avec lui, l'honnêteté est plus importante que tout, il y réfléchit et agit ensuite.
    Considérez-le comme votre partenaire en éducation. Cet aspect est extrêmement important. Même bébé, expliquez-lui ce que vous faites. Il ne comprendra pas mais sentira votre intention et votre respect.
    Si de graves problèmes surviennent, faites-lui subir des tests avant de le droguer et faites lui savoir toujours que vous le soutenez dans ses efforts. Ainsi, il s'efforcera d'être à la hauteur de vos paroles et vous en serez même étonnés. Puis, fêtez les succès et les bons coups ensemble. Ne le poussez pas mais laissez-le agir et encouragez-le en cours de route.
    Ne lui dites pas qui il est ou ce qu'il sera plus tard, il le sait très bien. Laissez-le décider de ses intérêts; par exemple, ne le forcez pas à choisir un métier ou une profession sous prétexte que c'est une tradition dans la famille depuis des générations. L'enfant indigo n'emprunte pas les sentiers battus.
    Et puis, pourquoi ne pas utiliser des visualisations pour équilibrer et canaliser l'énergie débordante de nos enfants et également dans le but de déployer leur potentiel personnel ? Vous pouvez accompagner l'histoire par une musique adaptée à ce genre de pratique.
       
    Visualisations pour apaiser
    Détente lavande et indigo
    "Dans cette histoire, les couleurs seront bleu lavande et indigo, imaginez ces couleurs (éventuel-lement les leur montrer) et fermez les yeux. Nous respirons ensemble profondément 10 fois (comptez jusqu'à 10) et nous voilà dans un champ plein de fleurs de couleur lavande et indigo. Comme elles sont belles ! Nous marchons parmi les fleurs qui dégagent une odeur merveilleuse. Nous nous asseyons devant pour les regarder. La couleur lavande est devant nous et elle communique avec nous ! Et voilà que nous devenons tout petits, tout petits jusqu'à pouvoir monter sur une fleur. Nous respirons et nous marchons sur ses pétales. Sa vibration nous calme et nous apaise (attendre 20/30 secondes). Puis hop ! nous sautons en bas et atterrissons en douceur sur un tapis d'herbe indigo - comme un ciel quand le soir commence à descendre. Nous nous bai-gnons dans cet océan d'herbe, en jouant et en profitant pleinement du moment. Ce sentiment de paix et d'amour est toujours là dans cette énergie lavande et indigo. Nous la respirons pleinement. Puis quand nous décidons, nous ouvrons doucement les yeux."
    Détente bouteille transparente
    "Trouvons une position confortable soit assis, soit couché. Fermons les yeux et imaginons que nous sommes une bouteille transparente bien ancrée à la terre. Nous voyons au travers. Elle a un bouchon doré. Comme nous sommes cette bouteille transparente, nous voyons notre intérieur qui est très agité, comme la mer. Il y a beaucoup de mouvements et de confusion. Alors, lentement, nous comptons de 10 à 0 et l'eau de notre intérieur va se calmer à chaque chiffre un peu plus, jusqu'à ce qu'elle soit quasi immobile quand nous arrivons à 0. Nous nous sentons bien, sereins. Consciemment nous décidons d'ouvrir le bouchon doré. Alors, du plus haut de l'univers, descendent des rayons de couleurs et aussi une voix. Peut-être au début, nous ne l'entendons pas mais continuons sans nous décourager. Nous pouvons poser des questions et la voix nous donne les réponses. Continuons à dialoguer avec elle et à jouer avec les rayons de couleurs. Quand vous le sentez, ouvrez les yeux lentement."
    La relaxation permet une meilleure concentration et un sommeil paisible. Vous pouvez aussi apprendre à méditer à l'enfant Indigo.
       
