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    je suis un être humain from Carlos Chapman on Vimeo.


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  • lorsque les mots

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  • arbre-de-coeur« Les citoyens, dans leur grande majorité, se représentent la médecine comme la source principale de santé à laquelle seuls les professionnels de santé peuvent donner accès.

    Ce système dominant de pensée est une grande et dangereuse illusion. La santé et notamment l’espérance de vie dépendent un peu de facteurs génétiques, principalement de nos comportements et de nos environnements économiques et socio-culturels, très peu de la médecine et des médecins. »

    Pr Claude Béraud, ancien médecin-conseil national de la Caisse nationale d’assurance-maladie, interview publiée le 5 avril 2013. (1)

    En tant que lecteur de Santé Nature Innovation, vous faites partie de la minorité de personnes bien informées qui, justement, ne se font pas d’illusion sur les pouvoirs de la médecine conventionnelle.

    Vous savez que les médicaments sont la troisième cause de mortalité après le cancer et les maladies cardiovasculaires. (2)

    Vous êtes au courant que les statines, ces médicaments contre le cholestérol, ne servent à rien, que le vaccin contre le papillomavirus est inefficace et dangereux, que le dépistage du cancer du sein fait plus de mal que de bien, que les antidépresseurs, les antibiotiques et les anti-inflammatoires sont beaucoup plus dangereux que ne le reconnaissent les notices.

    Vous êtes conscient que c’est l’incompétence et la corruption des autorités médicales qui permet la mise sur le marché de médicaments toxiques comme le Médiator, les contraceptifs de 3e et 4e génération, les prothèses mammaires défectueuses, les « médicaments contre la maladie d’Alzheimer » qui n’ont pas la moindre utilité.

    Tout cela vous paraît évident. Et vous savez qu’il n’y a qu’en prenant votre propre santé en main, c’est-à-dire en vous efforçant de mener une vie saine, que vous aurez une bonne santé. Vous ne comptez pas sur les pilules et la chirurgie pour obtenir une vie longue et heureuse.

    « Notre mission est de vous protéger contre vous-même »

    Mais le problème, c’est que les personnes qui ont le pouvoir, elles, voient les choses tout autrement : si vous n’avez pas le diplôme de médecin, vous êtes forcément incompétent pour gérer votre santé.

    Pour la Haute Autorité de Santé (HAS), l’Agence nationale du médicament (ANSM), l’Académie de Médecine, il est normal de se servir de leur pouvoir pour vous protéger contre vous-même, et par là-même gravement restreindre votre liberté thérapeutique.

    Selon elles, vous feriez une grave sottise si vous preniez la moindre décision pour votre santé sans en avoir « parlé à votre médecin-conseil ». Elles considèrent donc que c’est leur mission de constamment vous rappeler de ne rien faire sans avoir au préalable « consulté un professionnel de santé ».

    Mais cette vision est absurde. La priorité ne doit pas être d’infantiliser le public mais au contraire de l’informer pour qu’il gagne en autonomie. En effet, que les autorités le veuillent ou non, c’est bien vous qui prenez en permanence les décisions clés pour votre santé. Votre état de santé est déterminé à 80 % par ce que vous mangez, ce que vous buvez, la manière dont vous dormez, votre niveau de stress, votre environnement, selon que vous menez une vie active, stimulante, avec des activités de plein air, ou non.

    Par exemple, 90 % des cancers sont liés à des facteurs sur lesquels nous avons une action directe : mauvaise alimentation, tabac, manque d’exercice physique, pollutions… On estime actuellement que 30 à 35 % des cancers sont liés au régime alimentaire (3). Or, bien manger réduit non seulement le risque de développer un cancer mais l’adjonction d’aliments dits « anticancer » fournit une aide extraordinaire aux cellules de notre corps pour combattre les inflammations et le développement de cellules cancéreuses.

    Il en va de même pour le diabète de type 2, l’ostéoporose, les maladies cardiovasculaires, ou même l’arthrose : ce sont avant tout des maladies du mode de vie, que vous pouvez prévenir ou atténuer par votre comportement, mais sur lesquels les médicaments et les opérations ont peu ou pas d’influence (voir les Dossiers de Santé & Nutrition pour les conseils de prévention et de traitement à la pointe de la recherche).