    6. A l'avenir…
    Ces enfants sont là pour nous aider, aider l'humanité toute entière à changer. Changer de mentalité, changer de manière d'être, changer de regard sur l'autre, sur la vie, sur l'univers. Ces enfants arrivent avec un bagage de connaissances extraordinaires, nous devons juste leur apprendre les codes pour les mettre en œuvre.
    A l'école ils s'ennuient, perdent leur temps, certains vont devenir des "cancres" d'autres des "surdoués", certains vont s'inscrire dans un syndrome dépressif pouvant aller jusqu'à l'autisme, d'autres vont être, au contraire, très "réactifs" s'inscrivant dans un comportement hyperactif pouvant les conduire jusqu'à la délinquance.
    Devant le rouleau compresseur de l'éducation, de la pensée unique, un certain nombre de ces enfants sont en danger. Ils sont venus pour nous aider, aussi donnons leur les moyens de le faire.
    Aidons les à nous aider, ils ont besoin de guides, non de geôliers.
    En tant que parents, enseignants, ils nous interpellent, nous bousculent, nous renvoient parfois douloureusement, nos points faibles, nos contradictions. Ils sont des miroirs qui nous obligent à nous regarder en face, sans concession.
    Ils sont les maîtres, nous sommes les élèves. Ils sont des "éveilleurs" qui nous aident, si nous les laissons faire, à nous reconnecter avec "qui nous sommes", avec la partie divine en nous.
    Si, avec amour et humilité, nous savons les accompagner, faisant le nécessaire travail sur nous-mêmes, ils seront de merveilleux "compagnons de voyage"…
       
    Avant de conclure, je citerai Albert Einstein, qui revient toujours dans mes travaux, comme par hasard (mais le hasard est le nom que Dieu emprunte quand il voyage incognito) :
    "II a fallu nous bourrer le crâne de toutes ces choses, que nous les aimions ou pas... C'est un véritable miracle que les méthodes modernes d'éducation n'aient pas complètement étouffé la précieuse curiosité de l'enfant. Cette délicate fleur a besoin d'encouragement, certes, mais elle a aussi besoin de liberté, faute de quoi elle flétrira à coup sûr. C'est une grave erreur de croire que l'on puisse transmettre l'amour de la connaissance et de la recherche par la contrainte et le sens du devoir."
       
    Christiane Kolly - Mai 2003
       
    Une méthode qui peut vous amener à des solutions...

    Et si l'éducation aussi était une question de niveau de conscience. Méditer pour mieux apprendre, créer un terrain favorable à l'élève et à son enseignant, cela existe déjà. Le professeur Léonard Stein du comité suisse "Parents et enseignants pour des écoles sans stress" se déplace volontiers pour vous parler de la technique de la méditation transcendantale. En France également existe une association Education fondée sur la conscience. Des recherches scientifiques prouvent que cette pratique augmente la réussite scolaire, réduit le stress et améliore la qualité de la vie. Voici une video, une deuxième et une troisième avec David Lynch Président de la fondation David Lynch pour l'Education Fondée sur la Conscience.

    Septembre 2011  
     


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  • lacher priseLâcher prise c'est...

    • simplement admettre que l'on ne peut agir à la place de quelqu'un d'autre et cependant ne pas se montrer indifférent

    • prendre conscience qu'il ne doit pas y avoir contrôle d'autrui
      et cependant garder les liens

    • tirer une leçon des conséquences inhérentes à un évènement
      et rester présent malgré tout

    • reconnaître ses limites et accepter que le résultat final n'est pas entre nos mains

    • donner le meilleur de soi-même
      et cependant ne pas blâmer ou vouloir changer autrui

    • se sentir concerné par les autres sans vouloir agir à leur place

    • encourager sans trop assister

    • accorder à autrui le droit d'être, avec toutes les imperfections comme champ d'expériences, sans juger

    • laisser les autres gérer leur propre destin, source d'éveil
      sans s'occuper de tout ce qui arrive

    • permettre aux autres d'affronter la réalité sans les materner

    • accepter même si c'est difficile sans rejeter

    • tenter de déceler ses propres faiblesses et de s'en défaire
      et ne pas harceler, sermonner ou gronder autrui

    • prendre chaque jour comme il vient et l'apprécier, sans oublier de s'aider soi-même sans vouloir adapter les choses à ses propres désirs

    • s'efforcer de devenir ce que l'on rêve de devenir
      sans s'occuper des affaires d'autrui

    • vivre et grandir vers l'avenir dans l'ici et maintenant
      sans regretter le passé

    • aimer de plus en plus et craindre de moins en moins


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  • Texte de Jean-Marc Dupuis

    comment-se-faire-des-amis-facilement-200x200Cher lecteur,

    Lorsqu'il perdit sa femme à l'âge de 40 ans, Gérard B. réalisa qu'il n'avait presque plus d'amis. Après des années à s'être concentré sur sa carrière et sa famille, ce médecin se retrouvait comme seul au monde.
    « Tout à coup, alors que ma femme avait disparu, j'ai réalisé à quel point j'étais seul », a-t-il confié. « Je me suis inscrit à un cours de danse de salon. Mais au lieu de rechercher une femme, j'essayais de me lier d'amitié avec les hommes. » Le deuil, la maladie, les hospitalisations sont des moments d'émotion, qui peuvent être l'occasion d'approfondir nos amitiés. Ces amitiés peuvent jouer un rôle crucial dans la guérison, les patients qui bénéficient du soutien de leur entourage guérissant plus vite que les autres. (1) Mais si l'on n'y a pas pris garde, ils peuvent aussi être l'occasion de réaliser que l'on n'a plus personne sur qui compter, à un moment où, plus que jamais, amitié, soutien et chaleur auraient été nécessaires.

    Le risque du vieillissement
    Le Docteur Laura L. Cartensen, professeur de psychologie et directrice du Centre de Longévité de Stanford en Californie, observe que le nombre de relations sociales tend à se réduire avec l'âge, mais que les liens se renforcent avec les personnes proches. Selon elle, nous serions porteurs d'un réveil biologique qui se mettrait à sonner lorsque nous atteignons 30 ans. Il nous rappelle que le temps presse, et que le moment arrive de cesser d'explorer dans toutes les directions, pour nous concentrer sur les personnes que nous connaissons déjà : nos amis d'enfance, de jeunesse, notre famille.
    « Vous avez tendance à vous concentrer sur ce qui est le plus important pour vous émotionnellement ; vous n'avez plus tant envie d'aller à cette soirée de quartier que de passer du temps avec vos enfants. » (2) Mais le risque est alors de perdre le contact avec des relations plus lointaines et de ne plus avoir qu'un nombre réduit d'amis intimes.

    3 conditions pour se faire des amis
    Depuis les années 50, les sociologues comptent trois conditions indispensables pour se faire des amis :
    (3) la proximité ; les interactions répétées et imprévues ; et un environnement qui encourage les gens à « baisser la garde » et à se confier les uns aux autres. C'est la raison pour laquelle on se fait souvent des amis pour la vie pendant ses études. Il devient de plus en plus dur de réunir ces conditions aujourd'hui. Le principal lieu de socialisation est le monde du travail. Mais dans les grandes entreprises et les administrations, les rivalités et les problèmes hiérarchiques freinent la naissance d'amitiés vraies. Pour réussir sa carrière, il est perçu comme vital de dissimuler ses points faibles, sa sensibilité. Les relations avec les collègues de travail ont une dimension utilitaire qui rend difficile de mesurer où s'arrête l'intérêt et où commence l'amitié. Les différences de statut professionnel et de revenu compliquent encore les choses. Une vraie gêne peut s'installer entre deux amis d'enfance lorsque l'un d'entre eux fait une splendide carrière professionnelle, tandis que l'autre rame pour boucler les fins de mois.