    L’abus de médecine est dangereux pour la santé

    Au contraire, l’abus de médecine est un danger objectif pour votre santé. Car si vous allez consulter le médecin, vous avez un risque important de ressortir avec une ordonnance pour des médicaments, des analyses et examens (aux rayons X), voire une opération chirurgicale qui n’était pas forcément nécessaire. Or tout acte inutile sur le plan médical est dangereux. Il y a toujours, forcément, des risques.

    Je ne dis pas ça à cause des manquements, erreurs et corruptions qui ont récemment éclaté au grand jour (hormone de croissance contaminée, scandale du vaccin H1N1, prothèses PIP, etc.).

    Non, plus fondamentalement, et même si c’est vexant pour les ministres, les grands professeurs, les illustres chercheurs, et toutes les personnes qui font carrière (et fortune) grâce au prestige médical, la seule manière de contribuer durablement à une meilleure santé du public, c’est de rappeler à chacun que :

    • votre meilleure médecine est de manger de bonnes choses, boire de l’eau pure, éviter le stress excessif, dormir, mener une vie active et stimulante pour le corps comme pour l’esprit ;
    • il faut éviter autant que possible les médicaments et les opérations ;
    • consacrer régulièrement un peu de temps à apprendre et comprendre le fonctionnement du corps et les façons naturelles de rester en bonne santé peut faire une grande différence.

    C’est aujourd’hui possible de le faire gratuitement et presque en s’amusant grâce aux lettres d’informations électroniques comme Santé Nature Innovation. Pour les personnes qui ont pris le train en route, je signale que je viens de faire paraître le premier volume de mes meilleures chroniques, « l’Intégrale Santé Naturelle de Jean-Marc Dupuis », sur format papier cette fois car le livre est « un peu » épais pour être lu à l’écran (380 pages). Vous pouvez le commander en cliquant ici. Je reverserai l’intégralité de mes droits d’auteur à l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, pour soutenir leurs actions en faveur des médecines naturelles et du droit de chacun de choisir sa médecine.

    A votre santé !

    Jean-Marc Dupuis


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  • miroirIl est bien vrai que nous devons penser au bonheur d’autrui ; mais on ne dit pas assez que ce que nous pouvons faire de mieux pour ceux qui nous aiment, c’est encore d’être heureux. [Alain]

    C'est l'histoire d'une petite fille qui est née dans une grande maison où vivaient ensemble de nombreux adultes avec chacun un caractère bien trempé. Quand cris et disputes nuisaient à son entourage sonore et visuel, elle avait pris l'habitude d'aller se réfugier dans un coin, ou alors elle s'envolait dans son monde imaginaire. Ainsi, en grandissant, elle s'était accoutumée à "prendre la température" de l'humeur des gens. Si le calme régnait, elle se sentait en sécurité, mais si ce n'était pas le cas, ce qui arrivait malheureusement assez souvent, elle faisait de son mieux, parfois même des pieds et des mains, pour que tout le monde soit heureux, afin qu'elle-même puisse l'être aussi.
    Dans cette insécurité affective, il n'a pas été facile pour l'enfant qu'elle était de s'épanouir, d'avoir la conscience de soi et de l'estime.

    Nous sommes nombreux à croire que ce serait de l'égoïsme de ne pas s'inquiéter du bonheur des autres. Pour avoir droit à ce beau qualificatif issu de générosité, que ne ferions-nous pas ? Mais se pourrait-il que notre comportement provienne d'une insécurité affective vécue dans l'enfance ? Et notre modus vivendi n'aurait pas évolué une fois devenu adulte ?

    C'est inconfortable de se trouver à côté d'une personne en colère, triste, déprimée, renfermée sur elle-même. Sommes-nous capables d'être présents, sans prendre sur nous sa souffrance, ce qui ne servirait à rien d'ailleurs. Sommes-nous capables d'écoute, d'empathie, d'acceptation, sans pour autant prendre en charge le bonheur de l'autre ? Comment le pourrions-nous d'ailleurs ?

    Et après, capables de se demander : bon, maintenant, de quoi ai-je besoin pour être heureux ? Puis, de prendre la responsabilité de notre propre bonheur ?

    Ainsi, la petite fille de l'histoire sera petit à petit rééduquée et ramenée dans le présent. C'est un beau cadeau à lui faire pour acquérir ce qui est indispensable au bonheur, l'autonomie affective.

    Christiane Kolly - Mai 2013


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  • pour etre grand

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