    Amour et amitié
    Que les amis le reconnaissent ou non, il existe entre eux un rapport de séduction proche, et parfois équivalent, à celui de l'amour. L'amitié peut frapper aussi vite que le coup de foudre. Vous rencontrez quelqu'un par hasard, et la réaction chimique se produit instantanément. Vous riez des mêmes choses, aimez les mêmes films, appréciez la même musique. Avant d'avoir fini votre premier verre ensemble, chacun de vous termine les phrases de l'autre. Comme en amour, vous ne vous rendez plus compte du temps qui passe et tout ce qui vous entoure se met à scintiller. Un rien vous réjouit, vous devenez chaleureux et avenant avec tout le monde, vos douleurs et vos difficultés, si lourdes quelques instants auparavant, vous paraissent secondaires. Déjà, vous échafaudez ensemble des projets et aucun obstacle ne vous paraît plus insurmontable.
    Lorsque je réfléchis à mes plus grandes amitiés, ce sont celles qui ont commencé par un tel « coup de foudre ». Ce sont elles qui ont duré le plus, indépendamment du temps qui passe, de l'éloignement, du mariage, des enfants. Mon meilleur ami Eric vit à Toulouse et nous nous connaissons depuis 30 ans. Il a connu de graves difficultés, y compris financières et un douloureux divorce. J'ai eu mon lot d'épreuves également. Mais bien que nous n'en parlions pas aussi souvent que nous le voudrions, du fait de notre travail et de nos familles, nous savons tous deux que notre amitié est forte et que nous pourrons compter l'un sur l'autre dans notre vieillesse. Mais comme les amoureux, les amis peuvent rompre. Les coups de téléphone, les déjeuners, excursions, les week-ends ensemble s'arrêtent d'un coup. D'habitude, les égos s'en mêlent et, pour des raisons d'amour-propre, chacun refuse de faire le premier pas vers la réconciliation. Quand ça se produit, oublier cet ami et se remettre de la rupture peut prendre des années, ou même tout le reste de la vie. A mon amie de lycée Sandrine, mon camarade d'étude Joanny, mon compagnon d'expédition en montagne Igor, si par hasard vous lisez cet article sur mon blog : je suis désolé. Je pense à vous souvent, et il m'arrive régulièrement de me surprendre à vous chercher dans les nouveaux amis que je rencontre. J'espère que la vie a été belle pour vous, et qu'un jour nos chemins se recroiseront.

    Se remettre en question
    Si vous avez des difficultés à vous faire des amis, essayez de faire une petite auto-évaluation de ce que vous pourriez faire pour devenir un ami plus attrayant. Il existe une erreur bien française : croire qu'on se donne une contenance en étant hautain, peu souriant, pressé. Être trop gentil, disponible, dire bonjour le premier, proposer trop facilement de rendre service risquerait de vous faire passer pour une « bonne poire ». On craint de n'être pas pris au sérieux si on n'est pas assez occupé. Le pire serait que les autres imaginent que l'on n'a pas beaucoup d'amis ! Alors on fait mine d'ignorer les autres. De même, pour briller dans la conversation, il faudrait « casser » son interlocuteur, lui montrer sa supériorité, faire des « vannes » restant la marque suprême de l'esprit. Mais la réalité est qu'il n'y a rien de plus facile que de se montrer distant. C'est la solution des faibles. Les personnes fortes et sûres d'elles, au contraire, ne craignent pas de se montrer avenantes. Lors d'une réunion de rentrée cette année, j'arrivai à la nouvelle école de mes enfants et je m'aperçus que les parents qui se connaissaient déjà se saluaient bruyamment, mais que les nouveaux (dont je faisais partie) étaient laissés de côté. La timidité explique bien sûr en partie ce phénomène, qui n'est pas uniquement de l'impolitesse. Il n'est pas facile d'aborder des inconnus, y compris dans le cadre d'une petite école primaire. Toujours est-il que la situation fut brillamment sauvée par une maman qui sut venir vers nous et faire le nécessaire pour nous mettre à l'aise. Elle fit les présentations, trouva le petit mot qui fit plaisir à chacun, détendit l'atmosphère... et fut rapidement amie avec nous tous !

    L'homme idéal
    Cette scène me rappela un livre que j'ai lu il y a quelques temps, les Mémoires du duc de Saint-Simon, qui vécut sous Louis XIV. Saint-Simon raconte le cas de François Fénelon, qui fut énormément aimé des gens de son temps : « Il fallait faire effort pour cesser de le regarder », raconte Saint-Simon. « On ne pouvait le quitter, ni ne pas chercher à le retrouver ». « Tous ses amis lui restèrent entièrement attachés toute sa vie », ils se « réunissait pour se parler de lui, pour le regretter, pour le désirer, pour se tenir de plus en plus à lui, comme les Juifs [tiennent] à Jérusalem ». (5) Et quel talent particulier avait Fénelon pour exercer une telle attraction ? C'était « un homme qui ne voulait jamais avoir plus d'esprit que ceux à qui il parlait, qui se mettait à la portée de chacun sans le faire jamais sentir ». Tant il est vrai que vouloir montrer sa « supériorité » est le meilleur moyen de se rendre antipathique...

    Petits trucs supplémentaires
    - S'intéresser sincèrement aux autres ;
    - sourire ;
    - se souvenir du nom des personnes qu'on rencontre ;
    - écouter attentivement.
    - Encourager les autres à parler d'eux-mêmes ;
    - parler de sujets qui intéressent votre interlocuteur, qui ne sont pas forcément vos histoires à vous.
    - Éviter de critiquer, condamner, ou se plaindre.
    (5) Autant de petites habitudes de vie qui feront que, le jour où nous tombons gravement malade, un grand nombre d'amis chers se précipiteront à notre chevet, et nous aideront à guérir.

    A votre santé !

    Jean-Marc Dupuis

    PS: Vous remarquerez que mes lettres d'information arriveront désormais sous le nom de Santé Nature Innovation et non plus Santé & Nutrition. En effet, ce terme nous a semblé plus juste car nous couvrons de plus en plus de sujets sur la santé naturelle qui dépassent le cadre de la nutrition. Mis à part le changement de nom, la formule reste entièrement la même.

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    Trouvez-vous normal que tant de personnes errent pendant des années d'hôpital en hôpital à la recherche d'une autre approche face à leur maladie ? Faut-il accepter de se résigner à avaler des médicaments chimiques jusqu'à la fin de ses jours, en supportant silencieusement les effets secondaires ? Ce n'est pas mon opinion, et c'est pourquoi je publie chaque moi s un dossier contenant tous les nouveaux traitements naturels validés par la recherche scientifique. Un service d'information unique sur le marché, qui sert aujourd'hui de référence à de nombreux médecins et thérapeutes.
    Vous pourriez être surpris de ce que vous y découvrirez, pour vous même ou un proche.
    Pour plus d'information, cliquez ici.

    Sources
    (1) Voir un précédent article de S&N, « Comment lui dire Je t'aime ».
    (2) Cité dans le New York Times, « Friends of a Certain Age, Why Is It Hard to Make Friends Over 30 ? »,par ALEX WILLIAMS, publié le 13 juillet 2012.
    (3) Rebecca G. Adams, professeur de sociologie et de gérontologie à la University of North Carolina at Greensboro, interviewée dans le New York Times, le 13 juillet 2012
    (4) Portrait de Fénelon par le Duc de Saint-Simon, in « Mémoires du Duc de Saint-Simon ».
    (5) Cf Dale Carnegie, « How to win friends and influence people », 1936.

    Voici quelques livres sélectionnés dans la bibliothèque de Jean-Marc Dupuis :
    - Sur le cancer, Anticancer : Les gestes quotidiens pour la santé du corps et de l'esprit, de David Servan-Schreiber.
    - Sur l'ostéoporose, Lait, mensonges et propagande, de Thierry Souccar.
    - Sur le diabète, Nouveau régime IG Diabète, de Jacques Médart et Angélique Houlbert.
    - Sur la maladie de Lyme, Maladie de Lyme : Mon parcours pour retrouver la santé, de Judith Albertat.
    - Sur l'alimentation, Les surprenantes vertus du jeûne, de Sophie Lacoste.
    - Sur le cancer et les maladies cardiovasculaires, Vitamine D : Mode d'emploi, du Dr Brigitte Houssin.
    - Sur l'amincissement, Le Nouveau régime Atkins, d'Eric Westman.
    - Sur la maladie d'Alzheimer et le diabète, Boire mieux pour vivre vieux, du Pr Roger Corder.
    - Sur la vivacité cérébrale, Un cerveau à 100%, d'Eric Braverman.
    - Sur le cholestérol, Cholestérol, mensonges et propagande, de Michel de Lorgeril.
    - Sur la fibromyalgie et les maladies chroniques, Les clés de l'alimentation santé : Intolérances alimentaires et inflammation chronique, du Dr Michel Lallement.


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  • mercilavie
    La loi d'attraction… par Guy Corneau
     
    Pour tenter de saisir cette étrange loi qui semble unir l'intérieur et l'extérieur, le monde subtil et le monde physique, le psychiatre Carl Gustav Jung a formulé avec le physicien Wolfgang Pauli, le principe de  synchronicité. Ils cherchaient ainsi à expliquer l'apparition simultanée de phénomènes n'étant pas liés par une loi de cause à effet. La synchronicité met en valeur une forme de raisonnement de type analogique voulant que  « le semblable attire le semblable » selon le fameux dicton alchimique. Jung trouva là le fondement de sa théorie. Il s'en est servi, notamment, pour expliquer comment la vie extérieure d'un patient se mettait à changer mystérieusement au fur et à mesure que son état intérieur se modifiait sous l'action de la thérapie.
    J'ai été témoin de cela à de nombreuses reprises. Je me souviens d'un riche homme d'affaires, malheureux d'être exploité par les femmes qu'il fréquentait, trouver une vie amoureuse adéquate lorsqu'il a commencé à s'estimer et à cesser de se juger durement. À partir du moment où il a pris conscience qu'il abusait de lui-même en travaillant 70 heures par semaine, il a pu rencontrer des gens qui ne cherchaient pas uniquement leur profit personnel à son contact.
    Toutefois, on observe dans la culture actuelle une tentative d'instrumentaliser la loi d'attraction sur  laquelle se fonde le principe de synchronicité. Une femme de mon entourage dépose chaque jour rituellement un post-it sur son frigo demandant amour et richesse. Je connais d'autres personnes qui appellent ainsi la guérison de leurs maux et une santé resplendissante. Il s'agit au fond de la pratique d'une pensée positive.
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    Ainsi, dans le livre « Le secret » qui connaît un succès mondial, on encourage les gens à penser intensément et positivement pour apporter santé, succès, argent et bonheur dans leur vie. Bien entendu, cela ne peut pas nuire. Après tout, on risque de rencontrer plus de gens intéressants si l'on a une attitude d'esprit ouverte. Cependant, élevée en dogme, la pensée positive peut glisser du côté d'une pensée magique qui  affirme que tout est possible. Il y a un autre danger : si l'on n'obtient pas ce que l'on appelle de tous nos vœux, on se met à douter de soi et même à se sentir coupable de sa contre-performance. Car la pensée magique comporte le risque d'un écrasement dramatique si l'on n'arrive pas à convoquer le résultat souhaité.
    Or, il y a des limites objectives. La première de ces limites est que nous attirons, certes, toujours et sans cesse, mais nous attirons à partir de l'entièreté de qui nous sommes. C'est notre individualité globale qui émane et aimante. Le reflet tangible que nous rencontrons à l'extérieur de nous miroite notre état d'esprit conscient, certes, mais, détail de première importance, notre état affectif inconscient également. Ce dernier  porte nos potentialités inexplorées mais aussi nos ombres, nos blessures vives et les nœuds affectifs qui ne sont pas dénoués.
    Ainsi, une application plus réaliste de cette loi consisterait à regarder sa vie le plus lucidement possible, dans ses circonstances les plus prégnantes, et de prendre conscience que cela nous reflète parfaitement. On  peut alors pacifier ce qu'il y a à pacifier et ainsi on agit sur son destin plus efficacement et plus durablement que par la répétition fervente d'affirmations positives. Car, qu'on le veuille ou non, ces demandes adressées à l'univers  ou à Dieu, gardent un individu en position de victime passive, alors que le travail sur soi a au moins le mérite  de nous faire prendre conscience qu'il y a des efforts à faire si l'on veut briser nos conditionnements.
    Ça ne veut pas dire qu'il est inutile de rêver à un futur meilleur et à une grande abondance. Sans cesse, l'imagination ouvre la voie du devenir. Toutefois, cette imagination gagne à être en relation avec notre essence profonde, à ce qui veut s'exprimer réellement en nous. Cela n'a pas toujours à voir avec le succès financier et la célébrité. Toutefois, assurément, c'est l'expression de cette essence qui mène un être à la joie.
    Vous pouvez visiter le site internet de Monsieur Corneau en cliquant ici

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  • dauphindansmer.gif

    Après "The Cove", j'ai vu hier "Oceans" le film de Jacques Perrin. Dans les deux films on voit la manière dont les japonais traitent les dauphins et dans "Oceans" ce qu'ils font aux requins et aux baleines. A la sortie du film j'hésitais entre pleurs et colère. Je suis revenue à mon centre et j'ai demandé comment aider les japonais à ouvrir leurs coeurs.

    Voici la réponse reçue:

    • Sachez voir dans la violence celle que l'être se fait à lui-même.
    • Sachez voir chaque situation avec compassion mais sans complaisance.
    • Voyez dans votre propre situation ce qui fait que vous réagissez avec colère et violence.
    • Arrêtez d'être contre la violence et agissez en adulte responsable en étant pour la paix, pour la sérénité, pour la santé, pour le respect et bien d'autres merveilleuses émotions.
    • Chaque fois que vous êtes dans la colère, la vengeance ou encore contre quelque chose, vous baissez vos vibrations et vous vous faites mal et cela se fera de plus en plus vite et de plus en plus fort pour que vous réagissiez pour votre bien-être.
    • Voyez la vie dans son ensemble pas dans chaque détail qui ne vous va pas comme vous le faites encore trop souvent.
    • La vie renvoie ce que vous pensez et ressentez alors prenez vos responsabilités et agissez pour votre bien et, de ce fait, pour le bien des autres et de la planète.
    • Chaque être qui, encore et encore, est contre quelque chose ou contre une situation aggrave la situation dans sa vie.
    • Rien n'arrive par hasard et tout ce que vous vivez évoluera favorablement dès que vous voyez le message derrière la situation.
    • Les énergies de 2010 vont accélérer le processus de prise de conscience et aider à prendre les bonnes décisions.
    • N'oubliez pas que chaque être sur cette planète a choisi sa vie et ceci est vrai aussi pour les animaux.
    • Arrêtez de croire qu'ils sont demeurés au point où vous devez les sauver.
    • Ecoutez leurs messages, ils sont le reflet de votre mode de vie et de pensée.
    • Ecoutez les messages et vous allez voir que cette nouvelle terre sera là très vite dans votre vie.

     

    Message reçu de Dominique Vandenberghe. Channel reçu de Pandora, deva des dauphins, 31 janvier 2010

     


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